Avoir 30 ans. En 1968 et en 1998
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- Nombre de pages238
- FormatPDF
- ISBN2-02-101668-4
- EAN9782021016680
- Date de parution01/01/2000
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille70 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSeuil (réédition numérique FeniX...
Résumé
Le cap des 30 ans, est un excellent observatoire pour faire le point, à trente ans d'intervalle (1968-1998), sur l'évolution de la société française. Christian Baudelot et Roger Establet ont mobilisé toutes les ressources disponibles - scolarité, emploi, salaires, relations entre les générations - pour comparer ceux de nos concitoyens qui sont nés en 1938, avec ceux nés en 1968.
Nous savions que nous avions changé.
Imaginions-nous que nous avions changé à ce point ? Avant la « crise », pendant les années de forte croissance, un équilibre dynamique prévaut. Le salaire d'embauche croît plus vite que le salaire moyen. À 30 ans, le fils gagne moins que son père, mais beaucoup plus que son père ne gagnait à 30 ans. On croit au progrès ininterrompu de l'emploi et des qualifications. La « crise » venue, à partir de 1973, ce monde bascule.
Au premier signe du chômage, les familles réagissent par un développement massif de l'investissement scolaire. Mais la prolongation à outrance de la scolarisation, est loin d'engendrer tous les bienfaits qu'on lui a longtemps prêtés. Le niveau monte, les écarts se creusent. Le chômage des jeunes, dans une société moderne, atteint la morale sociale en son cour. Un livre rigoureux. L'occasion de nous regarder en face.
Imaginions-nous que nous avions changé à ce point ? Avant la « crise », pendant les années de forte croissance, un équilibre dynamique prévaut. Le salaire d'embauche croît plus vite que le salaire moyen. À 30 ans, le fils gagne moins que son père, mais beaucoup plus que son père ne gagnait à 30 ans. On croit au progrès ininterrompu de l'emploi et des qualifications. La « crise » venue, à partir de 1973, ce monde bascule.
Au premier signe du chômage, les familles réagissent par un développement massif de l'investissement scolaire. Mais la prolongation à outrance de la scolarisation, est loin d'engendrer tous les bienfaits qu'on lui a longtemps prêtés. Le niveau monte, les écarts se creusent. Le chômage des jeunes, dans une société moderne, atteint la morale sociale en son cour. Un livre rigoureux. L'occasion de nous regarder en face.
Le cap des 30 ans, est un excellent observatoire pour faire le point, à trente ans d'intervalle (1968-1998), sur l'évolution de la société française. Christian Baudelot et Roger Establet ont mobilisé toutes les ressources disponibles - scolarité, emploi, salaires, relations entre les générations - pour comparer ceux de nos concitoyens qui sont nés en 1938, avec ceux nés en 1968.
Nous savions que nous avions changé.
Imaginions-nous que nous avions changé à ce point ? Avant la « crise », pendant les années de forte croissance, un équilibre dynamique prévaut. Le salaire d'embauche croît plus vite que le salaire moyen. À 30 ans, le fils gagne moins que son père, mais beaucoup plus que son père ne gagnait à 30 ans. On croit au progrès ininterrompu de l'emploi et des qualifications. La « crise » venue, à partir de 1973, ce monde bascule.
Au premier signe du chômage, les familles réagissent par un développement massif de l'investissement scolaire. Mais la prolongation à outrance de la scolarisation, est loin d'engendrer tous les bienfaits qu'on lui a longtemps prêtés. Le niveau monte, les écarts se creusent. Le chômage des jeunes, dans une société moderne, atteint la morale sociale en son cour. Un livre rigoureux. L'occasion de nous regarder en face.
Imaginions-nous que nous avions changé à ce point ? Avant la « crise », pendant les années de forte croissance, un équilibre dynamique prévaut. Le salaire d'embauche croît plus vite que le salaire moyen. À 30 ans, le fils gagne moins que son père, mais beaucoup plus que son père ne gagnait à 30 ans. On croit au progrès ininterrompu de l'emploi et des qualifications. La « crise » venue, à partir de 1973, ce monde bascule.
Au premier signe du chômage, les familles réagissent par un développement massif de l'investissement scolaire. Mais la prolongation à outrance de la scolarisation, est loin d'engendrer tous les bienfaits qu'on lui a longtemps prêtés. Le niveau monte, les écarts se creusent. Le chômage des jeunes, dans une société moderne, atteint la morale sociale en son cour. Un livre rigoureux. L'occasion de nous regarder en face.




















