Atrée et Céladon. La galanterie dans le théâtre tragique de la France classique (1634-1702)

Par : Carine Barbafieri

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages394
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7535-4637-0
  • EAN9782753546370
  • Date de parution12/07/2016
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPresses universitaires de Rennes
  • PréfacierEmmanuel Bury

Résumé

Le héros tragique a-t-il droit d'être policé et amoureux ? C'est bien la question de la présence et de la légitimité de la galanterie dans l'univers tragique qui se pose. Célébrée par ses partisans en ce qu'elle permet de moderniser les héros antiques et de les rapprocher ainsi du public, elle est condamnée par ses détracteurs comme n'étant que mollesse : elle conduirait à peindre des héros insipides qui ressemblent tous à des éros de roman.
Séduite par une esthétique a priori peu faite pour elle, la tragédie française du Grand Siècle est le lieu d'un débat qui engage sa définition même.
Le héros tragique a-t-il droit d'être policé et amoureux ? C'est bien la question de la présence et de la légitimité de la galanterie dans l'univers tragique qui se pose. Célébrée par ses partisans en ce qu'elle permet de moderniser les héros antiques et de les rapprocher ainsi du public, elle est condamnée par ses détracteurs comme n'étant que mollesse : elle conduirait à peindre des héros insipides qui ressemblent tous à des éros de roman.
Séduite par une esthétique a priori peu faite pour elle, la tragédie française du Grand Siècle est le lieu d'un débat qui engage sa définition même.