Prix Nobel de Littérature
Bénie soit ma langue. Journal intime
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- Nombre de pages272
- FormatePub
- ISBN978-2-7210-1341-5
- EAN9782721013415
- Date de parution24/10/2024
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDes Femmes
- TraducteurAnne Picard
Résumé
Gabriela Mistral, grande écrivaine chilienne du XXe siècle, enseignante, poétesse, diplomate et voyageuse, fut en 1945 la première femme d'Amérique latine à recevoir le prix Nobel de littérature. Elle a toujours pris le temps, au cours de sa vie, de consigner ses pensées matérielles et personnelles, ce qui nous permet aujourd'hui cette plongée dans son intimité et ses préoccupations quotidiennes. De l'amour passionné à la douleur profonde en passant par la maternité et la créativité artistique, Gabriela Mistral partage les émotions complexes qui ont façonné sa vie et son ouvre.
Lettres, notes, réflexions inscrites sur des carnets construisent ce récit kaléidoscopique de la vie de l'autrice mais attestent également de son attention toujours accrue à l'actualité politique du Chili. La langue intense et puissante de cette immense femme de lettres se déploie en une toile aux ramifications multiples que l'autrice tisse avec son incandescence habituelle. « J'ai eu une enfance pauvre et heureuse dans les vallées de ma cordillère.
Le paysage, si l'on peut parler de paysage quand on vit immergée dans une gorge montagneuse, offrait de violents contrastes : une centaine de collines et plus encore, une sorte de bouillonnement rocailleux, sauvage et coloré, et en contrebas, sans transition, une étendue idyllique de vignes, de figuiers et de vergers. Ce contraste entre âpreté et douceur, on dit qu'il est en moi et je veux bien le croire, et il ne me déplaît pas à cause d'une certaine vanité : j'aime retrouver en moi les traits de mes lieux, de mes origines.
» G. M.
Lettres, notes, réflexions inscrites sur des carnets construisent ce récit kaléidoscopique de la vie de l'autrice mais attestent également de son attention toujours accrue à l'actualité politique du Chili. La langue intense et puissante de cette immense femme de lettres se déploie en une toile aux ramifications multiples que l'autrice tisse avec son incandescence habituelle. « J'ai eu une enfance pauvre et heureuse dans les vallées de ma cordillère.
Le paysage, si l'on peut parler de paysage quand on vit immergée dans une gorge montagneuse, offrait de violents contrastes : une centaine de collines et plus encore, une sorte de bouillonnement rocailleux, sauvage et coloré, et en contrebas, sans transition, une étendue idyllique de vignes, de figuiers et de vergers. Ce contraste entre âpreté et douceur, on dit qu'il est en moi et je veux bien le croire, et il ne me déplaît pas à cause d'une certaine vanité : j'aime retrouver en moi les traits de mes lieux, de mes origines.
» G. M.
Gabriela Mistral, grande écrivaine chilienne du XXe siècle, enseignante, poétesse, diplomate et voyageuse, fut en 1945 la première femme d'Amérique latine à recevoir le prix Nobel de littérature. Elle a toujours pris le temps, au cours de sa vie, de consigner ses pensées matérielles et personnelles, ce qui nous permet aujourd'hui cette plongée dans son intimité et ses préoccupations quotidiennes. De l'amour passionné à la douleur profonde en passant par la maternité et la créativité artistique, Gabriela Mistral partage les émotions complexes qui ont façonné sa vie et son ouvre.
Lettres, notes, réflexions inscrites sur des carnets construisent ce récit kaléidoscopique de la vie de l'autrice mais attestent également de son attention toujours accrue à l'actualité politique du Chili. La langue intense et puissante de cette immense femme de lettres se déploie en une toile aux ramifications multiples que l'autrice tisse avec son incandescence habituelle. « J'ai eu une enfance pauvre et heureuse dans les vallées de ma cordillère.
Le paysage, si l'on peut parler de paysage quand on vit immergée dans une gorge montagneuse, offrait de violents contrastes : une centaine de collines et plus encore, une sorte de bouillonnement rocailleux, sauvage et coloré, et en contrebas, sans transition, une étendue idyllique de vignes, de figuiers et de vergers. Ce contraste entre âpreté et douceur, on dit qu'il est en moi et je veux bien le croire, et il ne me déplaît pas à cause d'une certaine vanité : j'aime retrouver en moi les traits de mes lieux, de mes origines.
» G. M.
Lettres, notes, réflexions inscrites sur des carnets construisent ce récit kaléidoscopique de la vie de l'autrice mais attestent également de son attention toujours accrue à l'actualité politique du Chili. La langue intense et puissante de cette immense femme de lettres se déploie en une toile aux ramifications multiples que l'autrice tisse avec son incandescence habituelle. « J'ai eu une enfance pauvre et heureuse dans les vallées de ma cordillère.
Le paysage, si l'on peut parler de paysage quand on vit immergée dans une gorge montagneuse, offrait de violents contrastes : une centaine de collines et plus encore, une sorte de bouillonnement rocailleux, sauvage et coloré, et en contrebas, sans transition, une étendue idyllique de vignes, de figuiers et de vergers. Ce contraste entre âpreté et douceur, on dit qu'il est en moi et je veux bien le croire, et il ne me déplaît pas à cause d'une certaine vanité : j'aime retrouver en moi les traits de mes lieux, de mes origines.
» G. M.