Bruno Chérier, Peintre du Nord, ami de Carpeaux. (1817-1880)
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- Nombre de pages110
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-3489-5
- EAN9782757434895
- Date de parution26/10/2022
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses Universitaires du Septen...
- PréfacierFrançois Robichon
Résumé
Le nom de Bruno Chérier (1817-1880) est passé à la postérité en raison de l'amitié qui le liait au sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux, dont il était le correspondant fidèle et le modèle. Cet ouvrage met en évidence le rôle de Chérier auprès du sculpteur : ils collaborent à leurs débuts à des chantiers communs, Chérier jouant un rôle essentiel dans la pratique de la peinture par Carpeaux et participant au choix des sujets inspirant son ami.
Le sculpteur nous a également laissé une série d'émouvants portraits de Chérier, aussi bien dessinés, peints que sculptés. Richement illustrée, cette étude permet également de restituer la carrière de Chérier, à la fois peintre et dessinateur de cartons de vitraux. Ancré dans le Nord mais aussi reflet plus large d'une esthétique propre au Second Empire et aux prémices de la iiie République, son ouvre est essentiellement formé de portraits et de décors religieux.
Valenciennois d'origine, il a notamment reçu des commandes à Tourcoing, Lille et Loos. Dans cette monographie, l'accent a été plus particulièrement porté sur les cycles décoratifs monumentaux dans les églises : Chérier est en effet le peintre qui a obtenu le plus de commandes au xixe siècle pour des édifices religieux de la métropole lilloise.
Le sculpteur nous a également laissé une série d'émouvants portraits de Chérier, aussi bien dessinés, peints que sculptés. Richement illustrée, cette étude permet également de restituer la carrière de Chérier, à la fois peintre et dessinateur de cartons de vitraux. Ancré dans le Nord mais aussi reflet plus large d'une esthétique propre au Second Empire et aux prémices de la iiie République, son ouvre est essentiellement formé de portraits et de décors religieux.
Valenciennois d'origine, il a notamment reçu des commandes à Tourcoing, Lille et Loos. Dans cette monographie, l'accent a été plus particulièrement porté sur les cycles décoratifs monumentaux dans les églises : Chérier est en effet le peintre qui a obtenu le plus de commandes au xixe siècle pour des édifices religieux de la métropole lilloise.
Le nom de Bruno Chérier (1817-1880) est passé à la postérité en raison de l'amitié qui le liait au sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux, dont il était le correspondant fidèle et le modèle. Cet ouvrage met en évidence le rôle de Chérier auprès du sculpteur : ils collaborent à leurs débuts à des chantiers communs, Chérier jouant un rôle essentiel dans la pratique de la peinture par Carpeaux et participant au choix des sujets inspirant son ami.
Le sculpteur nous a également laissé une série d'émouvants portraits de Chérier, aussi bien dessinés, peints que sculptés. Richement illustrée, cette étude permet également de restituer la carrière de Chérier, à la fois peintre et dessinateur de cartons de vitraux. Ancré dans le Nord mais aussi reflet plus large d'une esthétique propre au Second Empire et aux prémices de la iiie République, son ouvre est essentiellement formé de portraits et de décors religieux.
Valenciennois d'origine, il a notamment reçu des commandes à Tourcoing, Lille et Loos. Dans cette monographie, l'accent a été plus particulièrement porté sur les cycles décoratifs monumentaux dans les églises : Chérier est en effet le peintre qui a obtenu le plus de commandes au xixe siècle pour des édifices religieux de la métropole lilloise.
Le sculpteur nous a également laissé une série d'émouvants portraits de Chérier, aussi bien dessinés, peints que sculptés. Richement illustrée, cette étude permet également de restituer la carrière de Chérier, à la fois peintre et dessinateur de cartons de vitraux. Ancré dans le Nord mais aussi reflet plus large d'une esthétique propre au Second Empire et aux prémices de la iiie République, son ouvre est essentiellement formé de portraits et de décors religieux.
Valenciennois d'origine, il a notamment reçu des commandes à Tourcoing, Lille et Loos. Dans cette monographie, l'accent a été plus particulièrement porté sur les cycles décoratifs monumentaux dans les églises : Chérier est en effet le peintre qui a obtenu le plus de commandes au xixe siècle pour des édifices religieux de la métropole lilloise.