Après-coup. Paroles de femme, paroles de psychanalyste

Par : Marie-Claire Célérier

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  • Nombre de pages192
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-84254-210-8
  • EAN9782842542108
  • Date de parution03/12/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurEDK

Résumé

Claire est une femme de la génération de toutes les chances : trop jeune pour avoir souffert consciemment de la guerre, elle a grandi dans un monde apaisé ; elle a pu choisir ses études, la médecine, et exercer comme elle voulait le métier qu'elle voulait, la psychanalyse. Elle a trouvé dans le milieu étudiant une nouvelle liberté sexuelle et bénéficié plus tard de la contraception pour limiter ses maternités.
Débarrassée du carcan des préceptes religieux, elle a cru que les valeurs qu'elle avait intériorisées se transposeraient dans un monde dont l'homme serait le centre, méritant qu'on se batte pour lui sans référence à Dieu. Mais le monde n'est pas devenu ce qu'elle avait espéré. Les femmes, particulièrement elles, n'ont pas transmis leurs acquis à la génération suivante : elles n'ont pas su user de leur indépendance matérielle fournie par l'accès au travail rémunéré, et de leur indépendance morale appuyée par la révolution de mai 68, pour influer sur le monde construit par les hommes. C'est en psychanalyste que Claire tente de comprendre ce qui s'est passé ; puis dans ses échanges avec les autres femmes, patientes, collègues, amies, femmes d'ici et d'ailleurs ; en se questionnant sur le monde enfin, régi par la même conflictualité, sans doute à notre époque plus narcissique que sexuelle.
Après avoir cessé de recevoir des patientes elle s'est donné la liberté de parler de ce qu'elles ont eu à affronter et résoudre, en tant que représentant les problèmes de toutes les femmes. C'est une liberté de parole dont aucun patient actuel n'a à craindre le mésusage et dont, espère-t-elle, ceux qui s'y reconnaîtront comprendront la motivation : contribuer si peu que ce soit à inciter à changer le monde, à résister à une mondialisation déshumanisante de la pensée, et à permettre aux femmes d'y insuffler leurs valeurs.
Même si l'on considère que ces valeurs ne sont que la résultante à un moment donné de l'histoire toujours en devenir des sociétés.
Claire est une femme de la génération de toutes les chances : trop jeune pour avoir souffert consciemment de la guerre, elle a grandi dans un monde apaisé ; elle a pu choisir ses études, la médecine, et exercer comme elle voulait le métier qu'elle voulait, la psychanalyse. Elle a trouvé dans le milieu étudiant une nouvelle liberté sexuelle et bénéficié plus tard de la contraception pour limiter ses maternités.
Débarrassée du carcan des préceptes religieux, elle a cru que les valeurs qu'elle avait intériorisées se transposeraient dans un monde dont l'homme serait le centre, méritant qu'on se batte pour lui sans référence à Dieu. Mais le monde n'est pas devenu ce qu'elle avait espéré. Les femmes, particulièrement elles, n'ont pas transmis leurs acquis à la génération suivante : elles n'ont pas su user de leur indépendance matérielle fournie par l'accès au travail rémunéré, et de leur indépendance morale appuyée par la révolution de mai 68, pour influer sur le monde construit par les hommes. C'est en psychanalyste que Claire tente de comprendre ce qui s'est passé ; puis dans ses échanges avec les autres femmes, patientes, collègues, amies, femmes d'ici et d'ailleurs ; en se questionnant sur le monde enfin, régi par la même conflictualité, sans doute à notre époque plus narcissique que sexuelle.
Après avoir cessé de recevoir des patientes elle s'est donné la liberté de parler de ce qu'elles ont eu à affronter et résoudre, en tant que représentant les problèmes de toutes les femmes. C'est une liberté de parole dont aucun patient actuel n'a à craindre le mésusage et dont, espère-t-elle, ceux qui s'y reconnaîtront comprendront la motivation : contribuer si peu que ce soit à inciter à changer le monde, à résister à une mondialisation déshumanisante de la pensée, et à permettre aux femmes d'y insuffler leurs valeurs.
Même si l'on considère que ces valeurs ne sont que la résultante à un moment donné de l'histoire toujours en devenir des sociétés.
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