Après la finitude. Essai sur la nécessité de la contingence
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- Nombre de pages192
- FormatPDF
- ISBN978-2-02-134581-0
- EAN9782021345810
- Date de parution25/07/2016
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille461 Ko
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurLe Seuil
Résumé
La critique empiriste des prétentions universelles de la pensée humaine est-elle réellement fondée ? On sait que c'est le problème de Kant. Mais Quentin Meillassoux montre avec une force étonnante qu'une autre compréhension de cette critique, restée en quelque sorte dissimulée, bien que plus "naturelle", aboutit à un partage des ambitions de la pensée très différent de celui proposé par Kant. Il établit en effet qu'une seule chose est absolument nécessaire : que les lois de la nature soient contingentes.
Ce noeud entièrement nouveau entre les modalités contraires installe la pensée dans un tout autre rapport à l'expérience du monde, un rapport qui défait simultanément les prétentions "nécessitantes" de la métaphysique classique, et le partage "critique" entre l'empirique et le transcendantal.
Cette remarquable "critique de la Critique" est ici introduite sans fioritures, coupant vers l'essentiel dans un style particulièrement clair et démonstratif.
Elle autorise à nouveau que le destin de la pensée soit l'Absolu, et non la "finitude" dans laquelle nous nous complaisons en laissant la morale, ou le "retour du religieux", servir de fictif supplément d'âme. Quentin Meillassoux est né à Paris, en 1967. Il enseigne la philosophie à l'École normale supérieure (Ulm), et a également publié Le Nombre et la Sirène. Un déchiffrage du Coup de dés de Mallarmé (Fayard, 2011).
Elle autorise à nouveau que le destin de la pensée soit l'Absolu, et non la "finitude" dans laquelle nous nous complaisons en laissant la morale, ou le "retour du religieux", servir de fictif supplément d'âme. Quentin Meillassoux est né à Paris, en 1967. Il enseigne la philosophie à l'École normale supérieure (Ulm), et a également publié Le Nombre et la Sirène. Un déchiffrage du Coup de dés de Mallarmé (Fayard, 2011).
La critique empiriste des prétentions universelles de la pensée humaine est-elle réellement fondée ? On sait que c'est le problème de Kant. Mais Quentin Meillassoux montre avec une force étonnante qu'une autre compréhension de cette critique, restée en quelque sorte dissimulée, bien que plus "naturelle", aboutit à un partage des ambitions de la pensée très différent de celui proposé par Kant. Il établit en effet qu'une seule chose est absolument nécessaire : que les lois de la nature soient contingentes.
Ce noeud entièrement nouveau entre les modalités contraires installe la pensée dans un tout autre rapport à l'expérience du monde, un rapport qui défait simultanément les prétentions "nécessitantes" de la métaphysique classique, et le partage "critique" entre l'empirique et le transcendantal.
Cette remarquable "critique de la Critique" est ici introduite sans fioritures, coupant vers l'essentiel dans un style particulièrement clair et démonstratif.
Elle autorise à nouveau que le destin de la pensée soit l'Absolu, et non la "finitude" dans laquelle nous nous complaisons en laissant la morale, ou le "retour du religieux", servir de fictif supplément d'âme. Quentin Meillassoux est né à Paris, en 1967. Il enseigne la philosophie à l'École normale supérieure (Ulm), et a également publié Le Nombre et la Sirène. Un déchiffrage du Coup de dés de Mallarmé (Fayard, 2011).
Elle autorise à nouveau que le destin de la pensée soit l'Absolu, et non la "finitude" dans laquelle nous nous complaisons en laissant la morale, ou le "retour du religieux", servir de fictif supplément d'âme. Quentin Meillassoux est né à Paris, en 1967. Il enseigne la philosophie à l'École normale supérieure (Ulm), et a également publié Le Nombre et la Sirène. Un déchiffrage du Coup de dés de Mallarmé (Fayard, 2011).