Bruyante Techno. Réflexion sur le son de la free party
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages118
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-913169-57-9
- EAN9782913169579
- Date de parution12/09/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions Mélanie Seteun
Résumé
La free party, projet de rave gratuite, apparaît historiquement comme une conséquence de la difficulté d'organiser une fête basée sur la musique techno. Tandis que la majeure partie du mouvement techno est animée par un désir de s'insérer dans la société, la free party témoigne au contraire d'une résistance à la socialisation amorcée par les raves payantes. Essaimant dans toute l'Europe, la free party techno donne à vivre une fête fonctionnant sur des principes nettement distincts de ceux établis par la culture dominante.
À côté voire contre la société, suivant le degré de répression dont elle fait l'objet. L'intensité et la rugosité du son des free parties, l'étrangeté de la musique au regard de la production dominante ainsi que l'agressivité délibérée du message non verbal placent le bruit en position de concept clef pour saisir la signification du phénomène. La techno cumule toutes les dimensions du bruit, comme une provocation ultime au postulat conventionnel de la musique.
Au-delà, la techno irrite les oreilles de notre société pour des raisons qui excèdent largement le cadre musical. Mais la musique accompagne et est à la source de cette controverse, ce qui révèle l'existence d'un lien significatif entre le matériau musical et le phénomène social. Dans ce contexte de contre-culture radicale, la techno jouée dans les free parties mêle étroitement bruit et machine. Entre détournement et reproduction, l'instrumentation électronique est manipulée intuitivement pour produire un bruit qui se veut à la fois provocation et invention.
À côté voire contre la société, suivant le degré de répression dont elle fait l'objet. L'intensité et la rugosité du son des free parties, l'étrangeté de la musique au regard de la production dominante ainsi que l'agressivité délibérée du message non verbal placent le bruit en position de concept clef pour saisir la signification du phénomène. La techno cumule toutes les dimensions du bruit, comme une provocation ultime au postulat conventionnel de la musique.
Au-delà, la techno irrite les oreilles de notre société pour des raisons qui excèdent largement le cadre musical. Mais la musique accompagne et est à la source de cette controverse, ce qui révèle l'existence d'un lien significatif entre le matériau musical et le phénomène social. Dans ce contexte de contre-culture radicale, la techno jouée dans les free parties mêle étroitement bruit et machine. Entre détournement et reproduction, l'instrumentation électronique est manipulée intuitivement pour produire un bruit qui se veut à la fois provocation et invention.
La free party, projet de rave gratuite, apparaît historiquement comme une conséquence de la difficulté d'organiser une fête basée sur la musique techno. Tandis que la majeure partie du mouvement techno est animée par un désir de s'insérer dans la société, la free party témoigne au contraire d'une résistance à la socialisation amorcée par les raves payantes. Essaimant dans toute l'Europe, la free party techno donne à vivre une fête fonctionnant sur des principes nettement distincts de ceux établis par la culture dominante.
À côté voire contre la société, suivant le degré de répression dont elle fait l'objet. L'intensité et la rugosité du son des free parties, l'étrangeté de la musique au regard de la production dominante ainsi que l'agressivité délibérée du message non verbal placent le bruit en position de concept clef pour saisir la signification du phénomène. La techno cumule toutes les dimensions du bruit, comme une provocation ultime au postulat conventionnel de la musique.
Au-delà, la techno irrite les oreilles de notre société pour des raisons qui excèdent largement le cadre musical. Mais la musique accompagne et est à la source de cette controverse, ce qui révèle l'existence d'un lien significatif entre le matériau musical et le phénomène social. Dans ce contexte de contre-culture radicale, la techno jouée dans les free parties mêle étroitement bruit et machine. Entre détournement et reproduction, l'instrumentation électronique est manipulée intuitivement pour produire un bruit qui se veut à la fois provocation et invention.
À côté voire contre la société, suivant le degré de répression dont elle fait l'objet. L'intensité et la rugosité du son des free parties, l'étrangeté de la musique au regard de la production dominante ainsi que l'agressivité délibérée du message non verbal placent le bruit en position de concept clef pour saisir la signification du phénomène. La techno cumule toutes les dimensions du bruit, comme une provocation ultime au postulat conventionnel de la musique.
Au-delà, la techno irrite les oreilles de notre société pour des raisons qui excèdent largement le cadre musical. Mais la musique accompagne et est à la source de cette controverse, ce qui révèle l'existence d'un lien significatif entre le matériau musical et le phénomène social. Dans ce contexte de contre-culture radicale, la techno jouée dans les free parties mêle étroitement bruit et machine. Entre détournement et reproduction, l'instrumentation électronique est manipulée intuitivement pour produire un bruit qui se veut à la fois provocation et invention.