Arthur Schnitzler et la France (1894-1938). Enquête sur une réception
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- Nombre de pages340
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-1855-0
- EAN9782757418550
- Date de parution06/09/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Arthur Schnitzler (1862-1931) est aujourd'hui, en France, à côté de Hugo von Hofmannsthal et de Stefan Zweig l'un des écrivains autrichiens les plus connus de sa génération. La réception française de son ouvre a été cependant partielle et mouvementée : alors que l'écrivain viennois souhaitait être reconnu pour ses ouvres de grande envergure, les éditeurs et directeurs de théâtre français leur ont préféré ses récits et ses nouvelles ainsi que ses pièces en un acte.
La critique le présentait comme le « maître de la petite forme », comme un écrivain « léger », plus proche de l'esprit « latin » des français que de l'esprit allemand (prussien) des écrivains berlinois et, par conséquent, plus facile à « consommer » par le public français. Cette image s'avère être liée à une certaine représentation que les Français pouvaient avoir de l'Autriche et de la culture autrichienne, voire viennoise, du tournant du xixe au xxe siècle.
Le présent livre suit les méandres de cette réception, en proposant, pour la première fois, une étude fouillée de la correspondance (en grande partie inédite) de Schnitzler avec ses relations françaises (traducteurs, éditeurs, agents littéraires et directeurs de théâtre) et en se basant sur les traductions faites entre 1894 et 1938, ainsi que sur les réactions critiques que celles-ci ont suscitées.
La critique le présentait comme le « maître de la petite forme », comme un écrivain « léger », plus proche de l'esprit « latin » des français que de l'esprit allemand (prussien) des écrivains berlinois et, par conséquent, plus facile à « consommer » par le public français. Cette image s'avère être liée à une certaine représentation que les Français pouvaient avoir de l'Autriche et de la culture autrichienne, voire viennoise, du tournant du xixe au xxe siècle.
Le présent livre suit les méandres de cette réception, en proposant, pour la première fois, une étude fouillée de la correspondance (en grande partie inédite) de Schnitzler avec ses relations françaises (traducteurs, éditeurs, agents littéraires et directeurs de théâtre) et en se basant sur les traductions faites entre 1894 et 1938, ainsi que sur les réactions critiques que celles-ci ont suscitées.
Arthur Schnitzler (1862-1931) est aujourd'hui, en France, à côté de Hugo von Hofmannsthal et de Stefan Zweig l'un des écrivains autrichiens les plus connus de sa génération. La réception française de son ouvre a été cependant partielle et mouvementée : alors que l'écrivain viennois souhaitait être reconnu pour ses ouvres de grande envergure, les éditeurs et directeurs de théâtre français leur ont préféré ses récits et ses nouvelles ainsi que ses pièces en un acte.
La critique le présentait comme le « maître de la petite forme », comme un écrivain « léger », plus proche de l'esprit « latin » des français que de l'esprit allemand (prussien) des écrivains berlinois et, par conséquent, plus facile à « consommer » par le public français. Cette image s'avère être liée à une certaine représentation que les Français pouvaient avoir de l'Autriche et de la culture autrichienne, voire viennoise, du tournant du xixe au xxe siècle.
Le présent livre suit les méandres de cette réception, en proposant, pour la première fois, une étude fouillée de la correspondance (en grande partie inédite) de Schnitzler avec ses relations françaises (traducteurs, éditeurs, agents littéraires et directeurs de théâtre) et en se basant sur les traductions faites entre 1894 et 1938, ainsi que sur les réactions critiques que celles-ci ont suscitées.
La critique le présentait comme le « maître de la petite forme », comme un écrivain « léger », plus proche de l'esprit « latin » des français que de l'esprit allemand (prussien) des écrivains berlinois et, par conséquent, plus facile à « consommer » par le public français. Cette image s'avère être liée à une certaine représentation que les Français pouvaient avoir de l'Autriche et de la culture autrichienne, voire viennoise, du tournant du xixe au xxe siècle.
Le présent livre suit les méandres de cette réception, en proposant, pour la première fois, une étude fouillée de la correspondance (en grande partie inédite) de Schnitzler avec ses relations françaises (traducteurs, éditeurs, agents littéraires et directeurs de théâtre) et en se basant sur les traductions faites entre 1894 et 1938, ainsi que sur les réactions critiques que celles-ci ont suscitées.