La Faculté des arts, lettres et sciences humaines (F. A. L. S. H. ) est un établissement public de l'Université de Yaoundé I.
Annales Vol 26. Langues et cultures locales à l'ère de la décentralisation au Cameroun
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN978-9956-459-83-4
- EAN9789956459834
- Date de parution06/06/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPygmies
- EditeurPygmies Éditions
Résumé
Quels sont les différents défis auxquels sont confrontées nos langues et nos cultures locales dans le contexte de décentralisation amorcée par le gouvernement camerounais depuis quelques années ? Voilà la question qui se trouve au centre du vingt-sixième volume des Annales de la Faculté des arts, lettres et sciences humaines de l'Université de Yaoundé I. Elle constitue une ouverture dans la recherche des solutions que l'Université adresse dans la perspective du développement du Cameroun.
Mosaïques de centaines de langues et cultures, à l'ère où les richesses immatérielles sont de plus en plus prisées et ont un potentiel très élevé de création de la richesse, le Cameroun est interpellé sur l'usage et la capitalisation d'un patrimoine, certes diversifié, mais ô combien porteur, qui ne demande qu'à être exploité. A travers plusieurs prismes, les contributrices et les contributeurs de ce volume ont esquissé des réponses qui nécessitent, pour certaines, un ou des approfondissements, pour d'autres, une prise en compte et une implémentation par les pouvoirs publics, notamment les collectivités territoriales décentralisées, que l'on présente aujourd'hui comme les têtes de pont des actions de développement
Mosaïques de centaines de langues et cultures, à l'ère où les richesses immatérielles sont de plus en plus prisées et ont un potentiel très élevé de création de la richesse, le Cameroun est interpellé sur l'usage et la capitalisation d'un patrimoine, certes diversifié, mais ô combien porteur, qui ne demande qu'à être exploité. A travers plusieurs prismes, les contributrices et les contributeurs de ce volume ont esquissé des réponses qui nécessitent, pour certaines, un ou des approfondissements, pour d'autres, une prise en compte et une implémentation par les pouvoirs publics, notamment les collectivités territoriales décentralisées, que l'on présente aujourd'hui comme les têtes de pont des actions de développement
Quels sont les différents défis auxquels sont confrontées nos langues et nos cultures locales dans le contexte de décentralisation amorcée par le gouvernement camerounais depuis quelques années ? Voilà la question qui se trouve au centre du vingt-sixième volume des Annales de la Faculté des arts, lettres et sciences humaines de l'Université de Yaoundé I. Elle constitue une ouverture dans la recherche des solutions que l'Université adresse dans la perspective du développement du Cameroun.
Mosaïques de centaines de langues et cultures, à l'ère où les richesses immatérielles sont de plus en plus prisées et ont un potentiel très élevé de création de la richesse, le Cameroun est interpellé sur l'usage et la capitalisation d'un patrimoine, certes diversifié, mais ô combien porteur, qui ne demande qu'à être exploité. A travers plusieurs prismes, les contributrices et les contributeurs de ce volume ont esquissé des réponses qui nécessitent, pour certaines, un ou des approfondissements, pour d'autres, une prise en compte et une implémentation par les pouvoirs publics, notamment les collectivités territoriales décentralisées, que l'on présente aujourd'hui comme les têtes de pont des actions de développement
Mosaïques de centaines de langues et cultures, à l'ère où les richesses immatérielles sont de plus en plus prisées et ont un potentiel très élevé de création de la richesse, le Cameroun est interpellé sur l'usage et la capitalisation d'un patrimoine, certes diversifié, mais ô combien porteur, qui ne demande qu'à être exploité. A travers plusieurs prismes, les contributrices et les contributeurs de ce volume ont esquissé des réponses qui nécessitent, pour certaines, un ou des approfondissements, pour d'autres, une prise en compte et une implémentation par les pouvoirs publics, notamment les collectivités territoriales décentralisées, que l'on présente aujourd'hui comme les têtes de pont des actions de développement
