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En journalisme, les faits sont sacrés et le commentaire libre. C'est la raison pour laquelle tout journaliste, avant d'exposer ses écrits au public, a le sacré devoir de vérifier, autant de fois que nécessaire, la véracité des informations reçues des sources qui peuvent ne pas toujours être désintéressées. Ces dernières années pourtant, se sont confortablement installés dans certaines rédactions de la presse écrite au Cameroun, des procureurs, des faiseurs de rois et des destructeurs de carrières, qui, déguisés en journalistes, terrorisent qui ils veulent, dans un jeu de massacres à intérêts multiples et croisés.
Cameroun : cette presse qui nous manipule si souvent se veut un cri de coeur, plus qu'une autre dénonciation, afin que l'ensemble de la presse écrite camerounaise se transforme en un puissant levier de développement.
Encouragement
Je peux modestement être dans le cercle des gens que l'auteur de ce livre a fréquentés dans sa jeunesse à Monatélé. Je tais les affinités qui existent entre un des personnages évoqués dans "ce procès" justifié contre une certaine honteuse presse camerounaise. Il me souvient encore de l'un de ses écrits dans un journal de la place alors qu'il était encore lycéen. Et le titre de l'un de ses articles donnait déjà le ton:" Raison et non sens". Ni l'âge, encore moins les responsabilités, n'ont attaqué sa constance et sa pertinence. Nous en attendons davantage; salut l'artiste