Autour de Louise Colet. Femmes de lettres au XIX8 siècle

Par : Roger Bellet
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  • Nombre de pages320
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7297-0983-9
  • EAN9782729709839
  • Date de parution05/11/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Lyon

Résumé

« ... je ne te sais nul gré de faire de beaux vers. Tu les ponds comme une poule les oufs, sans en avoir conscience (c'est dans ta nature, c'est le bon Dieu qui t'a faite comme ça) ». G. Flaubert à Louise Colet, 18 décembre 1853. « Ce poème (« La Servante ») est une mauvaise action, et tu en as été punie, car c'est une mauvaise ouvre (...) tu as fait de l'art un déversoir à passions, une espèce de pot-de-chambre où le trop-plein de je ne sais quoi a coulé.
Cela ne sent pas bon. Cela sent la haine ». G. Flaubert à Louise Colet, 9-10 janvier 1854. « Il ne faut se fier aux femmes (en fait de littérature) que pour les choses de la délicatesse et de la nervosité. Mais tout ce qui est vraiment élevé et haut leur échappe (...) En résumé, ne t'en rapporte jamais à ce qu'elles diront d'un livre ». G. Flaubert à Ernest Feydeau, 11 janvier 1859.
« ... je ne te sais nul gré de faire de beaux vers. Tu les ponds comme une poule les oufs, sans en avoir conscience (c'est dans ta nature, c'est le bon Dieu qui t'a faite comme ça) ». G. Flaubert à Louise Colet, 18 décembre 1853. « Ce poème (« La Servante ») est une mauvaise action, et tu en as été punie, car c'est une mauvaise ouvre (...) tu as fait de l'art un déversoir à passions, une espèce de pot-de-chambre où le trop-plein de je ne sais quoi a coulé.
Cela ne sent pas bon. Cela sent la haine ». G. Flaubert à Louise Colet, 9-10 janvier 1854. « Il ne faut se fier aux femmes (en fait de littérature) que pour les choses de la délicatesse et de la nervosité. Mais tout ce qui est vraiment élevé et haut leur échappe (...) En résumé, ne t'en rapporte jamais à ce qu'elles diront d'un livre ». G. Flaubert à Ernest Feydeau, 11 janvier 1859.
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