Au coeur de la calebasse

Par : Roland Roger Edzoa
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  • Nombre de pages107
  • FormatPDF
  • ISBN978-9956-24-259-7
  • EAN9789956242597
  • Date de parution04/12/2023
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille696 Ko
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurLa Jeune Plume Édition

Résumé

« Dans cette calebasse, il y a la persévérance et la sagesse. ». Telles sont mes premières impressions sur cet ouvrage qui nous promène dans les lignes d'un art poétique. Voilà comment on pourrait résumer le contenu de ce recueil de poèmes de Roland Roger EDZOA intitulé « Au cour de la Calebasse ». Il nous traîne à l'intérieur de son âme mystérieuse dont les paysages sont très colorés et uniques. C'est un poète à la recherche de sa propre identité.
Il s'interroge par le poème *qui es-tu ?*. L'auteur célèbre sa terre natale qui lui a tout appris et tout apporté : sa famille, sa race, sa fierté. Il partage avec nous cet amour qu'il ne contient plus dans son cour. Alors son recueil de poèmes est donc une sorte de confession construite par des souvenirs, les souhaits, la volonté, la persévérance, l'angoisse, L'espoir. Comme Engelbert MVENG : « mon enfant, tu ne sais pas ce que c'est que vivre.
Va et apprends à tes fils que sans la mort la vie ne serait plus la vie. ». L'auteur serait une voie comme l'a été ses prédécesseurs pour la génération à venir qui, à leur tour, sera les guides pour les prochains en devenir. Roland Roger EDZOA nous appelle enfin à retourner à la tradition, car c'est par cette immersion qu'on se libérera du fardeau du passé et rendre possible le bonheur. Le messager qu'il est ne porte que le message.
À nous d'en tirer la sagesse nécessaire. Tout comme Aimé Césaire et Engelbert MVENG, il se veut le porte-parole des opprimés (figé) tapis dans l'ombre et espère une lueur de lumière pour reprendre goût à la vie. Ceci dit, ce recueil nous promène du début jusqu'à la fin dans un monde qui est le nôtre. Le poète laisse le soin à chacun à ses lecteurs de s'identifier dans chaque poème qu'il a pris soin d'écrire, car cette calebasse qu'il nous présente décrit l'Être humain dans toute sa splendeur, sa solitude, dans tous ses espoirs, de son ignorance à son effervescence.
Alors je conclus mes propos en disant que le poète dans ses souvenirs et sa rédemption fait naitre au plus profond de nous : un éveil d'esprit qui se laisse comprendre par une grande confession dont : Au cour de la calebasse.
« Dans cette calebasse, il y a la persévérance et la sagesse. ». Telles sont mes premières impressions sur cet ouvrage qui nous promène dans les lignes d'un art poétique. Voilà comment on pourrait résumer le contenu de ce recueil de poèmes de Roland Roger EDZOA intitulé « Au cour de la Calebasse ». Il nous traîne à l'intérieur de son âme mystérieuse dont les paysages sont très colorés et uniques. C'est un poète à la recherche de sa propre identité.
Il s'interroge par le poème *qui es-tu ?*. L'auteur célèbre sa terre natale qui lui a tout appris et tout apporté : sa famille, sa race, sa fierté. Il partage avec nous cet amour qu'il ne contient plus dans son cour. Alors son recueil de poèmes est donc une sorte de confession construite par des souvenirs, les souhaits, la volonté, la persévérance, l'angoisse, L'espoir. Comme Engelbert MVENG : « mon enfant, tu ne sais pas ce que c'est que vivre.
Va et apprends à tes fils que sans la mort la vie ne serait plus la vie. ». L'auteur serait une voie comme l'a été ses prédécesseurs pour la génération à venir qui, à leur tour, sera les guides pour les prochains en devenir. Roland Roger EDZOA nous appelle enfin à retourner à la tradition, car c'est par cette immersion qu'on se libérera du fardeau du passé et rendre possible le bonheur. Le messager qu'il est ne porte que le message.
À nous d'en tirer la sagesse nécessaire. Tout comme Aimé Césaire et Engelbert MVENG, il se veut le porte-parole des opprimés (figé) tapis dans l'ombre et espère une lueur de lumière pour reprendre goût à la vie. Ceci dit, ce recueil nous promène du début jusqu'à la fin dans un monde qui est le nôtre. Le poète laisse le soin à chacun à ses lecteurs de s'identifier dans chaque poème qu'il a pris soin d'écrire, car cette calebasse qu'il nous présente décrit l'Être humain dans toute sa splendeur, sa solitude, dans tous ses espoirs, de son ignorance à son effervescence.
Alors je conclus mes propos en disant que le poète dans ses souvenirs et sa rédemption fait naitre au plus profond de nous : un éveil d'esprit qui se laisse comprendre par une grande confession dont : Au cour de la calebasse.