Autrices : ces grandes effacées qui ont fait la littérature. Tome 1, du Moyen Age au XVIIe siècle
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN978-2-38257-065-4
- EAN9782382570654
- Date de parution22/09/2022
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurHors d'atteinte
- IllustrateurMarie Fré Dhal
- PréfacierTitiou Lecoq
Résumé
Les femmes écrivaient-elles vraiment au Moyen Âge ? Notre imaginaire est saturé de clichés sur cette époque qu'on imagine sombre, violente, saturée de pauvreté et de famines. Pourtant, même si elles évoluent dans un monde misogyne et que leur statut est bien sûr associé à celui de leurs maris (sauf dans le cas des religieuses), les femmes jouent un rôle social dans la cité et ne sont pas cantonnées à la tenue d'un foyer.
Les grandes dames sont à la fois lectrices, mécènes, commanditaires et destinataires des ouvres, leur impact dans la vie culturelle est essentiel. Et oui, elles écrivent aussi. Si des générations d'écoliers ont eu affaire au classique Lagarde et Michard, jamais encore une anthologie de cette ampleur n'avait rassemblé des textes écrits par des femmes pour retracer sur plusieurs siècles le rôle qu'elles ont joué dans la littérature.
Celui-ci a pourtant été majeur, et même si elles ont été oubliées, spoliées et invisibilisées, nombre d'entre elles ont laissé des textes puissants qui résonnent encore fortement aujourd'hui. Préface de Titiou Lecoq Après un master de Lettres modernes, Daphné Ticrizenis a travaillé dans plusieurs maisons d'édition, notamment scolaires. Féministe, elle déplore la faible proportion de textes d'autrices proposée dans les manuels de français.
Depuis plusieurs années, en s'appuyant sur les études menées par des historien·nes de la littérature, elle est partie à la recherche des ouvres de ces écrivaines effacées pour reconstituer un matrimoine commun.
Les grandes dames sont à la fois lectrices, mécènes, commanditaires et destinataires des ouvres, leur impact dans la vie culturelle est essentiel. Et oui, elles écrivent aussi. Si des générations d'écoliers ont eu affaire au classique Lagarde et Michard, jamais encore une anthologie de cette ampleur n'avait rassemblé des textes écrits par des femmes pour retracer sur plusieurs siècles le rôle qu'elles ont joué dans la littérature.
Celui-ci a pourtant été majeur, et même si elles ont été oubliées, spoliées et invisibilisées, nombre d'entre elles ont laissé des textes puissants qui résonnent encore fortement aujourd'hui. Préface de Titiou Lecoq Après un master de Lettres modernes, Daphné Ticrizenis a travaillé dans plusieurs maisons d'édition, notamment scolaires. Féministe, elle déplore la faible proportion de textes d'autrices proposée dans les manuels de français.
Depuis plusieurs années, en s'appuyant sur les études menées par des historien·nes de la littérature, elle est partie à la recherche des ouvres de ces écrivaines effacées pour reconstituer un matrimoine commun.
Les femmes écrivaient-elles vraiment au Moyen Âge ? Notre imaginaire est saturé de clichés sur cette époque qu'on imagine sombre, violente, saturée de pauvreté et de famines. Pourtant, même si elles évoluent dans un monde misogyne et que leur statut est bien sûr associé à celui de leurs maris (sauf dans le cas des religieuses), les femmes jouent un rôle social dans la cité et ne sont pas cantonnées à la tenue d'un foyer.
Les grandes dames sont à la fois lectrices, mécènes, commanditaires et destinataires des ouvres, leur impact dans la vie culturelle est essentiel. Et oui, elles écrivent aussi. Si des générations d'écoliers ont eu affaire au classique Lagarde et Michard, jamais encore une anthologie de cette ampleur n'avait rassemblé des textes écrits par des femmes pour retracer sur plusieurs siècles le rôle qu'elles ont joué dans la littérature.
Celui-ci a pourtant été majeur, et même si elles ont été oubliées, spoliées et invisibilisées, nombre d'entre elles ont laissé des textes puissants qui résonnent encore fortement aujourd'hui. Préface de Titiou Lecoq Après un master de Lettres modernes, Daphné Ticrizenis a travaillé dans plusieurs maisons d'édition, notamment scolaires. Féministe, elle déplore la faible proportion de textes d'autrices proposée dans les manuels de français.
Depuis plusieurs années, en s'appuyant sur les études menées par des historien·nes de la littérature, elle est partie à la recherche des ouvres de ces écrivaines effacées pour reconstituer un matrimoine commun.
Les grandes dames sont à la fois lectrices, mécènes, commanditaires et destinataires des ouvres, leur impact dans la vie culturelle est essentiel. Et oui, elles écrivent aussi. Si des générations d'écoliers ont eu affaire au classique Lagarde et Michard, jamais encore une anthologie de cette ampleur n'avait rassemblé des textes écrits par des femmes pour retracer sur plusieurs siècles le rôle qu'elles ont joué dans la littérature.
Celui-ci a pourtant été majeur, et même si elles ont été oubliées, spoliées et invisibilisées, nombre d'entre elles ont laissé des textes puissants qui résonnent encore fortement aujourd'hui. Préface de Titiou Lecoq Après un master de Lettres modernes, Daphné Ticrizenis a travaillé dans plusieurs maisons d'édition, notamment scolaires. Féministe, elle déplore la faible proportion de textes d'autrices proposée dans les manuels de français.
Depuis plusieurs années, en s'appuyant sur les études menées par des historien·nes de la littérature, elle est partie à la recherche des ouvres de ces écrivaines effacées pour reconstituer un matrimoine commun.