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Notre cupidit, notre soif de massacre parat sans fin. La puanteur de l'argent infecte nos vies. Mais quand nous produisons un sonnet de Shakespeare, composons une messe en Si mineur, ou bataillons, au fil des sicles, aux prises avec la conjecture de Goldbach ou le problme des trois corps, nous nous transcendons. Alors, en vrit, il n'est point de plus grand prodige que l'homme. Ces mots de George Steiner sont extraits d'un change qu'il imagine, dans ce livre, entre un mathmaticien, un pote et un musicien.
leur tour, des chercheurs, des enseignants, des artistes, runis pour discuter de George Steiner, philosophe de la culture et de la transmission , nous disent ce que la lecture de son oeuvre aux mille facettes a apport leurs recherches, leurs rflexions, leurs choix culturels et disciplinaires.