Carnets d'un peintre. Peinture de bruit - peinture de silence, carnets I à XIX (1961-1965)
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- Nombre de pages180
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-20050-0
- EAN9782296200500
- Date de parution01/09/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGermain Roesz
Résumé
Ce livre présente des extraits de 43 carnets journaliers que le peintre Jean Legros appelait " mes bréviaires ". Ils sont tirés des carnets I à XIX (de 1961 à 1965) qu'il réunit sous le titre Peinture de bruit, peinture de silence. Il faut prendre quelques précautions pour que le lecteur comprenne le sens de ces écrits et les remette dans leur contexte. Ils sont contemporains de la tentative du peintre de poursuivre la grande aventure de la peinture, de la garder sur cette ligne où elle aurait pour qualité de produire son propre monde.
Dans le même temps ils sont bien de leur époque : références aux artistes du temps, aux critiques du temps, aux polémiques du temps. Ils s'énoncent aussi dans cette tentative d'échapper aux formes stylistiques et théoriques de l'époque et dans le même temps elles sont (redevables de) tout cela. Les textes relèvent parfois du manifeste, interrogent les conditions de réception de l'oeuvre, soumettent aussi au lecteur le compagnonnage de l'artiste (on y croise Fra Angelico, Roger Bissière, Auguste Herbin, Aurélie Nemours).
Les textes présentés ici (dans leur forme originelle) alternent l'aspect théorique et biographique qui en font un témoignage exceptionnel pour mieux comprendre le grand peintre que fut Jean Legros, pour saisir ses visées, ses amertumes, ses paradoxes.
Dans le même temps ils sont bien de leur époque : références aux artistes du temps, aux critiques du temps, aux polémiques du temps. Ils s'énoncent aussi dans cette tentative d'échapper aux formes stylistiques et théoriques de l'époque et dans le même temps elles sont (redevables de) tout cela. Les textes relèvent parfois du manifeste, interrogent les conditions de réception de l'oeuvre, soumettent aussi au lecteur le compagnonnage de l'artiste (on y croise Fra Angelico, Roger Bissière, Auguste Herbin, Aurélie Nemours).
Les textes présentés ici (dans leur forme originelle) alternent l'aspect théorique et biographique qui en font un témoignage exceptionnel pour mieux comprendre le grand peintre que fut Jean Legros, pour saisir ses visées, ses amertumes, ses paradoxes.
Ce livre présente des extraits de 43 carnets journaliers que le peintre Jean Legros appelait " mes bréviaires ". Ils sont tirés des carnets I à XIX (de 1961 à 1965) qu'il réunit sous le titre Peinture de bruit, peinture de silence. Il faut prendre quelques précautions pour que le lecteur comprenne le sens de ces écrits et les remette dans leur contexte. Ils sont contemporains de la tentative du peintre de poursuivre la grande aventure de la peinture, de la garder sur cette ligne où elle aurait pour qualité de produire son propre monde.
Dans le même temps ils sont bien de leur époque : références aux artistes du temps, aux critiques du temps, aux polémiques du temps. Ils s'énoncent aussi dans cette tentative d'échapper aux formes stylistiques et théoriques de l'époque et dans le même temps elles sont (redevables de) tout cela. Les textes relèvent parfois du manifeste, interrogent les conditions de réception de l'oeuvre, soumettent aussi au lecteur le compagnonnage de l'artiste (on y croise Fra Angelico, Roger Bissière, Auguste Herbin, Aurélie Nemours).
Les textes présentés ici (dans leur forme originelle) alternent l'aspect théorique et biographique qui en font un témoignage exceptionnel pour mieux comprendre le grand peintre que fut Jean Legros, pour saisir ses visées, ses amertumes, ses paradoxes.
Dans le même temps ils sont bien de leur époque : références aux artistes du temps, aux critiques du temps, aux polémiques du temps. Ils s'énoncent aussi dans cette tentative d'échapper aux formes stylistiques et théoriques de l'époque et dans le même temps elles sont (redevables de) tout cela. Les textes relèvent parfois du manifeste, interrogent les conditions de réception de l'oeuvre, soumettent aussi au lecteur le compagnonnage de l'artiste (on y croise Fra Angelico, Roger Bissière, Auguste Herbin, Aurélie Nemours).
Les textes présentés ici (dans leur forme originelle) alternent l'aspect théorique et biographique qui en font un témoignage exceptionnel pour mieux comprendre le grand peintre que fut Jean Legros, pour saisir ses visées, ses amertumes, ses paradoxes.