Bembeya jazz national. Cinquante ans après, la légende continue...
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- Nombre de pages156
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-46651-7
- EAN9782296466517
- Date de parution01/07/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAndré Lewin
Résumé
Cinquante ans après sa fondation (1961-2011), le Bembeya Jazz National reste encore méconnu. La biographie que voici lève un pan de voile sur cet ensemble musical, dont l'extraordinaire aventure mérite d'être contée. " Le bruit ne porte pas de fruits ", dit un proverbe guinéen, comme pour signifier que le Bembeya n'a réussi à traverser glorieusement toutes les vogues et vagues que grâce à un travail constant, rigoureux et novateur.
N'oubliant jamais que l'acte nodal de création exige ouverture d'esprit et générosité, pour traduire en musique les joies et les peines des femmes et des hommes de Guinée et d'Afrique. Quand, le jeudi 5 avril 1973, l'orchestre perd Aboubacar Demba Camara des suites d'un accident de la circulation à Dakar, les mélomanes foudroyés parla nouvelle crurent d'abord à un poisson d'avril ; mais quand son corps fut transporté de Dakar à Conakry, ils le pleurèrent longtemps.
Puis ils se consolèrent, en réalisant que le génie qu'il était ne pouvait mourir ; que l'orchestre avait la verve et le courage pour continuer. Ils avaient raison. Cinquante après, le roman continue, et c'est encore Bembeya qui l'écrit !
N'oubliant jamais que l'acte nodal de création exige ouverture d'esprit et générosité, pour traduire en musique les joies et les peines des femmes et des hommes de Guinée et d'Afrique. Quand, le jeudi 5 avril 1973, l'orchestre perd Aboubacar Demba Camara des suites d'un accident de la circulation à Dakar, les mélomanes foudroyés parla nouvelle crurent d'abord à un poisson d'avril ; mais quand son corps fut transporté de Dakar à Conakry, ils le pleurèrent longtemps.
Puis ils se consolèrent, en réalisant que le génie qu'il était ne pouvait mourir ; que l'orchestre avait la verve et le courage pour continuer. Ils avaient raison. Cinquante après, le roman continue, et c'est encore Bembeya qui l'écrit !
Cinquante ans après sa fondation (1961-2011), le Bembeya Jazz National reste encore méconnu. La biographie que voici lève un pan de voile sur cet ensemble musical, dont l'extraordinaire aventure mérite d'être contée. " Le bruit ne porte pas de fruits ", dit un proverbe guinéen, comme pour signifier que le Bembeya n'a réussi à traverser glorieusement toutes les vogues et vagues que grâce à un travail constant, rigoureux et novateur.
N'oubliant jamais que l'acte nodal de création exige ouverture d'esprit et générosité, pour traduire en musique les joies et les peines des femmes et des hommes de Guinée et d'Afrique. Quand, le jeudi 5 avril 1973, l'orchestre perd Aboubacar Demba Camara des suites d'un accident de la circulation à Dakar, les mélomanes foudroyés parla nouvelle crurent d'abord à un poisson d'avril ; mais quand son corps fut transporté de Dakar à Conakry, ils le pleurèrent longtemps.
Puis ils se consolèrent, en réalisant que le génie qu'il était ne pouvait mourir ; que l'orchestre avait la verve et le courage pour continuer. Ils avaient raison. Cinquante après, le roman continue, et c'est encore Bembeya qui l'écrit !
N'oubliant jamais que l'acte nodal de création exige ouverture d'esprit et générosité, pour traduire en musique les joies et les peines des femmes et des hommes de Guinée et d'Afrique. Quand, le jeudi 5 avril 1973, l'orchestre perd Aboubacar Demba Camara des suites d'un accident de la circulation à Dakar, les mélomanes foudroyés parla nouvelle crurent d'abord à un poisson d'avril ; mais quand son corps fut transporté de Dakar à Conakry, ils le pleurèrent longtemps.
Puis ils se consolèrent, en réalisant que le génie qu'il était ne pouvait mourir ; que l'orchestre avait la verve et le courage pour continuer. Ils avaient raison. Cinquante après, le roman continue, et c'est encore Bembeya qui l'écrit !