Autoportrait au roitelet. Lettres à T.W. Higginson et aux soeurs Norcross 1859-1886 ; Suivi de La gloire est une abeille (Choix de poèmes) 1858-1881
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- Nombre de pages304
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91587-6
- EAN9782251915876
- Date de parution26/05/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- TraducteurPatrick Reumaux
Résumé
Voici ma lettre au Monde
Qui ne M'a jamais écrit -
Les simples Nouvelles que la Nature disait -
Avec une tendre Majesté
Emily Dickinson
Emily Dickinson (1830-1886) passe sa vie à Amherst, dans la propriété familiale. Tombe amoureuse d'un révérend, qui s'enfuit. Elle écrit des poèmes, ne sait pas ce qu'ils valent (ou fait semblant), prend pour maître un gandin célèbre, Thomas Wentworth Higginson dont la bêtise - un siècle a passé - irradie comme un soleil.
Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres « Votre Élève », écrit encore quelques vers, s'intéresse à tout ce qui meurt. Quand elle commence à écrire aux sours Norcross, en 1859, Louise a seize ans, Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n'ont pas grandi, sont pour Emily les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize. « Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère.
Je souhaite que nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de la Correspondance ici traduite - Lettres à T. W. Higginson et aux sours Norcross - n'a pu l'être que grâce au remarquable appareil critique de l'édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l'on trouvera en seconde partie de volume parlent d'eux-mêmes.
Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres « Votre Élève », écrit encore quelques vers, s'intéresse à tout ce qui meurt. Quand elle commence à écrire aux sours Norcross, en 1859, Louise a seize ans, Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n'ont pas grandi, sont pour Emily les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize. « Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère.
Je souhaite que nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de la Correspondance ici traduite - Lettres à T. W. Higginson et aux sours Norcross - n'a pu l'être que grâce au remarquable appareil critique de l'édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l'on trouvera en seconde partie de volume parlent d'eux-mêmes.
Voici ma lettre au Monde
Qui ne M'a jamais écrit -
Les simples Nouvelles que la Nature disait -
Avec une tendre Majesté
Emily Dickinson
Emily Dickinson (1830-1886) passe sa vie à Amherst, dans la propriété familiale. Tombe amoureuse d'un révérend, qui s'enfuit. Elle écrit des poèmes, ne sait pas ce qu'ils valent (ou fait semblant), prend pour maître un gandin célèbre, Thomas Wentworth Higginson dont la bêtise - un siècle a passé - irradie comme un soleil.
Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres « Votre Élève », écrit encore quelques vers, s'intéresse à tout ce qui meurt. Quand elle commence à écrire aux sours Norcross, en 1859, Louise a seize ans, Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n'ont pas grandi, sont pour Emily les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize. « Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère.
Je souhaite que nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de la Correspondance ici traduite - Lettres à T. W. Higginson et aux sours Norcross - n'a pu l'être que grâce au remarquable appareil critique de l'édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l'on trouvera en seconde partie de volume parlent d'eux-mêmes.
Les années filant, elle sort de moins en moins, signe ses lettres « Votre Élève », écrit encore quelques vers, s'intéresse à tout ce qui meurt. Quand elle commence à écrire aux sours Norcross, en 1859, Louise a seize ans, Frances treize. Vingt ans plus tard, elles n'ont pas grandi, sont pour Emily les mêmes petites filles imaginaires. Loo a toujours seize ans, Fanny treize. « Je souhaite que nous soyons enfants, écrit-elle à son frère.
Je souhaite que nous soyons toujours enfants, comment grandir, je ne sais pas. » La partie de la Correspondance ici traduite - Lettres à T. W. Higginson et aux sours Norcross - n'a pu l'être que grâce au remarquable appareil critique de l'édition américaine Harvard University Press. Les poèmes que l'on trouvera en seconde partie de volume parlent d'eux-mêmes.