Avant que la ville brûle
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- Nombre de pages392
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-37177-137-6
- EAN9782371771376
- Date de parution24/02/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans protection, Mobipocket sans protection et Accès streaming
- ÉditeurPublie.net
Résumé
Smyrne, grande ville d'Asie Mineure, cosmopolite et enchanteresse, disparue en 1922 dans un gigantesque incendie, revit tout entière dans ce roman atypique, à la fois traditionnel et moderniste, devenu un classique en Grèce. Cosmas Polìtis y déroule ses histoires avec une virtuosité de conteur oriental, entremêlant lyrisme, ironie et merveilleux, accumulant les trouvailles dont voici la plus belle sans doute : tout au long du roman, le nom de la Ville n'est jamais prononcé - alors que lieux et personnages sont minutieusement nommés.
Comme si ce nom était trop présent pour qu'il soit besoin de le dire ; comme s'il était trop douloureux, ou trop sacré. Qu'on la remarque ou non, cette absence du nom installe peu à peu un vide étrange sous les mots, contribuant à l'envoûtement lent que le livre peu à peu suscite. Ce qu'en a dit la presse grecque C. P. a toujours su décrire en virtuose l'âme enfantine. (...) Dans ce roman il donne vie à tout un monde magique. - Alèxandros Kotzias, 1964 Même lorsqu'il représente la réalité la plus crue, C.
P. n'oublie pas le rêve, et son lyrisme ne le quitte jamais. - Vàssos Varìkas, 1964 Avant que la ville brûle, c'est la chronique devenant roman, la mémoire et la nostalgie prenant la forme d'une fiction admirable. C. P. ressuscite littéralement la ville disparue. (...) Ses personnages sont tous criants de vie. (...) Sa narration est imprégnée tout du long d'émotion et de tendresse. (...) Le charme, le pouvoir séducteur de sa prose atteint ici son sommet. - Apòstolos Sahìnis, 1964 Je ne crois pas qu'il existe d'ouvre plus remarquable dans toute la prose néo-hellénique. - Yòrgos Valètas, 1973
Comme si ce nom était trop présent pour qu'il soit besoin de le dire ; comme s'il était trop douloureux, ou trop sacré. Qu'on la remarque ou non, cette absence du nom installe peu à peu un vide étrange sous les mots, contribuant à l'envoûtement lent que le livre peu à peu suscite. Ce qu'en a dit la presse grecque C. P. a toujours su décrire en virtuose l'âme enfantine. (...) Dans ce roman il donne vie à tout un monde magique. - Alèxandros Kotzias, 1964 Même lorsqu'il représente la réalité la plus crue, C.
P. n'oublie pas le rêve, et son lyrisme ne le quitte jamais. - Vàssos Varìkas, 1964 Avant que la ville brûle, c'est la chronique devenant roman, la mémoire et la nostalgie prenant la forme d'une fiction admirable. C. P. ressuscite littéralement la ville disparue. (...) Ses personnages sont tous criants de vie. (...) Sa narration est imprégnée tout du long d'émotion et de tendresse. (...) Le charme, le pouvoir séducteur de sa prose atteint ici son sommet. - Apòstolos Sahìnis, 1964 Je ne crois pas qu'il existe d'ouvre plus remarquable dans toute la prose néo-hellénique. - Yòrgos Valètas, 1973
Smyrne, grande ville d'Asie Mineure, cosmopolite et enchanteresse, disparue en 1922 dans un gigantesque incendie, revit tout entière dans ce roman atypique, à la fois traditionnel et moderniste, devenu un classique en Grèce. Cosmas Polìtis y déroule ses histoires avec une virtuosité de conteur oriental, entremêlant lyrisme, ironie et merveilleux, accumulant les trouvailles dont voici la plus belle sans doute : tout au long du roman, le nom de la Ville n'est jamais prononcé - alors que lieux et personnages sont minutieusement nommés.
Comme si ce nom était trop présent pour qu'il soit besoin de le dire ; comme s'il était trop douloureux, ou trop sacré. Qu'on la remarque ou non, cette absence du nom installe peu à peu un vide étrange sous les mots, contribuant à l'envoûtement lent que le livre peu à peu suscite. Ce qu'en a dit la presse grecque C. P. a toujours su décrire en virtuose l'âme enfantine. (...) Dans ce roman il donne vie à tout un monde magique. - Alèxandros Kotzias, 1964 Même lorsqu'il représente la réalité la plus crue, C.
P. n'oublie pas le rêve, et son lyrisme ne le quitte jamais. - Vàssos Varìkas, 1964 Avant que la ville brûle, c'est la chronique devenant roman, la mémoire et la nostalgie prenant la forme d'une fiction admirable. C. P. ressuscite littéralement la ville disparue. (...) Ses personnages sont tous criants de vie. (...) Sa narration est imprégnée tout du long d'émotion et de tendresse. (...) Le charme, le pouvoir séducteur de sa prose atteint ici son sommet. - Apòstolos Sahìnis, 1964 Je ne crois pas qu'il existe d'ouvre plus remarquable dans toute la prose néo-hellénique. - Yòrgos Valètas, 1973
Comme si ce nom était trop présent pour qu'il soit besoin de le dire ; comme s'il était trop douloureux, ou trop sacré. Qu'on la remarque ou non, cette absence du nom installe peu à peu un vide étrange sous les mots, contribuant à l'envoûtement lent que le livre peu à peu suscite. Ce qu'en a dit la presse grecque C. P. a toujours su décrire en virtuose l'âme enfantine. (...) Dans ce roman il donne vie à tout un monde magique. - Alèxandros Kotzias, 1964 Même lorsqu'il représente la réalité la plus crue, C.
P. n'oublie pas le rêve, et son lyrisme ne le quitte jamais. - Vàssos Varìkas, 1964 Avant que la ville brûle, c'est la chronique devenant roman, la mémoire et la nostalgie prenant la forme d'une fiction admirable. C. P. ressuscite littéralement la ville disparue. (...) Ses personnages sont tous criants de vie. (...) Sa narration est imprégnée tout du long d'émotion et de tendresse. (...) Le charme, le pouvoir séducteur de sa prose atteint ici son sommet. - Apòstolos Sahìnis, 1964 Je ne crois pas qu'il existe d'ouvre plus remarquable dans toute la prose néo-hellénique. - Yòrgos Valètas, 1973