C'était Marguerite Duras T.2

Par : Jean Vallier
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  • Nombre de pages850
  • FormatePub
  • ISBN978-2-213-68297-6
  • EAN9782213682976
  • Date de parution08/09/2010
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFayard

Résumé

Après-guerre, Marguerite Duras vit avec son ancien mari Robert Antelme et son compagnon Dionys Mascolo, le père de son fils Jean. Le trio accueille, rue St Benoît, des amis communistes: Edgar Morin, Maurice Blanchot, Elio Vittorini. Exclus du PCF, opposés à la prise du pouvoir par de Gaulle en 1958, Antelme, Morin et Mascolo écrivent le Manifeste des 121 que signe Marguerite. Tous soutiennent le FLN.
Un Barrage contre le Pacifique, le "roman de la mère", est une manière pour Duras d'en finir avec la famille. La vente des droits cinématographiques lui permet d'acheter une maison. C'est le début de la notoriété et de son incursion dans le cinéma (carrière mondiale du film Hiroshima mon amour, co-écrit avec Alain Resnais, l'adaptation de Moderato Cantabile par Peter Brook) et dans le théâtre avec notamment Miracle en Alabama.
Après une nouvelle rupture en 1964, Marguerite sombre dans l'alcoolisme et peine à écrire. Elle se consacre alors au cinéma, soutient les immigrés, les réfugiés politiques chiliens et les féministes. En 1980, un ultime compagnon entre dans sa vie: Yann Andréa. Duras s'impose avec L'Amant, Goncourt 1984, et une forte présence médiatique (nombreux articles dans Libération, dont ceux controversés sur l'affaire Villemin, et une série d'entretiens avec Mitterrand en 1986).
Elle s'éteint en mars 1996. Dans cette biographie riche d'inédits et d'entretiens, Jean Vallier dresse le portrait passionnant d'un écrivain mondialement reconnu, qui fut aussi une militante engagée. Il nous révèle une femme qui ne fut peut-être pas tout à fait celle qu'elle prétendit être à travers ses romans.
Après-guerre, Marguerite Duras vit avec son ancien mari Robert Antelme et son compagnon Dionys Mascolo, le père de son fils Jean. Le trio accueille, rue St Benoît, des amis communistes: Edgar Morin, Maurice Blanchot, Elio Vittorini. Exclus du PCF, opposés à la prise du pouvoir par de Gaulle en 1958, Antelme, Morin et Mascolo écrivent le Manifeste des 121 que signe Marguerite. Tous soutiennent le FLN.
Un Barrage contre le Pacifique, le "roman de la mère", est une manière pour Duras d'en finir avec la famille. La vente des droits cinématographiques lui permet d'acheter une maison. C'est le début de la notoriété et de son incursion dans le cinéma (carrière mondiale du film Hiroshima mon amour, co-écrit avec Alain Resnais, l'adaptation de Moderato Cantabile par Peter Brook) et dans le théâtre avec notamment Miracle en Alabama.
Après une nouvelle rupture en 1964, Marguerite sombre dans l'alcoolisme et peine à écrire. Elle se consacre alors au cinéma, soutient les immigrés, les réfugiés politiques chiliens et les féministes. En 1980, un ultime compagnon entre dans sa vie: Yann Andréa. Duras s'impose avec L'Amant, Goncourt 1984, et une forte présence médiatique (nombreux articles dans Libération, dont ceux controversés sur l'affaire Villemin, et une série d'entretiens avec Mitterrand en 1986).
Elle s'éteint en mars 1996. Dans cette biographie riche d'inédits et d'entretiens, Jean Vallier dresse le portrait passionnant d'un écrivain mondialement reconnu, qui fut aussi une militante engagée. Il nous révèle une femme qui ne fut peut-être pas tout à fait celle qu'elle prétendit être à travers ses romans.