Capitalisme et progrès social
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- Nombre de pages118
- FormatePub
- ISBN978-2-348-05855-4
- EAN9782348058554
- Date de parution13/02/2020
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurLa Découverte
Résumé
Dans beaucoup de pays avancés, le progrès social semble aujourd'hui en panne. La baisse de l'espérance de vie aux États-Unis en est peut-être le signe le plus frappant, mais la stagnation du pouvoir d'achat des salaires les plus bas est presque générale et la détérioration de l'environnement est maintenant visible, à l'échelle planétaire. En attribuer la faute au seul capitalisme serait une erreur.
Il n'est pas plus responsable de la panne actuelle qu'il ne l'était hier des progrès accomplis. Si quelques sociétés ont vu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les conditions de vie du plus grand nombre s'améliorer fortement, c'est parce qu'elles ont réussi à réguler et guider le capitalisme : malgré sa myopie, il a pu ainsi devenir l'instrument d'un réel progrès social. La mondialisation et la révolution informatique ont fait tomber cet improbable attelage dans une ornière.
Reprendre le chemin du progrès social est possible. Mais il faut pour cela mobiliser volonté et imagination sociales pour baliser à nouveau le chemin sur lequel nos sociétés veulent que le capitalisme les fasse avancer.
Il n'est pas plus responsable de la panne actuelle qu'il ne l'était hier des progrès accomplis. Si quelques sociétés ont vu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les conditions de vie du plus grand nombre s'améliorer fortement, c'est parce qu'elles ont réussi à réguler et guider le capitalisme : malgré sa myopie, il a pu ainsi devenir l'instrument d'un réel progrès social. La mondialisation et la révolution informatique ont fait tomber cet improbable attelage dans une ornière.
Reprendre le chemin du progrès social est possible. Mais il faut pour cela mobiliser volonté et imagination sociales pour baliser à nouveau le chemin sur lequel nos sociétés veulent que le capitalisme les fasse avancer.
Dans beaucoup de pays avancés, le progrès social semble aujourd'hui en panne. La baisse de l'espérance de vie aux États-Unis en est peut-être le signe le plus frappant, mais la stagnation du pouvoir d'achat des salaires les plus bas est presque générale et la détérioration de l'environnement est maintenant visible, à l'échelle planétaire. En attribuer la faute au seul capitalisme serait une erreur.
Il n'est pas plus responsable de la panne actuelle qu'il ne l'était hier des progrès accomplis. Si quelques sociétés ont vu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les conditions de vie du plus grand nombre s'améliorer fortement, c'est parce qu'elles ont réussi à réguler et guider le capitalisme : malgré sa myopie, il a pu ainsi devenir l'instrument d'un réel progrès social. La mondialisation et la révolution informatique ont fait tomber cet improbable attelage dans une ornière.
Reprendre le chemin du progrès social est possible. Mais il faut pour cela mobiliser volonté et imagination sociales pour baliser à nouveau le chemin sur lequel nos sociétés veulent que le capitalisme les fasse avancer.
Il n'est pas plus responsable de la panne actuelle qu'il ne l'était hier des progrès accomplis. Si quelques sociétés ont vu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les conditions de vie du plus grand nombre s'améliorer fortement, c'est parce qu'elles ont réussi à réguler et guider le capitalisme : malgré sa myopie, il a pu ainsi devenir l'instrument d'un réel progrès social. La mondialisation et la révolution informatique ont fait tomber cet improbable attelage dans une ornière.
Reprendre le chemin du progrès social est possible. Mais il faut pour cela mobiliser volonté et imagination sociales pour baliser à nouveau le chemin sur lequel nos sociétés veulent que le capitalisme les fasse avancer.