Carnet de route de Jean Ploussard
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- Nombre de pages328
- FormatPDF
- ISBN10-369-1227-2
- EAN9791036912276
- Date de parution01/01/1964
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille74 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
Né en mai 1928 en Meurthe-et-Moselle, Jean Ploussard est mort à trente-trois ans, en février 1962, au Niger. Mais il ne s'appelait plus Jean Ploussard ; il s'appelait le frère Yakhia Ag Rissa, c'est-à-dire en langue tamacheq, la langue des Touareg : Jean de Jésus.
Prêtre, de la congrégation des Rédemptoristes, il était devenu un Targui parmi les autres, et c'est au désert, à Tchirozérine où il résidait entre deux nomadisations, qu'il s'est abattu au sol pour ne plus se relever avant la consommation des temps.
A travers cette autobiographie spontanée d'un garçon dont la générosité pétulante et la lucidité non dénuée d'humour forment un personnage étonnant, on découvrira indissolublement liés un itinéraire spirituel et une aventure missionnaire où se trouvent souvent, et parfois dramatiquement, posés bien des problèmes qui sont ceux de l'Église de notre temps. « Nous n'avions rien connu d'aussi pur, d'aussi passionné, d'aussi beau depuis sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, depuis le père de Foucauld...
» (A. M. Henry, Télérama). « Il faut lire ce carnet, devenu un livre imposant, vivant, débordant de sincérité mais aussi de substance spirituelle. » (Lucien Guissard, La Croix).
A travers cette autobiographie spontanée d'un garçon dont la générosité pétulante et la lucidité non dénuée d'humour forment un personnage étonnant, on découvrira indissolublement liés un itinéraire spirituel et une aventure missionnaire où se trouvent souvent, et parfois dramatiquement, posés bien des problèmes qui sont ceux de l'Église de notre temps. « Nous n'avions rien connu d'aussi pur, d'aussi passionné, d'aussi beau depuis sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, depuis le père de Foucauld...
» (A. M. Henry, Télérama). « Il faut lire ce carnet, devenu un livre imposant, vivant, débordant de sincérité mais aussi de substance spirituelle. » (Lucien Guissard, La Croix).
Né en mai 1928 en Meurthe-et-Moselle, Jean Ploussard est mort à trente-trois ans, en février 1962, au Niger. Mais il ne s'appelait plus Jean Ploussard ; il s'appelait le frère Yakhia Ag Rissa, c'est-à-dire en langue tamacheq, la langue des Touareg : Jean de Jésus.
Prêtre, de la congrégation des Rédemptoristes, il était devenu un Targui parmi les autres, et c'est au désert, à Tchirozérine où il résidait entre deux nomadisations, qu'il s'est abattu au sol pour ne plus se relever avant la consommation des temps.
A travers cette autobiographie spontanée d'un garçon dont la générosité pétulante et la lucidité non dénuée d'humour forment un personnage étonnant, on découvrira indissolublement liés un itinéraire spirituel et une aventure missionnaire où se trouvent souvent, et parfois dramatiquement, posés bien des problèmes qui sont ceux de l'Église de notre temps. « Nous n'avions rien connu d'aussi pur, d'aussi passionné, d'aussi beau depuis sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, depuis le père de Foucauld...
» (A. M. Henry, Télérama). « Il faut lire ce carnet, devenu un livre imposant, vivant, débordant de sincérité mais aussi de substance spirituelle. » (Lucien Guissard, La Croix).
A travers cette autobiographie spontanée d'un garçon dont la générosité pétulante et la lucidité non dénuée d'humour forment un personnage étonnant, on découvrira indissolublement liés un itinéraire spirituel et une aventure missionnaire où se trouvent souvent, et parfois dramatiquement, posés bien des problèmes qui sont ceux de l'Église de notre temps. « Nous n'avions rien connu d'aussi pur, d'aussi passionné, d'aussi beau depuis sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, depuis le père de Foucauld...
» (A. M. Henry, Télérama). « Il faut lire ce carnet, devenu un livre imposant, vivant, débordant de sincérité mais aussi de substance spirituelle. » (Lucien Guissard, La Croix).



