Camées et intailles. Tome 1, Les portraits grecs du Cabinet des médailles
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages2
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7177-2585-8
- EAN9782717725858
- Date de parution17/09/2018
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions de la Bibliothèque nati...
Résumé
Le Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France compte parmi ses trésors la plus importante collection de pierres gravées au monde (près de dix mille). Nombre d'entre elles, d'une qualité exceptionnelle, gravées pour des princes durant l'Antiquité, nous ont été transmises par les rois de France qui les firent orner de montures d'or décorées de pierres précieuses et d'émaux. C'est la plus éminente spécialiste de la glyptique antique, Marie-Louise Vollenweider, qui inaugure l'étude des pierres grecques et romaines avec le catalogue raisonné des portraits antiques, résultat de trente années de travail.
Pour ce premier tome, consacré à la naissance du portrait et à son développement à l'époque hellénistique - qui sera suivi d'un second sur les portraits romains -, 283 camées et intailles ont été sélectionnés. D'une conception résolument nouvelle, ce catalogue ne se contente pas d'établir un classement des oeuvres, selon le style d'une époque et la manière d'un graveur, mais cherche à comprendre l'esprit du temps, le talent des graveurs et la psychologie des personnages représentés.
Ceux-ci, restés jusqu'ici anonymes, ont retrouvé leur identité de princes et de princesses hellénistiques - ptolémaïques, séleucides, pontiques, cappadociens -, d'artisans ou de philosophes, mais aussi une vie nouvelle. Car pour Marie-Louise Vollenweider, le visage parle et elle en comprend parfaitement le langage. Notons aussi certaines attributions inédites à des artistes, dont la plus novatrice est celle d'un camée d'Alexandre le Grand au plus célèbre graveur de l'Antiquité, Pyrgotélès, connu par le témoignage de Pline l'Ancien, mais dont aucune ouvre n'avait été jusqu'à présent identifiée.
Ce serait là le seul portrait du grand souverain réalisé de son vivant.
Pour ce premier tome, consacré à la naissance du portrait et à son développement à l'époque hellénistique - qui sera suivi d'un second sur les portraits romains -, 283 camées et intailles ont été sélectionnés. D'une conception résolument nouvelle, ce catalogue ne se contente pas d'établir un classement des oeuvres, selon le style d'une époque et la manière d'un graveur, mais cherche à comprendre l'esprit du temps, le talent des graveurs et la psychologie des personnages représentés.
Ceux-ci, restés jusqu'ici anonymes, ont retrouvé leur identité de princes et de princesses hellénistiques - ptolémaïques, séleucides, pontiques, cappadociens -, d'artisans ou de philosophes, mais aussi une vie nouvelle. Car pour Marie-Louise Vollenweider, le visage parle et elle en comprend parfaitement le langage. Notons aussi certaines attributions inédites à des artistes, dont la plus novatrice est celle d'un camée d'Alexandre le Grand au plus célèbre graveur de l'Antiquité, Pyrgotélès, connu par le témoignage de Pline l'Ancien, mais dont aucune ouvre n'avait été jusqu'à présent identifiée.
Ce serait là le seul portrait du grand souverain réalisé de son vivant.
Le Cabinet des médailles de la Bibliothèque nationale de France compte parmi ses trésors la plus importante collection de pierres gravées au monde (près de dix mille). Nombre d'entre elles, d'une qualité exceptionnelle, gravées pour des princes durant l'Antiquité, nous ont été transmises par les rois de France qui les firent orner de montures d'or décorées de pierres précieuses et d'émaux. C'est la plus éminente spécialiste de la glyptique antique, Marie-Louise Vollenweider, qui inaugure l'étude des pierres grecques et romaines avec le catalogue raisonné des portraits antiques, résultat de trente années de travail.
Pour ce premier tome, consacré à la naissance du portrait et à son développement à l'époque hellénistique - qui sera suivi d'un second sur les portraits romains -, 283 camées et intailles ont été sélectionnés. D'une conception résolument nouvelle, ce catalogue ne se contente pas d'établir un classement des oeuvres, selon le style d'une époque et la manière d'un graveur, mais cherche à comprendre l'esprit du temps, le talent des graveurs et la psychologie des personnages représentés.
Ceux-ci, restés jusqu'ici anonymes, ont retrouvé leur identité de princes et de princesses hellénistiques - ptolémaïques, séleucides, pontiques, cappadociens -, d'artisans ou de philosophes, mais aussi une vie nouvelle. Car pour Marie-Louise Vollenweider, le visage parle et elle en comprend parfaitement le langage. Notons aussi certaines attributions inédites à des artistes, dont la plus novatrice est celle d'un camée d'Alexandre le Grand au plus célèbre graveur de l'Antiquité, Pyrgotélès, connu par le témoignage de Pline l'Ancien, mais dont aucune ouvre n'avait été jusqu'à présent identifiée.
Ce serait là le seul portrait du grand souverain réalisé de son vivant.
Pour ce premier tome, consacré à la naissance du portrait et à son développement à l'époque hellénistique - qui sera suivi d'un second sur les portraits romains -, 283 camées et intailles ont été sélectionnés. D'une conception résolument nouvelle, ce catalogue ne se contente pas d'établir un classement des oeuvres, selon le style d'une époque et la manière d'un graveur, mais cherche à comprendre l'esprit du temps, le talent des graveurs et la psychologie des personnages représentés.
Ceux-ci, restés jusqu'ici anonymes, ont retrouvé leur identité de princes et de princesses hellénistiques - ptolémaïques, séleucides, pontiques, cappadociens -, d'artisans ou de philosophes, mais aussi une vie nouvelle. Car pour Marie-Louise Vollenweider, le visage parle et elle en comprend parfaitement le langage. Notons aussi certaines attributions inédites à des artistes, dont la plus novatrice est celle d'un camée d'Alexandre le Grand au plus célèbre graveur de l'Antiquité, Pyrgotélès, connu par le témoignage de Pline l'Ancien, mais dont aucune ouvre n'avait été jusqu'à présent identifiée.
Ce serait là le seul portrait du grand souverain réalisé de son vivant.