Coup de coeur

C'est moi qui éteins les lumières

Par : Zoyâ Pirzâd
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  • Nombre de pages352
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84304-644-5
  • EAN9782843046445
  • Date de parution02/05/2013
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille369 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurZULMA
  • TraducteurChristophe Balaÿ

Résumé

Clarisse est d'une simplicité de cour qui la rend spontanément attachante. Autour de cette héroïne malgré elle gravite tout un petit monde : un mari ingénieur, deux adorables et malicieuses jumelles, Armen, le fils vénéré en pleine crise d'adolescence, une sour à marier un peu revêche, et la vieille mère qui règne sur la maisonnée, dans le quartier arménien d'Abadan. Pourtant la très modeste Clarisse va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien quand de nouveaux voisins viennent bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible. Immense succès en Iran, le premier livre d'une romancière adulée de ses lecteurs. Romancière, traductrice, Zoyâ Pirzâd, née à Abadan d'un père iranien d'origine russe et d'une mère arménienne, fait partie de ces auteurs iraniens majeurs qui ouvrent sur le monde l'écriture persane sans rien céder de leur singularité.
C'est moi qui éteins les lumières, immense succès en Iran, salué par de nombreux prix, dresse avec justesse et drôlerie le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes.
Clarisse est d'une simplicité de cour qui la rend spontanément attachante. Autour de cette héroïne malgré elle gravite tout un petit monde : un mari ingénieur, deux adorables et malicieuses jumelles, Armen, le fils vénéré en pleine crise d'adolescence, une sour à marier un peu revêche, et la vieille mère qui règne sur la maisonnée, dans le quartier arménien d'Abadan. Pourtant la très modeste Clarisse va bientôt révéler sa nature de personnage tchekhovien quand de nouveaux voisins viennent bouleverser l'équilibre affectif de notre femme invisible. Immense succès en Iran, le premier livre d'une romancière adulée de ses lecteurs. Romancière, traductrice, Zoyâ Pirzâd, née à Abadan d'un père iranien d'origine russe et d'une mère arménienne, fait partie de ces auteurs iraniens majeurs qui ouvrent sur le monde l'écriture persane sans rien céder de leur singularité.
C'est moi qui éteins les lumières, immense succès en Iran, salué par de nombreux prix, dresse avec justesse et drôlerie le portrait d'une société patriarcale scellée par les usages et traditions des femmes.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
5/5
Zoya Pirzad nous décrit à travers le quotidien de Clarisse, une jeune mère de famille, les joies et les mini drames d'une famille arménienne installée en Iran : Clarisse, la mère de famille perfectionniste et attachée au bien être de sa famille, sa mère préoccupée uniquement par le célibat malheureux de sa fille aînées, les jumelles chamailleuses et attachantes, le mari distrait... Jusqu'au jour où un ténébreux voisin va venir troubler ce joyeux équilibre et semer le doute dans l'esprit de Clarisse... Une histoire tout en douceur et en subtilité.
Zoya Pirzad nous décrit à travers le quotidien de Clarisse, une jeune mère de famille, les joies et les mini drames d'une famille arménienne installée en Iran : Clarisse, la mère de famille perfectionniste et attachée au bien être de sa famille, sa mère préoccupée uniquement par le célibat malheureux de sa fille aînées, les jumelles chamailleuses et attachantes, le mari distrait... Jusqu'au jour où un ténébreux voisin va venir troubler ce joyeux équilibre et semer le doute dans l'esprit de Clarisse... Une histoire tout en douceur et en subtilité.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 18 notes dont 1 avis lecteur
C'est moi qui fais tout
C’est moi qui éteins les lumières, qui fais le ménage, le goûter des enfants, la cuisine, les réceptions, le ménage encore, les courses, le ménage toujours… Le cadre exotique pour le lecteur français – la communauté arménienne en Iran dans les années 1970 – ne suffit pas à tromper l’ennui et la banalité des propos. Clarisse, mère au foyer d’Armen, un adolescent intelligent, drôle et obéissant, et de jumelles, Arsineh et Armineh, intelligentes, drôles et… obéissantes, est la narratrice de leur quotidien dans un quartier préservé d’Abadan. Son mari, Artosh, remplit tout à fait son rôle de maître de maison : ronchon juste ce qu’il faut, il travaille à la très paternaliste Compagnie de raffinerie – qui leur fournit maison, jardinier, réparateur et ramassage scolaire – et trouve normal que sa femme se démène sans compter. Il se passionne pour les échecs, mais il a bien un défaut : il s’intéresse à la politique ! Surtout avant la révolution iranienne en 1979, le peuple ne doit en aucun cas prendre part aux questions d’ordre public, sous peine de s’attirer des ennuis. Bon nombre de personnages, comme la mère et la sœur de Clarisse, les voisins et leur marmaille, le commerçant du coin et la femme de ménage, agrémentent le récit de situations stéréotypées et prévisibles. Malgré l’apparence paisible, on croit au bouleversement quand de nouveaux voisins arrivent, mais pas d’inquiétude ! Si Clarisse éprouve une attirance pour Émile, elle ne passera jamais le cap de l’adultère. L’intrigue extra-conjugale est lissée au point qu’il ne se passe rien de particulier chez Clarisse lorsqu’Émile lui déclare en aimer une autre. Et la rencontre avec Madame Nourohalli, une Iranienne secrétaire et féministe, ne transcende pas non plus la vie de Clarisse, femme soumise qu’on garde à la maison pour nettoyer, cuisiner et ranger. Le potentiel était énorme, car Zoyâ Pirzâd aurait pu faire de Clarisse une femme qui s’émancipe, en quête de liberté et de plaisirs.
C’est moi qui éteins les lumières, qui fais le ménage, le goûter des enfants, la cuisine, les réceptions, le ménage encore, les courses, le ménage toujours… Le cadre exotique pour le lecteur français – la communauté arménienne en Iran dans les années 1970 – ne suffit pas à tromper l’ennui et la banalité des propos. Clarisse, mère au foyer d’Armen, un adolescent intelligent, drôle et obéissant, et de jumelles, Arsineh et Armineh, intelligentes, drôles et… obéissantes, est la narratrice de leur quotidien dans un quartier préservé d’Abadan. Son mari, Artosh, remplit tout à fait son rôle de maître de maison : ronchon juste ce qu’il faut, il travaille à la très paternaliste Compagnie de raffinerie – qui leur fournit maison, jardinier, réparateur et ramassage scolaire – et trouve normal que sa femme se démène sans compter. Il se passionne pour les échecs, mais il a bien un défaut : il s’intéresse à la politique ! Surtout avant la révolution iranienne en 1979, le peuple ne doit en aucun cas prendre part aux questions d’ordre public, sous peine de s’attirer des ennuis. Bon nombre de personnages, comme la mère et la sœur de Clarisse, les voisins et leur marmaille, le commerçant du coin et la femme de ménage, agrémentent le récit de situations stéréotypées et prévisibles. Malgré l’apparence paisible, on croit au bouleversement quand de nouveaux voisins arrivent, mais pas d’inquiétude ! Si Clarisse éprouve une attirance pour Émile, elle ne passera jamais le cap de l’adultère. L’intrigue extra-conjugale est lissée au point qu’il ne se passe rien de particulier chez Clarisse lorsqu’Émile lui déclare en aimer une autre. Et la rencontre avec Madame Nourohalli, une Iranienne secrétaire et féministe, ne transcende pas non plus la vie de Clarisse, femme soumise qu’on garde à la maison pour nettoyer, cuisiner et ranger. Le potentiel était énorme, car Zoyâ Pirzâd aurait pu faire de Clarisse une femme qui s’émancipe, en quête de liberté et de plaisirs.
  • XXe siècle
  • histoire de famille
  • Iran
  • quotidien
  • Abadan
  • Clarisse
  • Arman
  • Arsineh
  • Armineh
  • Artosh
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