Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages104
  • FormatPDF
  • ISBN2-402-36062-3
  • EAN9782402360623
  • Date de parution01/01/1979
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille23 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Astr...

Résumé

Qui donc parle encore aujourd'hui du paragraphe 30 ? Dans APSOSS un personnage, Monsieur Chu Chan, pose la question. Pourquoi le fait-il ? Parce que, pour lui, rien au monde n'appartient au seul passé. Il n'est pas d'actes, criminels ou non (à fortiori criminels) qui soient ceux, exclusivement, d'un moment de la journée, d'un moment de la vie, d'un moment de l'Histoire. Un proverbe arménien dit : « Les petits du chien sont toujours des chiens ».
C'est dire que les crimes que l'humanité commet aujourd'hui ici et là sont ceux perpétrés jadis ici ou ailleurs... qui continuent. Et qui continueront tant qu'ils ne seront pas reconnus et, s'il se peut, lavés. En exergue de la pièce, l'extrait d'une prière de Sayat Nova, qui a ravivé, si besoin était, le désir de l'auteur de rappeler qu'il est Arménien et de dire encore tout ce que cela implique...
Qui donc parle encore aujourd'hui du paragraphe 30 ? Dans APSOSS un personnage, Monsieur Chu Chan, pose la question. Pourquoi le fait-il ? Parce que, pour lui, rien au monde n'appartient au seul passé. Il n'est pas d'actes, criminels ou non (à fortiori criminels) qui soient ceux, exclusivement, d'un moment de la journée, d'un moment de la vie, d'un moment de l'Histoire. Un proverbe arménien dit : « Les petits du chien sont toujours des chiens ».
C'est dire que les crimes que l'humanité commet aujourd'hui ici et là sont ceux perpétrés jadis ici ou ailleurs... qui continuent. Et qui continueront tant qu'ils ne seront pas reconnus et, s'il se peut, lavés. En exergue de la pièce, l'extrait d'une prière de Sayat Nova, qui a ravivé, si besoin était, le désir de l'auteur de rappeler qu'il est Arménien et de dire encore tout ce que cela implique...
Image Placeholder
Jean-Jacques Varoujean
Grand Format
9,60 €
Baron, baronne
Jean-Jacques Varoujean
6,00 €