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  • Nombre de pages128
  • FormatePub
  • ISBN978-2-234-07505-4
  • EAN9782234075054
  • Date de parution27/02/2013
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille373 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurStock

Résumé

« Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n'avais aucune culture. Et j'ai été folle de toi. Non pas qu'il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j'ai éprouvés. C'est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j'aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n'ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc.
C'est ma compassion pour ces animaux si dénigrés qui a éveillé mon intérêt pour toi. Tu étais le grand persécuté, le bouc émissaire. Je me suis sentie obligée de prendre ta défense pour dire : "Les porcs ont le droit d'être des porcs. Une société qui met ces créatures en prison aux seuls motifs qu'ils ont des goûts propres à leur espèce n'est pas une société libre et juste." »
« Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n'avais aucune culture. Et j'ai été folle de toi. Non pas qu'il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j'ai éprouvés. C'est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j'aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n'ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc.
C'est ma compassion pour ces animaux si dénigrés qui a éveillé mon intérêt pour toi. Tu étais le grand persécuté, le bouc émissaire. Je me suis sentie obligée de prendre ta défense pour dire : "Les porcs ont le droit d'être des porcs. Une société qui met ces créatures en prison aux seuls motifs qu'ils ont des goûts propres à leur espèce n'est pas une société libre et juste." »

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Déloger l'animal...
N'y cherchez aucune révélation même si tout est dit sans avoir besoin d'en rajouter. De mystère, il y en avait si peu ou celui peut-être des réelles motivations d'un homme mi brillant mi beauf ou comme elle l'a aimé mi homme mi cochon. N'allez pas non plus chercher plus de raisons à nourrir une infamie collective, c'est juste le récit d'une histoire d'amour. De voyeurisme non plus vous n'aurez pas, c'est un conte étonnant qui raconte comme l'amour parfois s'accroche, se fascine pour autre chose que soi et fait sortir de soi même où les hommes s'avèrent mi hommes mi bêtes et les femmes mi femmes mi bête, laissant s'échapper d'étranges forces, du phantasme, et si raison il reste, ça peut prendre la forme de la cause animale et de l'écoute d'un homme dont on sait tout et dont on ne sait rien. Bien sur le regard d'une maîtresse est toujours dur pour l'épouse mais aussi lucide et profond sur l'amant et ce que l'on ressent car le cochon est parfois chien mais aussi caniche.... La Fontaine pourtant amateur de chair n'aurait pas détesté sans doute comme Voltaire et, tous ceux qui pensent quelque chose de cette affaire depuis qu'elle a éclaté pourront testé leurs limites parce qu'aimer c'est vivre et faire vase communicant d'étranges forces qu'on dit parfois animales ou profondes et l'intellect passe parfois en second. IL faut gouter à tout chez l'autre pour le savourer, la passion dévore mais où commence et finit l'amour même quand le pire nous aveugle, nous donne l'impression d'exister enfin. Une fantastique chronique amoureuse et le mot fantastique est bel et bien à prendre au sens littéraire. Un conte étrange qui voudrait garder toute l’ambiguïté d'une aventure qui l'était déjà à son origine et dans son dénouement. Récit de l'approche apeurée d'une aura étrange. Et puis avant de mourir, de disparaître toujours l'amour s'écrit pour garder une trace du mystère. C'est très étonnant tout ce que j'entends comme si la littérature était un bijou de famille exempte des excès, des infortunes, des difformités de l'amour comme si la morale présidait en tout, en amour comme en littérature, pure, loin de la vie, du scandale, de la manipulation, de la confusion, de l'erreur alors sauvons l'intellectuel Iacub, comme si tout avait été écrit, éloignons nous de la peste DSK et de la folie passagère et bourgeoise de Iacub. Notre milieu n'a rien à voir avec cette affaire la... On aura bien compris. Affolée comme tous par cet ancien séisme la succube Iacub doit maintenant être exorcisée... ou elle aussi jugée ou encore choisir définitivement son camp, sa caste voir sa classe selon Despentes...
N'y cherchez aucune révélation même si tout est dit sans avoir besoin d'en rajouter. De mystère, il y en avait si peu ou celui peut-être des réelles motivations d'un homme mi brillant mi beauf ou comme elle l'a aimé mi homme mi cochon. N'allez pas non plus chercher plus de raisons à nourrir une infamie collective, c'est juste le récit d'une histoire d'amour. De voyeurisme non plus vous n'aurez pas, c'est un conte étonnant qui raconte comme l'amour parfois s'accroche, se fascine pour autre chose que soi et fait sortir de soi même où les hommes s'avèrent mi hommes mi bêtes et les femmes mi femmes mi bête, laissant s'échapper d'étranges forces, du phantasme, et si raison il reste, ça peut prendre la forme de la cause animale et de l'écoute d'un homme dont on sait tout et dont on ne sait rien. Bien sur le regard d'une maîtresse est toujours dur pour l'épouse mais aussi lucide et profond sur l'amant et ce que l'on ressent car le cochon est parfois chien mais aussi caniche.... La Fontaine pourtant amateur de chair n'aurait pas détesté sans doute comme Voltaire et, tous ceux qui pensent quelque chose de cette affaire depuis qu'elle a éclaté pourront testé leurs limites parce qu'aimer c'est vivre et faire vase communicant d'étranges forces qu'on dit parfois animales ou profondes et l'intellect passe parfois en second. IL faut gouter à tout chez l'autre pour le savourer, la passion dévore mais où commence et finit l'amour même quand le pire nous aveugle, nous donne l'impression d'exister enfin. Une fantastique chronique amoureuse et le mot fantastique est bel et bien à prendre au sens littéraire. Un conte étrange qui voudrait garder toute l’ambiguïté d'une aventure qui l'était déjà à son origine et dans son dénouement. Récit de l'approche apeurée d'une aura étrange. Et puis avant de mourir, de disparaître toujours l'amour s'écrit pour garder une trace du mystère. C'est très étonnant tout ce que j'entends comme si la littérature était un bijou de famille exempte des excès, des infortunes, des difformités de l'amour comme si la morale présidait en tout, en amour comme en littérature, pure, loin de la vie, du scandale, de la manipulation, de la confusion, de l'erreur alors sauvons l'intellectuel Iacub, comme si tout avait été écrit, éloignons nous de la peste DSK et de la folie passagère et bourgeoise de Iacub. Notre milieu n'a rien à voir avec cette affaire la... On aura bien compris. Affolée comme tous par cet ancien séisme la succube Iacub doit maintenant être exorcisée... ou elle aussi jugée ou encore choisir définitivement son camp, sa caste voir sa classe selon Despentes...
  • Inattendu
  • Passionnant
  • XXIe siècle
  • Amour
  • roman
  • littérature française
  • amant
  • ecriture
  • dsk
  • dominique stauss khan
  • époux
  • cause animal

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

1.8/5
sur 5 notes dont 1 avis lecteur
Livre écoeurant ! c'est scandaleux d'être obligé de mettre 1 étoile à cette abjection
Honte à ce genre de livre, et pire à cette nouvelle espèce d'écrivains. Honte à ces femmes qui sont pire que les porcs qu'elles bafouent. Cette sordide histoire de DSK ne va pas sans rappeler le scandale Clinton. Alors qui est le pire ; le porc ou la truie, car en fin de compte si ces pantins bien en vue (et qui auraient dû quand même face à leur notoriété avoir un peu de décence) se comportent comme des animaux (qu'ils sont comme tous les hommes et alors?), que dire de celles qui gardent des pièces à conviction pour en faire du commerce. Là on atteint le bas-fond du sordide. Les propos de Marcela Lacub dépassent la décence et l'ignominie et sont une honte quand on lit le quatrième de couverture de ce torchon qu'elle a eu le culot d'écrire : "Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n'avais aucune culture. Et j'ai été folle de toi. Non pas qu'il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j'ai éprouvés. C'est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j'aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n'ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc." je réponds : Qui se ressemble s'assemble alors ! Ne surtout pas acheter pour ne pas cautionner ça.
Honte à ce genre de livre, et pire à cette nouvelle espèce d'écrivains. Honte à ces femmes qui sont pire que les porcs qu'elles bafouent. Cette sordide histoire de DSK ne va pas sans rappeler le scandale Clinton. Alors qui est le pire ; le porc ou la truie, car en fin de compte si ces pantins bien en vue (et qui auraient dû quand même face à leur notoriété avoir un peu de décence) se comportent comme des animaux (qu'ils sont comme tous les hommes et alors?), que dire de celles qui gardent des pièces à conviction pour en faire du commerce. Là on atteint le bas-fond du sordide. Les propos de Marcela Lacub dépassent la décence et l'ignominie et sont une honte quand on lit le quatrième de couverture de ce torchon qu'elle a eu le culot d'écrire : "Tu étais vieux, tu étais gros, tu étais petit et tu étais moche. Tu étais machiste, tu étais vulgaire, tu étais insensible et tu étais mesquin. Tu étais égoïste, tu étais brutal et tu n'avais aucune culture. Et j'ai été folle de toi. Non pas qu'il y ait un rapport de cause à effet entre tes défauts et les sentiments océaniques que j'ai éprouvés. C'est une curieuse coïncidence. Même au temps où ma passion était si fastueuse que j'aurais échangé mon avenir contre une heure dans tes bras je n'ai jamais cessé de te voir tel que tu étais : un porc." je réponds : Qui se ressemble s'assemble alors ! Ne surtout pas acheter pour ne pas cautionner ça.
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