Bansenshûkai

Par : Yasutake Fujibayashi

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages252
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-28936-0
  • EAN9782226289360
  • Date de parution29/05/2013
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille616 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel
  • TraducteurAxel Mazuer

Résumé

Dans le Japon traditionnel, l'art de la guerre ainsi que les rapports sociaux étaient officiellement régis par le bushidô, le code d'honneur des samouraïs ; mais le bushidô avait un pendant plus secret : l'art du ninjutsu. Les ninja, experts en espionnage et contre-espionnage, s'ils n'étaient pas tenus par le bushidô, n'en possédaient pas moins des valeurs et une tradition qui les distinguaient des simples voleurs.
Leur art, invisible autant qu'indispensable, se transmettait au sein d'écoles secrètes et se fondait sur quelques rares manuels écrits en langage codé. Le Bansenshûkai, rédigé par le maître ninja Fujibashi Yasutake en 1676, est le plus monumental et le plus révéré de ces recueils. Resté secret jusqu'au XXe siècle, il traite des principes éthiques et spirituels du ninjutsu dans ses deux cahiers liminaires qui sont ici traduits, complétés par un autre grand classique de la littérature ninja ancienne, les 100 poèmes de Yoshimori.
Avec le Shôninki, paru dans la même collection et également traduit et présenté par Axel Mazuer, le lecteur français a enfin à sa disposition les textes les plus fondamentaux de l'éthique ninja.
Dans le Japon traditionnel, l'art de la guerre ainsi que les rapports sociaux étaient officiellement régis par le bushidô, le code d'honneur des samouraïs ; mais le bushidô avait un pendant plus secret : l'art du ninjutsu. Les ninja, experts en espionnage et contre-espionnage, s'ils n'étaient pas tenus par le bushidô, n'en possédaient pas moins des valeurs et une tradition qui les distinguaient des simples voleurs.
Leur art, invisible autant qu'indispensable, se transmettait au sein d'écoles secrètes et se fondait sur quelques rares manuels écrits en langage codé. Le Bansenshûkai, rédigé par le maître ninja Fujibashi Yasutake en 1676, est le plus monumental et le plus révéré de ces recueils. Resté secret jusqu'au XXe siècle, il traite des principes éthiques et spirituels du ninjutsu dans ses deux cahiers liminaires qui sont ici traduits, complétés par un autre grand classique de la littérature ninja ancienne, les 100 poèmes de Yoshimori.
Avec le Shôninki, paru dans la même collection et également traduit et présenté par Axel Mazuer, le lecteur français a enfin à sa disposition les textes les plus fondamentaux de l'éthique ninja.