Biologie et comportements humains. Ethologie humaine
3e édition revue et corrigée
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- Nombre de pages269
- FormatPDF
- ISBN979-10-303-0387-2
- EAN9791030303872
- Date de parution19/06/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSauramps Médical
Résumé
Vertébrée mammifère primate, l'espèce humaine partage le sort terrestre des autres représentants du règne animal. Anatomie, physiologie, son incarnation obéit à toutes les lois de la matière vivante. Une particularité exceptionnelle la sépare néanmoins des autres existants planétaires : l'apparition de la conscience. Cette faculté lui à permis de s'imposer à la surface du globe, de vivre mieux et plus longtemps, grâce à la pensée, à la parole, à l'intention guidant la praxis opérante, fabricante.
Et aussi d'échapper quelque peu au rigorisme des déterminismes guidant la vie animale. L'humanité a ainsi conquis une certaine marge de manoeuvre dans l'éxécution des tâches comportementales qui assurent sa présence au monde. Cet espace de liberté, cette déprogrammation partielle qui permet à chacun, d'effectuer un parcours original, personnel. Voilà qui a longtemps intimidé les esprits scientifiques, lorsqu'il fallait envisager d'appliquer aux humains la biologie des comportements, l'éthologie, qui avait fait preuve de sa fiabilité dans l'étude du monde animal.
Le pas ne fut franchi qu'à la moitié du XXème siècle, à la suite des travaux de Konrad Lorenz, Eibl-Eibesfeldt, Desmond Morris... Tout en reconnaissant la marge d'imprévisibilité du destin humain, de l'humanité, ils ont permis de constater la persistance inexpugnable des programmes vitaux inscrits dans les gènes de notre espèce.... Loin dons de déplorer les impératifs et nécessités d'une constitution biologique finalement très favorable à notre espèce, les constats de cette étude incitent plutôt les humains, selon un epicurisme déniant à la conscience de la mort inéluctable le pouvoir d'assombrir toute leur existence terrestre, à jouir de ces bienfaits dont ils sont les seuls à pouvoir bénéficier : les joies sans prix de l'amour, de l'art, de la création, de la vie familiale, de l'amitié...de l'enchantement des paysages terrestres.
Et aussi d'échapper quelque peu au rigorisme des déterminismes guidant la vie animale. L'humanité a ainsi conquis une certaine marge de manoeuvre dans l'éxécution des tâches comportementales qui assurent sa présence au monde. Cet espace de liberté, cette déprogrammation partielle qui permet à chacun, d'effectuer un parcours original, personnel. Voilà qui a longtemps intimidé les esprits scientifiques, lorsqu'il fallait envisager d'appliquer aux humains la biologie des comportements, l'éthologie, qui avait fait preuve de sa fiabilité dans l'étude du monde animal.
Le pas ne fut franchi qu'à la moitié du XXème siècle, à la suite des travaux de Konrad Lorenz, Eibl-Eibesfeldt, Desmond Morris... Tout en reconnaissant la marge d'imprévisibilité du destin humain, de l'humanité, ils ont permis de constater la persistance inexpugnable des programmes vitaux inscrits dans les gènes de notre espèce.... Loin dons de déplorer les impératifs et nécessités d'une constitution biologique finalement très favorable à notre espèce, les constats de cette étude incitent plutôt les humains, selon un epicurisme déniant à la conscience de la mort inéluctable le pouvoir d'assombrir toute leur existence terrestre, à jouir de ces bienfaits dont ils sont les seuls à pouvoir bénéficier : les joies sans prix de l'amour, de l'art, de la création, de la vie familiale, de l'amitié...de l'enchantement des paysages terrestres.
Vertébrée mammifère primate, l'espèce humaine partage le sort terrestre des autres représentants du règne animal. Anatomie, physiologie, son incarnation obéit à toutes les lois de la matière vivante. Une particularité exceptionnelle la sépare néanmoins des autres existants planétaires : l'apparition de la conscience. Cette faculté lui à permis de s'imposer à la surface du globe, de vivre mieux et plus longtemps, grâce à la pensée, à la parole, à l'intention guidant la praxis opérante, fabricante.
Et aussi d'échapper quelque peu au rigorisme des déterminismes guidant la vie animale. L'humanité a ainsi conquis une certaine marge de manoeuvre dans l'éxécution des tâches comportementales qui assurent sa présence au monde. Cet espace de liberté, cette déprogrammation partielle qui permet à chacun, d'effectuer un parcours original, personnel. Voilà qui a longtemps intimidé les esprits scientifiques, lorsqu'il fallait envisager d'appliquer aux humains la biologie des comportements, l'éthologie, qui avait fait preuve de sa fiabilité dans l'étude du monde animal.
Le pas ne fut franchi qu'à la moitié du XXème siècle, à la suite des travaux de Konrad Lorenz, Eibl-Eibesfeldt, Desmond Morris... Tout en reconnaissant la marge d'imprévisibilité du destin humain, de l'humanité, ils ont permis de constater la persistance inexpugnable des programmes vitaux inscrits dans les gènes de notre espèce.... Loin dons de déplorer les impératifs et nécessités d'une constitution biologique finalement très favorable à notre espèce, les constats de cette étude incitent plutôt les humains, selon un epicurisme déniant à la conscience de la mort inéluctable le pouvoir d'assombrir toute leur existence terrestre, à jouir de ces bienfaits dont ils sont les seuls à pouvoir bénéficier : les joies sans prix de l'amour, de l'art, de la création, de la vie familiale, de l'amitié...de l'enchantement des paysages terrestres.
Et aussi d'échapper quelque peu au rigorisme des déterminismes guidant la vie animale. L'humanité a ainsi conquis une certaine marge de manoeuvre dans l'éxécution des tâches comportementales qui assurent sa présence au monde. Cet espace de liberté, cette déprogrammation partielle qui permet à chacun, d'effectuer un parcours original, personnel. Voilà qui a longtemps intimidé les esprits scientifiques, lorsqu'il fallait envisager d'appliquer aux humains la biologie des comportements, l'éthologie, qui avait fait preuve de sa fiabilité dans l'étude du monde animal.
Le pas ne fut franchi qu'à la moitié du XXème siècle, à la suite des travaux de Konrad Lorenz, Eibl-Eibesfeldt, Desmond Morris... Tout en reconnaissant la marge d'imprévisibilité du destin humain, de l'humanité, ils ont permis de constater la persistance inexpugnable des programmes vitaux inscrits dans les gènes de notre espèce.... Loin dons de déplorer les impératifs et nécessités d'une constitution biologique finalement très favorable à notre espèce, les constats de cette étude incitent plutôt les humains, selon un epicurisme déniant à la conscience de la mort inéluctable le pouvoir d'assombrir toute leur existence terrestre, à jouir de ces bienfaits dont ils sont les seuls à pouvoir bénéficier : les joies sans prix de l'amour, de l'art, de la création, de la vie familiale, de l'amitié...de l'enchantement des paysages terrestres.