Anthropologie de l'athlétisme en Afrique de l'Ouest. La condition d'athlète
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- Nombre de pages530
- FormatePub
- ISBN978-2-296-82138-5
- EAN9782296821385
- Date de parution01/07/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPierre Philippe Rey
Résumé
Comment peut-on être athlète en Afrique de l'Ouest ? Généralement, l'intérêt porté au phénomène sportif en Afrique se borne au football, à l'Ouest, et à l'athlétisme, à l'Est. Loin des récits épiques et des discours ataviques, cette étude anthropologique met en évidence les facteurs sociaux de la course à pied, de la course pensée à la technologie de la pratique. La course est une activité corporelle, qui varie selon le contexte culturel et les représentations des sociétés.
Comment passe-t-on de la sédentarité à la course à pied régulière, et de la course informelle à l'athlétisme ? Là où nous cherchions à savoir, comment des sociétés africaines se représentaient la pratique, nos différents interlocuteurs nous renvoyaient à la question : pourquoi courir ? De prime abord, lorsqu'on évoque la course en Afrique, c'est l'athlétisme qui nous vient à l'esprit. L'enquête de terrain aux confins du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d'Ivoire, nous renvoie à une autre idée de la course, celle vécue, celle subie, celle redoutée, une course en phase avec les réalités des habitants.
La vie détermine la conscience athlétique, aussi, le courir est tantôt générateur de bien-être, volonté de mobilité sociale, désoeuvrement.
Comment passe-t-on de la sédentarité à la course à pied régulière, et de la course informelle à l'athlétisme ? Là où nous cherchions à savoir, comment des sociétés africaines se représentaient la pratique, nos différents interlocuteurs nous renvoyaient à la question : pourquoi courir ? De prime abord, lorsqu'on évoque la course en Afrique, c'est l'athlétisme qui nous vient à l'esprit. L'enquête de terrain aux confins du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d'Ivoire, nous renvoie à une autre idée de la course, celle vécue, celle subie, celle redoutée, une course en phase avec les réalités des habitants.
La vie détermine la conscience athlétique, aussi, le courir est tantôt générateur de bien-être, volonté de mobilité sociale, désoeuvrement.
Comment peut-on être athlète en Afrique de l'Ouest ? Généralement, l'intérêt porté au phénomène sportif en Afrique se borne au football, à l'Ouest, et à l'athlétisme, à l'Est. Loin des récits épiques et des discours ataviques, cette étude anthropologique met en évidence les facteurs sociaux de la course à pied, de la course pensée à la technologie de la pratique. La course est une activité corporelle, qui varie selon le contexte culturel et les représentations des sociétés.
Comment passe-t-on de la sédentarité à la course à pied régulière, et de la course informelle à l'athlétisme ? Là où nous cherchions à savoir, comment des sociétés africaines se représentaient la pratique, nos différents interlocuteurs nous renvoyaient à la question : pourquoi courir ? De prime abord, lorsqu'on évoque la course en Afrique, c'est l'athlétisme qui nous vient à l'esprit. L'enquête de terrain aux confins du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d'Ivoire, nous renvoie à une autre idée de la course, celle vécue, celle subie, celle redoutée, une course en phase avec les réalités des habitants.
La vie détermine la conscience athlétique, aussi, le courir est tantôt générateur de bien-être, volonté de mobilité sociale, désoeuvrement.
Comment passe-t-on de la sédentarité à la course à pied régulière, et de la course informelle à l'athlétisme ? Là où nous cherchions à savoir, comment des sociétés africaines se représentaient la pratique, nos différents interlocuteurs nous renvoyaient à la question : pourquoi courir ? De prime abord, lorsqu'on évoque la course en Afrique, c'est l'athlétisme qui nous vient à l'esprit. L'enquête de terrain aux confins du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d'Ivoire, nous renvoie à une autre idée de la course, celle vécue, celle subie, celle redoutée, une course en phase avec les réalités des habitants.
La vie détermine la conscience athlétique, aussi, le courir est tantôt générateur de bien-être, volonté de mobilité sociale, désoeuvrement.