Au pied de la Montagne noire, Sorèze : Une abbaye, une école
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- Nombre de pages350
- FormatPDF
- ISBN2-402-36721-0
- EAN9782402367219
- Date de parution31/12/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille141 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Silo...
Résumé
Sorèze, abbaye bénédictine fondée au VIIIe siècle, affiliée à la congrégation de Saint-Maur au XVIIe siècle, est désignée comme l'une des douze écoles royales militaires du royaume par le roi Louis XVI, en 1776. Le plan d'études, mis en place par les bénédictins Mauristes, est particulièrement novateur à la fin de l'Ancien Régime. La renommée de l'école dépasse rapidement les frontières locales et régionales ; elle accueille des élèves du monde entier, et le recrutement international se poursuit jusqu'à la fin du XXe siècle, les élèves étrangers sont nombreux, la plupart des continents sont représentés.
Après le départ des moines, à la Révolution, l'école continue comme établissement privé.
En 1854, le père Lacordaire donne un nouveau souffle à l'école, et les Dominicains en assurent la direction jusqu'en 1978. À leur départ, des laïcs prennent la relève, mais l'établissement scolaire ferme ses portes en septembre 1991. Une nouvelle page de l'histoire de Sorèze s'écrit dès aujourd'hui.
En 1854, le père Lacordaire donne un nouveau souffle à l'école, et les Dominicains en assurent la direction jusqu'en 1978. À leur départ, des laïcs prennent la relève, mais l'établissement scolaire ferme ses portes en septembre 1991. Une nouvelle page de l'histoire de Sorèze s'écrit dès aujourd'hui.
Sorèze, abbaye bénédictine fondée au VIIIe siècle, affiliée à la congrégation de Saint-Maur au XVIIe siècle, est désignée comme l'une des douze écoles royales militaires du royaume par le roi Louis XVI, en 1776. Le plan d'études, mis en place par les bénédictins Mauristes, est particulièrement novateur à la fin de l'Ancien Régime. La renommée de l'école dépasse rapidement les frontières locales et régionales ; elle accueille des élèves du monde entier, et le recrutement international se poursuit jusqu'à la fin du XXe siècle, les élèves étrangers sont nombreux, la plupart des continents sont représentés.
Après le départ des moines, à la Révolution, l'école continue comme établissement privé.
En 1854, le père Lacordaire donne un nouveau souffle à l'école, et les Dominicains en assurent la direction jusqu'en 1978. À leur départ, des laïcs prennent la relève, mais l'établissement scolaire ferme ses portes en septembre 1991. Une nouvelle page de l'histoire de Sorèze s'écrit dès aujourd'hui.
En 1854, le père Lacordaire donne un nouveau souffle à l'école, et les Dominicains en assurent la direction jusqu'en 1978. À leur départ, des laïcs prennent la relève, mais l'établissement scolaire ferme ses portes en septembre 1991. Une nouvelle page de l'histoire de Sorèze s'écrit dès aujourd'hui.
