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  • Nombre de pages288
  • FormatePub
  • ISBN978-2-253-17636-7
  • EAN9782253176367
  • Date de parution15/11/2013
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille4 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLe Livre de Poche

Résumé

Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu'elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école.
Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d'un renouveau...
Carrie White, dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, vit un calvaire : elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu'elle le maîtrise encore avec diffi culté... Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l'aimer, l'invite au bal de printemps de l'école.
Une marque d'attention qu'elle n'aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d'un renouveau...

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Morgan CDecitre Ecully
4/5
La marginale de King
Écrit et publié en 1974, Carrie est la première pierre du grand édifice littéraire horrifique qu'est l'œuvre de Stephen King. Au-delà de la plaisante lecture qu'il propose, il est aussi le patient zéro du virus "King" qui allait contaminer l'humanité entière, désormais accro à la savoureuse horreur que délivre chacun de ses ouvrages depuis 50 ans déjà. Si ce premier récit n'a peut-être pas atteint une maturité d'écriture suffisante pour l'ériger de suite comme l'un de ses meilleurs romans, force est de reconnaître que l'essence-même de King est déjà infusée. Carrie devient la première d'une longue lignée de personnages marginalisés, que l'on retrouve dans divers œuvres de l'auteur, symboles d'une société les ayant mis au ban contre leur gré. Le flot d'insultes que reçoit Carrie durant le premier chapitre, ainsi que les multiples persécutions subies, dépeignent un portrait peu glorieux de l'Amérique, et montrent ainsi les contours d'une critique qu'assène King contre un pays qu'il aime pourtant sincèrement. Mais le personnage malmené de Carrie n'est qu'un élément parmi d'autres qui contribuent à rendre le roman unique. Prenons par exemple la dualité entre la marginale et Chris : elle démontre le talent de King pour ciseler ses personnages tels des joyaux, en dévoilant au premier abord la figure d'une fille de bonne famille mesquine, se croyant toute puissante derrière l'autorité de son père avocat. Mais elle révèle finalement une attirance pour le danger en sortant avec l'instable Billy, figure masculine dominant qui ne voit en Chris qu'une femme de plus à posséder le temps d'une semaine. Une autre dualité fascinante, c'est aussi celle entre Carrie et sa propre mère : fervente chrétienne étouffante, elle écrase la jeune fille d'une domination absolue sous couvert d'une absolution de leurs péchés qui ne semble jamais venir. L'ensemble se structure ainsi autour de ce point de rupture qui arrive doucement, mais sûrement, ce point de non-retour au-delà duquel l'état de Carrie bascule vers un pan incontrôlable. En matière de style, si King a admis que les extraits de journal/audio parsemés dans le roman ne sont là que pour augmenter la taille du récit, on reconnaîtra que cette démarche a pourvu Carrie d'un double récit palpitant. Même si les enjeux finaux nous sont révélés assez tôt par l'intermédiaire de journaux, ils offrent ainsi un regain d'intérêt pour l'intrigue, dans l'appréhension haletante du final sanglant promis. Et quel final, puisqu'il occupe un petit quart de l'œuvre, durant lequel l'explosion de la rancœur refoulée de Carrie se déverse sur l'ensemble de la ville dans un flot de flammes et de haine. Carrie, en première pierre d'un vaste édifice de l'horreur, fait désormais partie des incontournables de King, ayant eu droit à deux adaptations au cinéma qui ont largement véhiculé dans les esprits cette image, gravée à jamais, d'une jeune femme en sang dont le regard marquera encore de nombreuses générations. Carrie est, comme le montre la fin du récit, éternelle.
Écrit et publié en 1974, Carrie est la première pierre du grand édifice littéraire horrifique qu'est l'œuvre de Stephen King. Au-delà de la plaisante lecture qu'il propose, il est aussi le patient zéro du virus "King" qui allait contaminer l'humanité entière, désormais accro à la savoureuse horreur que délivre chacun de ses ouvrages depuis 50 ans déjà. Si ce premier récit n'a peut-être pas atteint une maturité d'écriture suffisante pour l'ériger de suite comme l'un de ses meilleurs romans, force est de reconnaître que l'essence-même de King est déjà infusée. Carrie devient la première d'une longue lignée de personnages marginalisés, que l'on retrouve dans divers œuvres de l'auteur, symboles d'une société les ayant mis au ban contre leur gré. Le flot d'insultes que reçoit Carrie durant le premier chapitre, ainsi que les multiples persécutions subies, dépeignent un portrait peu glorieux de l'Amérique, et montrent ainsi les contours d'une critique qu'assène King contre un pays qu'il aime pourtant sincèrement. Mais le personnage malmené de Carrie n'est qu'un élément parmi d'autres qui contribuent à rendre le roman unique. Prenons par exemple la dualité entre la marginale et Chris : elle démontre le talent de King pour ciseler ses personnages tels des joyaux, en dévoilant au premier abord la figure d'une fille de bonne famille mesquine, se croyant toute puissante derrière l'autorité de son père avocat. Mais elle révèle finalement une attirance pour le danger en sortant avec l'instable Billy, figure masculine dominant qui ne voit en Chris qu'une femme de plus à posséder le temps d'une semaine. Une autre dualité fascinante, c'est aussi celle entre Carrie et sa propre mère : fervente chrétienne étouffante, elle écrase la jeune fille d'une domination absolue sous couvert d'une absolution de leurs péchés qui ne semble jamais venir. L'ensemble se structure ainsi autour de ce point de rupture qui arrive doucement, mais sûrement, ce point de non-retour au-delà duquel l'état de Carrie bascule vers un pan incontrôlable. En matière de style, si King a admis que les extraits de journal/audio parsemés dans le roman ne sont là que pour augmenter la taille du récit, on reconnaîtra que cette démarche a pourvu Carrie d'un double récit palpitant. Même si les enjeux finaux nous sont révélés assez tôt par l'intermédiaire de journaux, ils offrent ainsi un regain d'intérêt pour l'intrigue, dans l'appréhension haletante du final sanglant promis. Et quel final, puisqu'il occupe un petit quart de l'œuvre, durant lequel l'explosion de la rancœur refoulée de Carrie se déverse sur l'ensemble de la ville dans un flot de flammes et de haine. Carrie, en première pierre d'un vaste édifice de l'horreur, fait désormais partie des incontournables de King, ayant eu droit à deux adaptations au cinéma qui ont largement véhiculé dans les esprits cette image, gravée à jamais, d'une jeune femme en sang dont le regard marquera encore de nombreuses générations. Carrie est, comme le montre la fin du récit, éternelle.
Claire SeDecitre Crêches-sur-Saône
5/5
White or Red
Peut-être l'un des premiers du genre (et de Stephen King) que j'ai lu; aussi l'une des premières adaptations de l'auteur dans les années 70 que j'ai regardé. Il a inspiré nombre d'auteurs et de cinématographes, terrorisé nombre d'adolescents maintenant adultes. Carrie est comme son personnage principal: dérangeant, malaisant, naïf. C'est avec une aisance presque malsaine qu'on entre dans le quotidien chaotique de Carrie White, une lycéenne prise entre brimades à l'école, premières règles, incompréhension et mère totalement vouée à Dieu et à son livre sacré. Mais à trop abuser des personnes naïves, on s'en mord les doigts. Carrie aura sa vengeance.
Peut-être l'un des premiers du genre (et de Stephen King) que j'ai lu; aussi l'une des premières adaptations de l'auteur dans les années 70 que j'ai regardé. Il a inspiré nombre d'auteurs et de cinématographes, terrorisé nombre d'adolescents maintenant adultes. Carrie est comme son personnage principal: dérangeant, malaisant, naïf. C'est avec une aisance presque malsaine qu'on entre dans le quotidien chaotique de Carrie White, une lycéenne prise entre brimades à l'école, premières règles, incompréhension et mère totalement vouée à Dieu et à son livre sacré. Mais à trop abuser des personnes naïves, on s'en mord les doigts. Carrie aura sa vengeance.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.9/5
sur 55 notes dont 2 avis lecteurs
Peut mieux faire
Une adolescente vit avec une mère dont le mysticisme est exacerbé au point de rendre Carrie l'héroïne, introvertie, mal aimée et moquée par les autres. Mais Carrie a des pouvoirs que les autres ignorent. Elle subie des brimades depuis qu'elle est enfant. Un jour sous la douche du gymnase de l'école elle est affolée par l'apparition de ses règles à 17 ans sans savoir ce qui lui arrive. Les autres filles alors vont se moquer d'elle de façon violente et plus tard au bal de fin d'année alors qu'elle pensait être enfin acceptée un événement tragique va tout faire basculer, et les pouvoirs de Carrie vont se retourner contre tous ceux qui l'ont humiliée et même ceux qui vont se trouver là au mauvais endroit et au mauvais moment. L'idée aurait pu être intéressante mais il n'y a pas de suspense. dès le début ,on imagine un peu la fin. Les personnages font un peu clichés. La fille gâtée d'un avocat qui fait des caprices et veut se venger. Carrie qui, comme par hasard n'a aucune amie. Le méchant garçon issue d'une famille à problèmes. La gentille ado qui veut se faire pardonner son attitude envers Carrie et qui, au lieu d'aller lui demander pardon préfère envoyer son petit copain demander à Carrie de l'accompagner au bal de fin d'année. Bref, c'est un petit moment de lecture mais rien de transcendant.
Une adolescente vit avec une mère dont le mysticisme est exacerbé au point de rendre Carrie l'héroïne, introvertie, mal aimée et moquée par les autres. Mais Carrie a des pouvoirs que les autres ignorent. Elle subie des brimades depuis qu'elle est enfant. Un jour sous la douche du gymnase de l'école elle est affolée par l'apparition de ses règles à 17 ans sans savoir ce qui lui arrive. Les autres filles alors vont se moquer d'elle de façon violente et plus tard au bal de fin d'année alors qu'elle pensait être enfin acceptée un événement tragique va tout faire basculer, et les pouvoirs de Carrie vont se retourner contre tous ceux qui l'ont humiliée et même ceux qui vont se trouver là au mauvais endroit et au mauvais moment. L'idée aurait pu être intéressante mais il n'y a pas de suspense. dès le début ,on imagine un peu la fin. Les personnages font un peu clichés. La fille gâtée d'un avocat qui fait des caprices et veut se venger. Carrie qui, comme par hasard n'a aucune amie. Le méchant garçon issue d'une famille à problèmes. La gentille ado qui veut se faire pardonner son attitude envers Carrie et qui, au lieu d'aller lui demander pardon préfère envoyer son petit copain demander à Carrie de l'accompagner au bal de fin d'année. Bref, c'est un petit moment de lecture mais rien de transcendant.
  • adolescence
  • telekinésie
  • mysticisme
un summum
Un summum. un des meilleur stephen king. L'histoire est glauque, dérangeante et la fin terrifiante; J'ai lu la plupart des king quand j'étais ado et celui ci est un de ceux qui m'ont le plus marqué.
Un summum. un des meilleur stephen king. L'histoire est glauque, dérangeante et la fin terrifiante; J'ai lu la plupart des king quand j'étais ado et celui ci est un de ceux qui m'ont le plus marqué.
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