Aristides
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- Nombre de pages132
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-38533-012-5
- EAN9782385330125
- Date de parution03/03/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
- ÉditeurAvallon & Combe
Résumé
Le 16 juin 1940, Aristides de Sousa Mendes, alors Consul du Portugal à Bordeaux, désobéit aux ordres de Salazar. Il accorde à tous ceux qui le demandent un visa pour le Portugal, sauvant ainsi des milliers de vies.
De nos jours, deux colocataires, Arnaud le comédien et Blanche la romancière, traversent des difficultés personnelles et professionnelles. Arnaud suggère à Blanche de lui écrire une pièce de théâtre, dans laquelle il jouerait le rôle d'Aristides.
Blanche, trouvant l'idée convenue, refuse. Un peu plus tard, alors que Blanche peine pour trouver un nouveau sujet de roman, un personnage habillé à l'ancienne, qui ressemble étrangement au Consul, lui rend visite. Il lui demande de l'aider à recouvrer la mémoire. Peu à peu, Blanche se prend au jeu ; au fil de ses recherches, elle découvre un personnage complexe, aristocrate, royaliste, chrétien, fantaisiste, bon vivant et séducteur...
Sous le charme, elle se lance dans l'écriture, pour la plus grande joie d'Arnaud, qui admire profondément celui que l'on appelle le Juste de Bordeaux. Aristides, "toujours plus ou moins là", s'attache aux deux jeunes gens et s'installe dans leur vie. Il leur prodigue des conseils, accompagne l'écriture de la pièce, commente les scènes, y apporte des précisions, et finit par jouer son propre rôle dans la reconstitution du procès que lui fit Salazar à son retour au Portugal. "Le procédé littéraire utilisé par l'auteure pour nous faire rencontrer les multiples personnages de cette histoire, interprétée par trois acteurs seulement, est d'autant plus subtil qu'il déborde du sujet initial pour nous faire toucher de près le processus d'écriture d'un texte théâtral.
Il permet également aux comédiens de prendre de la distance avec les faits historiques évoqués, et d'aborder avec humour une situation dramatique, la rendant ainsi accessible à un très large public. Il souligne enfin l'actualité de son sujet : il est plus que jamais nécessaire d'opposer la force de la conscience et des convictions à des pratiques dégradantes de discrimination." Laurence Pérou, Sud-Ouest
Blanche, trouvant l'idée convenue, refuse. Un peu plus tard, alors que Blanche peine pour trouver un nouveau sujet de roman, un personnage habillé à l'ancienne, qui ressemble étrangement au Consul, lui rend visite. Il lui demande de l'aider à recouvrer la mémoire. Peu à peu, Blanche se prend au jeu ; au fil de ses recherches, elle découvre un personnage complexe, aristocrate, royaliste, chrétien, fantaisiste, bon vivant et séducteur...
Sous le charme, elle se lance dans l'écriture, pour la plus grande joie d'Arnaud, qui admire profondément celui que l'on appelle le Juste de Bordeaux. Aristides, "toujours plus ou moins là", s'attache aux deux jeunes gens et s'installe dans leur vie. Il leur prodigue des conseils, accompagne l'écriture de la pièce, commente les scènes, y apporte des précisions, et finit par jouer son propre rôle dans la reconstitution du procès que lui fit Salazar à son retour au Portugal. "Le procédé littéraire utilisé par l'auteure pour nous faire rencontrer les multiples personnages de cette histoire, interprétée par trois acteurs seulement, est d'autant plus subtil qu'il déborde du sujet initial pour nous faire toucher de près le processus d'écriture d'un texte théâtral.
Il permet également aux comédiens de prendre de la distance avec les faits historiques évoqués, et d'aborder avec humour une situation dramatique, la rendant ainsi accessible à un très large public. Il souligne enfin l'actualité de son sujet : il est plus que jamais nécessaire d'opposer la force de la conscience et des convictions à des pratiques dégradantes de discrimination." Laurence Pérou, Sud-Ouest
Le 16 juin 1940, Aristides de Sousa Mendes, alors Consul du Portugal à Bordeaux, désobéit aux ordres de Salazar. Il accorde à tous ceux qui le demandent un visa pour le Portugal, sauvant ainsi des milliers de vies.
De nos jours, deux colocataires, Arnaud le comédien et Blanche la romancière, traversent des difficultés personnelles et professionnelles. Arnaud suggère à Blanche de lui écrire une pièce de théâtre, dans laquelle il jouerait le rôle d'Aristides.
Blanche, trouvant l'idée convenue, refuse. Un peu plus tard, alors que Blanche peine pour trouver un nouveau sujet de roman, un personnage habillé à l'ancienne, qui ressemble étrangement au Consul, lui rend visite. Il lui demande de l'aider à recouvrer la mémoire. Peu à peu, Blanche se prend au jeu ; au fil de ses recherches, elle découvre un personnage complexe, aristocrate, royaliste, chrétien, fantaisiste, bon vivant et séducteur...
Sous le charme, elle se lance dans l'écriture, pour la plus grande joie d'Arnaud, qui admire profondément celui que l'on appelle le Juste de Bordeaux. Aristides, "toujours plus ou moins là", s'attache aux deux jeunes gens et s'installe dans leur vie. Il leur prodigue des conseils, accompagne l'écriture de la pièce, commente les scènes, y apporte des précisions, et finit par jouer son propre rôle dans la reconstitution du procès que lui fit Salazar à son retour au Portugal. "Le procédé littéraire utilisé par l'auteure pour nous faire rencontrer les multiples personnages de cette histoire, interprétée par trois acteurs seulement, est d'autant plus subtil qu'il déborde du sujet initial pour nous faire toucher de près le processus d'écriture d'un texte théâtral.
Il permet également aux comédiens de prendre de la distance avec les faits historiques évoqués, et d'aborder avec humour une situation dramatique, la rendant ainsi accessible à un très large public. Il souligne enfin l'actualité de son sujet : il est plus que jamais nécessaire d'opposer la force de la conscience et des convictions à des pratiques dégradantes de discrimination." Laurence Pérou, Sud-Ouest
Blanche, trouvant l'idée convenue, refuse. Un peu plus tard, alors que Blanche peine pour trouver un nouveau sujet de roman, un personnage habillé à l'ancienne, qui ressemble étrangement au Consul, lui rend visite. Il lui demande de l'aider à recouvrer la mémoire. Peu à peu, Blanche se prend au jeu ; au fil de ses recherches, elle découvre un personnage complexe, aristocrate, royaliste, chrétien, fantaisiste, bon vivant et séducteur...
Sous le charme, elle se lance dans l'écriture, pour la plus grande joie d'Arnaud, qui admire profondément celui que l'on appelle le Juste de Bordeaux. Aristides, "toujours plus ou moins là", s'attache aux deux jeunes gens et s'installe dans leur vie. Il leur prodigue des conseils, accompagne l'écriture de la pièce, commente les scènes, y apporte des précisions, et finit par jouer son propre rôle dans la reconstitution du procès que lui fit Salazar à son retour au Portugal. "Le procédé littéraire utilisé par l'auteure pour nous faire rencontrer les multiples personnages de cette histoire, interprétée par trois acteurs seulement, est d'autant plus subtil qu'il déborde du sujet initial pour nous faire toucher de près le processus d'écriture d'un texte théâtral.
Il permet également aux comédiens de prendre de la distance avec les faits historiques évoqués, et d'aborder avec humour une situation dramatique, la rendant ainsi accessible à un très large public. Il souligne enfin l'actualité de son sujet : il est plus que jamais nécessaire d'opposer la force de la conscience et des convictions à des pratiques dégradantes de discrimination." Laurence Pérou, Sud-Ouest






















