Ann-Christine Duhaime est neurochirurgienne pédiatrique au Massachusetts General Hospital, où elle est également directrice associée du Centre pour l'environnement et la santé. Elle est également professeur de neurochirurgie à la Harvard Medical School et membre du corps enseignant du Harvard University Center for the Environment.
Brainstorm. Comment les neurosciences peuvent nous aider à résoudre notre crise environnementale
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages352
- FormatPDF
- ISBN978-2-7598-3238-5
- EAN9782759832385
- Date de parution21/09/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurEDP Sciences
- TraducteurVictor Paschenda
Résumé
Notre tendance à privilégier les plaisirs de consommation à court terme alimente le changement climatique, mais la capacité étonnante du cerveau à la flexibilité peut nous permettre de donner la priorité à la survie à long terme de l'humanité.
De plus en plus de personnes reconnaissent que le changement climatique est un problème urgent. Pourtant, ce sentiment d'urgence se traduit rarement par des actions pour y remédier sérieusement.
Si nous croyons en la réalité de la crise climatique, pourquoi est-il si difficile de changer notre comportement ? Ann-Christine Duhaime, neurochirurgienne pédiatrique, enquête sur ce problème dans la neuroscience de la prise de décision. Son enquête revient sur l'évolution du cerveau humain au cours de millions d'années de pénurie de ressources et sur la façon dont le cerveau s'est adapté pour privilégier la survie à court terme.
L'architecture comportementale qui en résulte est mal ajustée au présent, où la rareté est moins préoccupante et où les défis environnementaux sont lents et nouveaux. Même nos intérêts supposés sont contrecarrés par le système de récompense du cerveau. Heureusement, nous pouvons influencer nos cerveaux, ainsi que ceux des autres, pour changer nos comportements. Duhaime présente plusieurs interventions concrètes qui encouragent nos circuits neuronaux à adopter de nouvelles récompenses dans divers contextes, ainsi que l'application concrète de ses réflexions au fonctionnement de son hôpital pédiatrique.
Plus nous comprenons comment nos tendances peuvent être contournées par la capacité d'adaptation de notre cerveau, plus nous avons de chances d'avoir un avenir.
Si nous croyons en la réalité de la crise climatique, pourquoi est-il si difficile de changer notre comportement ? Ann-Christine Duhaime, neurochirurgienne pédiatrique, enquête sur ce problème dans la neuroscience de la prise de décision. Son enquête revient sur l'évolution du cerveau humain au cours de millions d'années de pénurie de ressources et sur la façon dont le cerveau s'est adapté pour privilégier la survie à court terme.
L'architecture comportementale qui en résulte est mal ajustée au présent, où la rareté est moins préoccupante et où les défis environnementaux sont lents et nouveaux. Même nos intérêts supposés sont contrecarrés par le système de récompense du cerveau. Heureusement, nous pouvons influencer nos cerveaux, ainsi que ceux des autres, pour changer nos comportements. Duhaime présente plusieurs interventions concrètes qui encouragent nos circuits neuronaux à adopter de nouvelles récompenses dans divers contextes, ainsi que l'application concrète de ses réflexions au fonctionnement de son hôpital pédiatrique.
Plus nous comprenons comment nos tendances peuvent être contournées par la capacité d'adaptation de notre cerveau, plus nous avons de chances d'avoir un avenir.
Notre tendance à privilégier les plaisirs de consommation à court terme alimente le changement climatique, mais la capacité étonnante du cerveau à la flexibilité peut nous permettre de donner la priorité à la survie à long terme de l'humanité.
De plus en plus de personnes reconnaissent que le changement climatique est un problème urgent. Pourtant, ce sentiment d'urgence se traduit rarement par des actions pour y remédier sérieusement.
Si nous croyons en la réalité de la crise climatique, pourquoi est-il si difficile de changer notre comportement ? Ann-Christine Duhaime, neurochirurgienne pédiatrique, enquête sur ce problème dans la neuroscience de la prise de décision. Son enquête revient sur l'évolution du cerveau humain au cours de millions d'années de pénurie de ressources et sur la façon dont le cerveau s'est adapté pour privilégier la survie à court terme.
L'architecture comportementale qui en résulte est mal ajustée au présent, où la rareté est moins préoccupante et où les défis environnementaux sont lents et nouveaux. Même nos intérêts supposés sont contrecarrés par le système de récompense du cerveau. Heureusement, nous pouvons influencer nos cerveaux, ainsi que ceux des autres, pour changer nos comportements. Duhaime présente plusieurs interventions concrètes qui encouragent nos circuits neuronaux à adopter de nouvelles récompenses dans divers contextes, ainsi que l'application concrète de ses réflexions au fonctionnement de son hôpital pédiatrique.
Plus nous comprenons comment nos tendances peuvent être contournées par la capacité d'adaptation de notre cerveau, plus nous avons de chances d'avoir un avenir.
Si nous croyons en la réalité de la crise climatique, pourquoi est-il si difficile de changer notre comportement ? Ann-Christine Duhaime, neurochirurgienne pédiatrique, enquête sur ce problème dans la neuroscience de la prise de décision. Son enquête revient sur l'évolution du cerveau humain au cours de millions d'années de pénurie de ressources et sur la façon dont le cerveau s'est adapté pour privilégier la survie à court terme.
L'architecture comportementale qui en résulte est mal ajustée au présent, où la rareté est moins préoccupante et où les défis environnementaux sont lents et nouveaux. Même nos intérêts supposés sont contrecarrés par le système de récompense du cerveau. Heureusement, nous pouvons influencer nos cerveaux, ainsi que ceux des autres, pour changer nos comportements. Duhaime présente plusieurs interventions concrètes qui encouragent nos circuits neuronaux à adopter de nouvelles récompenses dans divers contextes, ainsi que l'application concrète de ses réflexions au fonctionnement de son hôpital pédiatrique.
Plus nous comprenons comment nos tendances peuvent être contournées par la capacité d'adaptation de notre cerveau, plus nous avons de chances d'avoir un avenir.




