Applications et implications en sciences du langage
Par : , , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages334
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-16714-8
- EAN9782296167148
- Date de parution01/02/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les objets, les terrains, les théories des linguistes sont multiples. Cette pluralité s'accompagne d'une pluralité de positionnements et d'applications possibles. Dans le monde anglo-saxon, le domaine extrêmement développé des " applied linguistics " - de la didactique à la terminologie en passant par l'analyse de discours, l'acquisition, la linguistique de corpus ou la conception assistée par ordinateur - recouvre l'intégralité des retombées sociales des sciences du langage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l' " applicationnisme " irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l' " applicationnisme " irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Les objets, les terrains, les théories des linguistes sont multiples. Cette pluralité s'accompagne d'une pluralité de positionnements et d'applications possibles. Dans le monde anglo-saxon, le domaine extrêmement développé des " applied linguistics " - de la didactique à la terminologie en passant par l'analyse de discours, l'acquisition, la linguistique de corpus ou la conception assistée par ordinateur - recouvre l'intégralité des retombées sociales des sciences du langage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l' " applicationnisme " irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.
Il n'en est pas de même en France où la réflexion dans ce domaine nous semble peu théorisée. Que fait-on quand on intervient ? Que fait-on lorsqu'on va sur le terrain pour obtenir des données, qu'on propose un " retour aux acteurs " ou qu'on transmet des résultats, lorsqu'on enseigne, conseille ou expertise ? Pour qui intervient-on, pour quoi le fait-on, jusqu'où peut-on ou veut-on aller lors d'interventions linguistiques ? De quels outils théoriques et épistémologiques a-t-on besoin ? Comment éviter le piège de l' " applicationnisme " irraisonné ? Généraliser des interventions, c'est également voir émerger des métiers liés aux sciences du langage.
Quelles formations peut-on envisager pour ces métiers ? Quels décalages entre des demandes du terrain et des propositions des linguistes ? Comment les gérer ? Voici quelques-unes des questions que pose cet ouvrage.