Antimatière et gravité. Vers un nouveau modèle cosmologique

Par : Gabriel Chardin

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages161
  • FormatePub
  • ISBN978-2-271-15034-9
  • EAN9782271150349
  • Date de parution25/04/2024
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • ÉditeurCNRS EDITIONS
  • ContributeurMathieu Agelou

Résumé

La fabrique d'une théorie, pour un nouveau modèle cosmologique. Et si l'antimatière tombait vers le haut plutôt que vers le bas ? La cosmologie est l'étude de l'Univers dans son ensemble, sa structure, ses propriétés, son origine et son évolution. Elle s'intéresse à ses composants les plus infimes comme à ses plus colossales structures, de sa naissance, il y a environ 14 milliards d'années, à son futur le plus lointain. Pour parvenir à penser un objet aussi considérable, le physicien construit des modèles.
Or, le modèle standard actuel est en crise : il ne rend compte du mouvement des galaxies ou de la vitesse d'expansion de l'Univers qu'en supposant l'existence d'une matière noire et d'une énergie noire mystérieuses, toujours non identifiées. Et si aux premiers instants du Big Bang, l'univers contenait nécessairement autant de matière que d'antimatière, on ignore où est passée cette dernière, que l'on n'observe aujourd'hui que très brièvement et en minuscules quantités dans le rayonnement cosmique ou nos accélérateurs de particules. Grâce à une seule hypothèse aussi simple qu'iconoclaste, Gabriel Chardin propose un nouveau modèle, l'univers de Dirac-Milne : et si l'antimatière avait une masse négative, et repoussait tout, matière comme antimatière ? Cette hypothèse posée, il n'est plus besoin d'imaginer l'existence de matière ou d'énergie noires et l'antimatière n'aurait pas disparu mais se trouverait, extrêmement diluée, sous la forme de grands nuages entourant les galaxies.
Ce modèle est actuellement testé au Cern (organisation européenne pour la recherche nucléaire) dans plusieurs expériences, où l'on tente de " peser " des atomes d'antihydrogène. Un voyage dans la fabrique d'une théorie en gestation.
La fabrique d'une théorie, pour un nouveau modèle cosmologique. Et si l'antimatière tombait vers le haut plutôt que vers le bas ? La cosmologie est l'étude de l'Univers dans son ensemble, sa structure, ses propriétés, son origine et son évolution. Elle s'intéresse à ses composants les plus infimes comme à ses plus colossales structures, de sa naissance, il y a environ 14 milliards d'années, à son futur le plus lointain. Pour parvenir à penser un objet aussi considérable, le physicien construit des modèles.
Or, le modèle standard actuel est en crise : il ne rend compte du mouvement des galaxies ou de la vitesse d'expansion de l'Univers qu'en supposant l'existence d'une matière noire et d'une énergie noire mystérieuses, toujours non identifiées. Et si aux premiers instants du Big Bang, l'univers contenait nécessairement autant de matière que d'antimatière, on ignore où est passée cette dernière, que l'on n'observe aujourd'hui que très brièvement et en minuscules quantités dans le rayonnement cosmique ou nos accélérateurs de particules. Grâce à une seule hypothèse aussi simple qu'iconoclaste, Gabriel Chardin propose un nouveau modèle, l'univers de Dirac-Milne : et si l'antimatière avait une masse négative, et repoussait tout, matière comme antimatière ? Cette hypothèse posée, il n'est plus besoin d'imaginer l'existence de matière ou d'énergie noires et l'antimatière n'aurait pas disparu mais se trouverait, extrêmement diluée, sous la forme de grands nuages entourant les galaxies.
Ce modèle est actuellement testé au Cern (organisation européenne pour la recherche nucléaire) dans plusieurs expériences, où l'on tente de " peser " des atomes d'antihydrogène. Un voyage dans la fabrique d'une théorie en gestation.