BeeBook. Histoire naturelle d'une folie sociale

Par : Edouard Ballot
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages124
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8231-2664-8
  • EAN9782823126648
  • Date de parution09/01/2019
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions Persée

Résumé

« Oublions cela, et imaginons la presque infinité d'abeilles qui s'envole vers les fleurs promises. Et même, laissons-les de côté pour ne plus sentir que l'infime vibration de l'air de la dernière abeille au monde qui butinerait sa dernière fleur, cette abeille-là qui ne transmettrait plus son nectar et ne nourrirait plus ses soeurs. » Les abeilles disparaissent. L'angoisse coupable des hommes se transforme alors en désir frénétique de vivre à l'image de l'insecte social, selon ses codes.
Éliminer son égo pour révéler son « api », tel est le nouveau phénomène de société, un mana sacré, où la valeur de la nature tournoie au sein du jeu totalitaire de l'argent. Le mouvement se forme lentement. avant de prendre une ampleur insensée et de muter en folie. Krach de la nature ! La tonalité de cet opéra écolo-drolatique oscille entre candeur et ironie, libre satire de notre civilisation où les hommes semblent des pantins délirants.
« Oublions cela, et imaginons la presque infinité d'abeilles qui s'envole vers les fleurs promises. Et même, laissons-les de côté pour ne plus sentir que l'infime vibration de l'air de la dernière abeille au monde qui butinerait sa dernière fleur, cette abeille-là qui ne transmettrait plus son nectar et ne nourrirait plus ses soeurs. » Les abeilles disparaissent. L'angoisse coupable des hommes se transforme alors en désir frénétique de vivre à l'image de l'insecte social, selon ses codes.
Éliminer son égo pour révéler son « api », tel est le nouveau phénomène de société, un mana sacré, où la valeur de la nature tournoie au sein du jeu totalitaire de l'argent. Le mouvement se forme lentement. avant de prendre une ampleur insensée et de muter en folie. Krach de la nature ! La tonalité de cet opéra écolo-drolatique oscille entre candeur et ironie, libre satire de notre civilisation où les hommes semblent des pantins délirants.