En cours de chargement...
Un road-trip forcé avec un surfeur raté, ce n'est pas l'été glorieux que Prudence, aspirante photographe, avait prévu. Mais fuyant un concours raté, un amoureux qui l'évite, et une sour qui voudrait faire d'elle une baby-sitter à vie pour ses bambins baveux, l'hypersensible Prudence attrape le premier prétexte venu pour tout larguer et se retrouver. coincée dans un van avec un daron aux pecs impeccables nommé Denis qui tient à ce qu'on l'appelle Dylan.
Il fait du surf, il pense surf, il respire surf. Prudence, elle, ne pense qu'à ses amours, ses espoirs malmenés, ses amies éloignées. Va-t-elle survivre trois mois à photographier Denis-Dylan sous tous les angles pour alimenter son compte insta aux filtres brûlés et hashtags clichés ?
"Ma planche, mon double, my friend, ma vie"...
« Bleue comme l’été » n’est pas une romance dégoulinante pour amatrices d’histoires romantiques et nunuches.
C’est un roman certes infiniment distrayant, mais le pep’s et le charme de l’écriture associés aux caractères et aux aspirations diamétralement opposés des deux principaux protagonistes en font un moment de lecture piquant et souvent ponctué d’éclats de rire.
Le rythme de l’histoire est soutenu, le récit au présent est vivant, et on suit avec délice les états d’âme de Prudence qui s’affirme et grandit au fil des pages.
Et qui découvre peu à peu les aspects très différents de la personnalité de son colloc’, qui passe, à ses yeux, d’une image de séducteur « tout dans les muscles, rien dans la tête », à celle d’un homme sensé, attentif, et qui peut avoir des fêlures.
Suivez-les donc dans ce road-trip ensoleillé, détente et bonne humeur sont garanties !