Ankoro (Katanga). Notre village

Par : Jonas Mwilambwe Mukalay, André Shabani wa Kalenga

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  • Nombre de pages116
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-16540-3
  • EAN9782296165403
  • Date de parution01/04/2007
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierErik Kennes

Résumé

Ankoro, ancien chef-lieu du territoire de Manono (Nord-Katanga), est un bourg portuaire situé sur la rive gauche du fleuve Lualaba (qui devient en aval le grand Congo), au confluent de la rivière Luvua. Les pères spiritains y érigeront une cathédrale romane. L'administration coloniale y fera construire un hôpital, des magasins, des bâtiments publics, avant d'être transférée à Manono. Jadis renommé pour son commerce et comme centre culturel traditionnel, Ankoro est brusquement sorti de l'oubli avec le retour inopiné du fils prodige : Laurent Désiré Kabila.
C'était en 1997... En 1998, lors de la rébellion dans la Rébellion, les troupes d'agression étrangère ont été stoppées par la résistance locale mais, en 2002, le gros village a été razzié et détruit par ... la 95ème brigade des Forces Armées Congolaises ! Bilan : 200 tués et de nombreux blessés. Fuyant la guerre et les attaques des bandits mai mai, les déplacés des villages environnants ont investi Ankoro qui passe alors de 15 000 âmes à 75 000... " Restituer à Ankoro et à sa région, finalement au pays, ce que nous en avons reçu ", telle est la tâche à laquelle s'attellent ici deux natifs qui ont fait leur carrière l'un dans la capitale, l'autre à l'étranger.
Leur mémoire devrait pouvoir instruire les jeunes générations démunies de repères.
Ankoro, ancien chef-lieu du territoire de Manono (Nord-Katanga), est un bourg portuaire situé sur la rive gauche du fleuve Lualaba (qui devient en aval le grand Congo), au confluent de la rivière Luvua. Les pères spiritains y érigeront une cathédrale romane. L'administration coloniale y fera construire un hôpital, des magasins, des bâtiments publics, avant d'être transférée à Manono. Jadis renommé pour son commerce et comme centre culturel traditionnel, Ankoro est brusquement sorti de l'oubli avec le retour inopiné du fils prodige : Laurent Désiré Kabila.
C'était en 1997... En 1998, lors de la rébellion dans la Rébellion, les troupes d'agression étrangère ont été stoppées par la résistance locale mais, en 2002, le gros village a été razzié et détruit par ... la 95ème brigade des Forces Armées Congolaises ! Bilan : 200 tués et de nombreux blessés. Fuyant la guerre et les attaques des bandits mai mai, les déplacés des villages environnants ont investi Ankoro qui passe alors de 15 000 âmes à 75 000... " Restituer à Ankoro et à sa région, finalement au pays, ce que nous en avons reçu ", telle est la tâche à laquelle s'attellent ici deux natifs qui ont fait leur carrière l'un dans la capitale, l'autre à l'étranger.
Leur mémoire devrait pouvoir instruire les jeunes générations démunies de repères.
Ankoro (Katanga)
Jonas Mwilambwe Mukalay, André Shabani wa Kalenga
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