Atlantic city

Par : Joy Raffin
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  • Nombre de pages165
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84111-958-5
  • EAN9782841119585
  • Date de parution23/08/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille884 Ko
  • ÉditeurNil

Résumé

Le premier roman américain d'une jeune auteure française. Portrait en creux d'une Amérique en proie au désarroi à l'ère Trump, Atlantic City est aussi un roman universel sur les laissés-pour-compte et une ode au hasard qui tisse nos vies. Une ville : Atlantic City, New Jersey, États-Unis. Une date : le 22 septembre 2017. 7 h 55 : une nouvelle journée commence alors qu'un ouragan s'annonce et menace la ville tout entière.
Clarence Gambino, clochard de son état, ouvre le bal d'un chassé-croisé de personnages en prêtant sa voix à des journalistes à la recherche d'un scoop. Suivront un présentateur de radio ringard affublé du ridicule pseudonyme de Richard Cheer, une secrétaire médicale malcommode, un médecin humaniste qui joue les Robins des Bois, une lycéenne en quête d'ailleurs... Des personnages cabossés - hommes, femmes, enfants -, aux destins singuliers mais hantés par le même horizon dévorant. Joy Raffin nous offre avec Atlantic City un roman choral en forme d'hommage à cette ville immortalisée par Louis Malle au cinéma et par Bruce Springsteen en chanson, et qui a aussi inspiré à Martin Scorsese la série Boardwalk Empire.
Le premier roman américain d'une jeune auteure française. Portrait en creux d'une Amérique en proie au désarroi à l'ère Trump, Atlantic City est aussi un roman universel sur les laissés-pour-compte et une ode au hasard qui tisse nos vies. Une ville : Atlantic City, New Jersey, États-Unis. Une date : le 22 septembre 2017. 7 h 55 : une nouvelle journée commence alors qu'un ouragan s'annonce et menace la ville tout entière.
Clarence Gambino, clochard de son état, ouvre le bal d'un chassé-croisé de personnages en prêtant sa voix à des journalistes à la recherche d'un scoop. Suivront un présentateur de radio ringard affublé du ridicule pseudonyme de Richard Cheer, une secrétaire médicale malcommode, un médecin humaniste qui joue les Robins des Bois, une lycéenne en quête d'ailleurs... Des personnages cabossés - hommes, femmes, enfants -, aux destins singuliers mais hantés par le même horizon dévorant. Joy Raffin nous offre avec Atlantic City un roman choral en forme d'hommage à cette ville immortalisée par Louis Malle au cinéma et par Bruce Springsteen en chanson, et qui a aussi inspiré à Martin Scorsese la série Boardwalk Empire.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Une bonne lecture.
Avec Altlantic City, Joy Raffin nous prouve en 258 pages qu’un roman n’a décidément pas besoin d’être forcément volumineux pour être complet. Nous sommes le 22/09/2017 et les habitants d’Atlantic City s’apprêtent à recevoir la visite de RITA. Mais Rita n’est pas une amie. Pas même une touriste. Non, Rita est une tempête. Et elle risque de faire très mal. Durant toute cette journée nous allons donc suivre le quotidien de quelques uns des habitants de cette ville menacée par un ennemi qu’elle ne peut qu’attendre. Apprendre à les connaître, eux et leurs pensées. De chapitre en chapitre, d’un personnage à l’autre, nous les découvrons. Et nous comprenons rapidement que même sans cette invitée surprise, leur vie est tout sauf un conte de fée. Portait d’une Amérique sous la présidence de Trump, ce n’est pas tant le suspens de la tempête que l’envers du décor d’une «cité dorée» qui nous intéresse ici. Journaliste, adolescente, secrétaire, médecin ou SDF, chacun a quelque chose à raconter. Ici déceptions passées, espoirs brisés, rêves d’ailleurs et quêtes d’un monde meilleur se croisent et se répondent. Avec ce roman choral, ce sont des instantanés de la vie de chacun que l’auteure nous propose de découvrir. Alliant humour corrosif, critique acerbe et mélancolie profonde, ce petit roman se lit très facilement. Il est un parfait miroir de notre société actuelle, moins terrifiée par les dangers physiques que par ses propres problèmes et démons personnels. Et nous rappelle que, bien que différents les uns des autres, nous sommes bien souvent reliés, d’une façon ou d’une autre. Mais pas de crainte à avoir : si le véritable sujet du livre saute aux yeux grâce à la pertinence des propos, un humour bienfaisant se retrouve un peu partout dans les pages. Joy Raffin signe ici un premier roman prometteur. D’une plume simple, directe, et surtout exempte de toute prétention déplacée, elle nous pousse à la réflexion sans jamais se prendre au sérieux. Ça fait du bien, et le résultat est très agréable. Si vous avez envie d’une lecture qui détend, d’un roman qui interpelle, ou, encore mieux, d’un livre qui réunit ces deux qualités, alors Atlantic City devrait vous plaire.
Avec Altlantic City, Joy Raffin nous prouve en 258 pages qu’un roman n’a décidément pas besoin d’être forcément volumineux pour être complet. Nous sommes le 22/09/2017 et les habitants d’Atlantic City s’apprêtent à recevoir la visite de RITA. Mais Rita n’est pas une amie. Pas même une touriste. Non, Rita est une tempête. Et elle risque de faire très mal. Durant toute cette journée nous allons donc suivre le quotidien de quelques uns des habitants de cette ville menacée par un ennemi qu’elle ne peut qu’attendre. Apprendre à les connaître, eux et leurs pensées. De chapitre en chapitre, d’un personnage à l’autre, nous les découvrons. Et nous comprenons rapidement que même sans cette invitée surprise, leur vie est tout sauf un conte de fée. Portait d’une Amérique sous la présidence de Trump, ce n’est pas tant le suspens de la tempête que l’envers du décor d’une «cité dorée» qui nous intéresse ici. Journaliste, adolescente, secrétaire, médecin ou SDF, chacun a quelque chose à raconter. Ici déceptions passées, espoirs brisés, rêves d’ailleurs et quêtes d’un monde meilleur se croisent et se répondent. Avec ce roman choral, ce sont des instantanés de la vie de chacun que l’auteure nous propose de découvrir. Alliant humour corrosif, critique acerbe et mélancolie profonde, ce petit roman se lit très facilement. Il est un parfait miroir de notre société actuelle, moins terrifiée par les dangers physiques que par ses propres problèmes et démons personnels. Et nous rappelle que, bien que différents les uns des autres, nous sommes bien souvent reliés, d’une façon ou d’une autre. Mais pas de crainte à avoir : si le véritable sujet du livre saute aux yeux grâce à la pertinence des propos, un humour bienfaisant se retrouve un peu partout dans les pages. Joy Raffin signe ici un premier roman prometteur. D’une plume simple, directe, et surtout exempte de toute prétention déplacée, elle nous pousse à la réflexion sans jamais se prendre au sérieux. Ça fait du bien, et le résultat est très agréable. Si vous avez envie d’une lecture qui détend, d’un roman qui interpelle, ou, encore mieux, d’un livre qui réunit ces deux qualités, alors Atlantic City devrait vous plaire.