Bretons et normands au Moyen - Age. Rivalités, malentendus, convergences
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- Nombre de pages384
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-3056-0
- EAN9782753530560
- Date de parution05/02/2015
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
On ne saurait faire l'histoire de la Normandie médiévale sans parler des Bretons, ni celle de la Bretagne sans évoquer les Normands. Retracer les relations entre ces deux principautés, nécessite d'envisager un millénaire d'histoire médiévale, soit une période qui amena un renouvellement profond des réalités institutionnelles et politiques au sein d'un monde européen en plein essor autant dans les domaines économiques qu'intellectuels et artistiques.
Par tradition, on continue de publier des histoires particulières de la Normandie et de la Bretagne. Pourtant seule une étude globale du vaste ensemble s'étendant de la Loire à la Somme est susceptible de rendre compte des évolutions communes ou des réalités divergentes de ces deux régions. Car loin d'une compréhension étriquée de leur terre respective, les hommes de ces temps se savaient appartenir à un territoire plus vaste, qui devint le royaume de France.
En outre, l'ensemble géopolitique ici étudié, abritant des populations toutes deux venues de la mer, fut en relation constante avec les îles britanniques et les pays scandinaves. À une époque où les relations tissées entre les hommes l'emportaient souvent sur les appartenances territoriales, les Bretons et les Normands, souvent ennemis, n'en étaient pas moins insérés dans des alliances matrimoniales, diplomatiques voire vassaliques et des réseaux de prière.
Ils écrivirent alors une histoire partagée où la notion d'amicitia l'emporta bien souvent sur celle d'« ennemi héréditaire ».
Par tradition, on continue de publier des histoires particulières de la Normandie et de la Bretagne. Pourtant seule une étude globale du vaste ensemble s'étendant de la Loire à la Somme est susceptible de rendre compte des évolutions communes ou des réalités divergentes de ces deux régions. Car loin d'une compréhension étriquée de leur terre respective, les hommes de ces temps se savaient appartenir à un territoire plus vaste, qui devint le royaume de France.
En outre, l'ensemble géopolitique ici étudié, abritant des populations toutes deux venues de la mer, fut en relation constante avec les îles britanniques et les pays scandinaves. À une époque où les relations tissées entre les hommes l'emportaient souvent sur les appartenances territoriales, les Bretons et les Normands, souvent ennemis, n'en étaient pas moins insérés dans des alliances matrimoniales, diplomatiques voire vassaliques et des réseaux de prière.
Ils écrivirent alors une histoire partagée où la notion d'amicitia l'emporta bien souvent sur celle d'« ennemi héréditaire ».
On ne saurait faire l'histoire de la Normandie médiévale sans parler des Bretons, ni celle de la Bretagne sans évoquer les Normands. Retracer les relations entre ces deux principautés, nécessite d'envisager un millénaire d'histoire médiévale, soit une période qui amena un renouvellement profond des réalités institutionnelles et politiques au sein d'un monde européen en plein essor autant dans les domaines économiques qu'intellectuels et artistiques.
Par tradition, on continue de publier des histoires particulières de la Normandie et de la Bretagne. Pourtant seule une étude globale du vaste ensemble s'étendant de la Loire à la Somme est susceptible de rendre compte des évolutions communes ou des réalités divergentes de ces deux régions. Car loin d'une compréhension étriquée de leur terre respective, les hommes de ces temps se savaient appartenir à un territoire plus vaste, qui devint le royaume de France.
En outre, l'ensemble géopolitique ici étudié, abritant des populations toutes deux venues de la mer, fut en relation constante avec les îles britanniques et les pays scandinaves. À une époque où les relations tissées entre les hommes l'emportaient souvent sur les appartenances territoriales, les Bretons et les Normands, souvent ennemis, n'en étaient pas moins insérés dans des alliances matrimoniales, diplomatiques voire vassaliques et des réseaux de prière.
Ils écrivirent alors une histoire partagée où la notion d'amicitia l'emporta bien souvent sur celle d'« ennemi héréditaire ».
Par tradition, on continue de publier des histoires particulières de la Normandie et de la Bretagne. Pourtant seule une étude globale du vaste ensemble s'étendant de la Loire à la Somme est susceptible de rendre compte des évolutions communes ou des réalités divergentes de ces deux régions. Car loin d'une compréhension étriquée de leur terre respective, les hommes de ces temps se savaient appartenir à un territoire plus vaste, qui devint le royaume de France.
En outre, l'ensemble géopolitique ici étudié, abritant des populations toutes deux venues de la mer, fut en relation constante avec les îles britanniques et les pays scandinaves. À une époque où les relations tissées entre les hommes l'emportaient souvent sur les appartenances territoriales, les Bretons et les Normands, souvent ennemis, n'en étaient pas moins insérés dans des alliances matrimoniales, diplomatiques voire vassaliques et des réseaux de prière.
Ils écrivirent alors une histoire partagée où la notion d'amicitia l'emporta bien souvent sur celle d'« ennemi héréditaire ».