Aux origines de l'éthique environnementale. Le dernier homme
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- FormatMulti-format
- ISBN978-2-13-081328-6
- EAN9782130813286
- Date de parution18/09/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurPresses Universitaires de France
- TraducteurHicham-Stéphane Afeissa
- Commentateur (texte)Gérald Hess
Résumé
En 1973, un philosophe australien, Richard Sylvan Routley, présentait, à un congrès international de philosophie à Sofia, en Bulgarie, une communication qui allait renouveler la réflexion morale en faisant entrer la nature dans le domaine de la morale, intitulée « A-t-on besoin d'une nouvelle éthique, d'une éthique environnementale ? » Elle constitue l'acte fondateur d'un nouveau champ de la philosophie pratique qui prend son essor au tournant des années 1980 : l'éthique environnementale.
Cette « nouvelle éthique » introduit l'idée que la nature possède une valeur intrinsèque, indépendante des intérêts et des besoins humains. Elle ne serait donc pas au service exclusif de l'homme. À l'aide d'une expérience de pensée restée célèbre, dite du « dernier homme », Routley formule une critique redoutable des théories morales anthropocentrées de l'environnement, introduit l'idée d'une valeur non instrumentale de la nature et pose les obligations morales des humains envers elle.
Cette « nouvelle éthique » introduit l'idée que la nature possède une valeur intrinsèque, indépendante des intérêts et des besoins humains. Elle ne serait donc pas au service exclusif de l'homme. À l'aide d'une expérience de pensée restée célèbre, dite du « dernier homme », Routley formule une critique redoutable des théories morales anthropocentrées de l'environnement, introduit l'idée d'une valeur non instrumentale de la nature et pose les obligations morales des humains envers elle.
En 1973, un philosophe australien, Richard Sylvan Routley, présentait, à un congrès international de philosophie à Sofia, en Bulgarie, une communication qui allait renouveler la réflexion morale en faisant entrer la nature dans le domaine de la morale, intitulée « A-t-on besoin d'une nouvelle éthique, d'une éthique environnementale ? » Elle constitue l'acte fondateur d'un nouveau champ de la philosophie pratique qui prend son essor au tournant des années 1980 : l'éthique environnementale.
Cette « nouvelle éthique » introduit l'idée que la nature possède une valeur intrinsèque, indépendante des intérêts et des besoins humains. Elle ne serait donc pas au service exclusif de l'homme. À l'aide d'une expérience de pensée restée célèbre, dite du « dernier homme », Routley formule une critique redoutable des théories morales anthropocentrées de l'environnement, introduit l'idée d'une valeur non instrumentale de la nature et pose les obligations morales des humains envers elle.
Cette « nouvelle éthique » introduit l'idée que la nature possède une valeur intrinsèque, indépendante des intérêts et des besoins humains. Elle ne serait donc pas au service exclusif de l'homme. À l'aide d'une expérience de pensée restée célèbre, dite du « dernier homme », Routley formule une critique redoutable des théories morales anthropocentrées de l'environnement, introduit l'idée d'une valeur non instrumentale de la nature et pose les obligations morales des humains envers elle.




