C'est une étrange aventure que de survivre
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- Nombre de pages180
- FormatePub
- ISBN978-2-7096-4178-4
- EAN9782709641784
- Date de parution13/03/2013
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJC Lattès
Résumé
L'église, le Tsunami et la maladie« Avez-vous des raisons personnelles de croire aux miracles ? » Telle est la question posée par trois officiels de l'Église à un écrivain catholique. Ils étaient bien renseignés. Plutôt que de leur répondre directement, je décidai de les conduire dans des contrées où la mort et la survie ne sont pas des questions théoriques. Le tsunami du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien.
Je m'y suis rendu peu après, effaré de ce que je pouvais constater : des vivants hagards, des cadavres pas encore évacués, un spectacle de destruction. Le 30 mars 2008, un tsunami personnel m'atteignit sous la forme d'une très grave maladie. Une vague qui faillit m'emporter, et qui vient encore me lécher sournoisement les pieds. Depuis des siècles, des vagues successives ont érodé le rocher sur lequel mon Église se croyait invulnérable au point que le roc est devenu sable mouvant.
Le sol se dérobant, cette Église est devenue malhabile, querelleuse parfois, en quête de chemins de survie. Quand on a connu des situations catastrophiques et frôlé la mort, on ne peut pas se dérober à l'essentiel. La vague qui a failli m'emporter m'a appris la vulnérabilité et m'a révélé que c'est dans celle-ci que le salut survient. Je crois que mon Église saura trouver dans sa faiblesse grandissante les voies d'une conversion salutaire.
Elle en a besoin.
Je m'y suis rendu peu après, effaré de ce que je pouvais constater : des vivants hagards, des cadavres pas encore évacués, un spectacle de destruction. Le 30 mars 2008, un tsunami personnel m'atteignit sous la forme d'une très grave maladie. Une vague qui faillit m'emporter, et qui vient encore me lécher sournoisement les pieds. Depuis des siècles, des vagues successives ont érodé le rocher sur lequel mon Église se croyait invulnérable au point que le roc est devenu sable mouvant.
Le sol se dérobant, cette Église est devenue malhabile, querelleuse parfois, en quête de chemins de survie. Quand on a connu des situations catastrophiques et frôlé la mort, on ne peut pas se dérober à l'essentiel. La vague qui a failli m'emporter m'a appris la vulnérabilité et m'a révélé que c'est dans celle-ci que le salut survient. Je crois que mon Église saura trouver dans sa faiblesse grandissante les voies d'une conversion salutaire.
Elle en a besoin.
L'église, le Tsunami et la maladie« Avez-vous des raisons personnelles de croire aux miracles ? » Telle est la question posée par trois officiels de l'Église à un écrivain catholique. Ils étaient bien renseignés. Plutôt que de leur répondre directement, je décidai de les conduire dans des contrées où la mort et la survie ne sont pas des questions théoriques. Le tsunami du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien.
Je m'y suis rendu peu après, effaré de ce que je pouvais constater : des vivants hagards, des cadavres pas encore évacués, un spectacle de destruction. Le 30 mars 2008, un tsunami personnel m'atteignit sous la forme d'une très grave maladie. Une vague qui faillit m'emporter, et qui vient encore me lécher sournoisement les pieds. Depuis des siècles, des vagues successives ont érodé le rocher sur lequel mon Église se croyait invulnérable au point que le roc est devenu sable mouvant.
Le sol se dérobant, cette Église est devenue malhabile, querelleuse parfois, en quête de chemins de survie. Quand on a connu des situations catastrophiques et frôlé la mort, on ne peut pas se dérober à l'essentiel. La vague qui a failli m'emporter m'a appris la vulnérabilité et m'a révélé que c'est dans celle-ci que le salut survient. Je crois que mon Église saura trouver dans sa faiblesse grandissante les voies d'une conversion salutaire.
Elle en a besoin.
Je m'y suis rendu peu après, effaré de ce que je pouvais constater : des vivants hagards, des cadavres pas encore évacués, un spectacle de destruction. Le 30 mars 2008, un tsunami personnel m'atteignit sous la forme d'une très grave maladie. Une vague qui faillit m'emporter, et qui vient encore me lécher sournoisement les pieds. Depuis des siècles, des vagues successives ont érodé le rocher sur lequel mon Église se croyait invulnérable au point que le roc est devenu sable mouvant.
Le sol se dérobant, cette Église est devenue malhabile, querelleuse parfois, en quête de chemins de survie. Quand on a connu des situations catastrophiques et frôlé la mort, on ne peut pas se dérober à l'essentiel. La vague qui a failli m'emporter m'a appris la vulnérabilité et m'a révélé que c'est dans celle-ci que le salut survient. Je crois que mon Église saura trouver dans sa faiblesse grandissante les voies d'une conversion salutaire.
Elle en a besoin.