Androgyne
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- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN978-2-35973-648-9
- EAN9782359736489
- Date de parution11/09/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurRavet-Anceau
Résumé
Sur les traces d'un mystérieux tueur en sérieL'heure est grave. Le commandant Bourbon, secondé par son adjudant-chef Keller, est chargé de coordonner une opération interrégionale. La Normandie et la Picardie subissent les attaques d'une mystérieuse créature humaine. Femme ? Homme ? Les gendarmes sont incapables de trancher, et c'est bien là le problème. Cinq retraités sont déjà morts. Tous poignardés.
À chaque fois une carte postale de Compiègne est déposée près des corps. Les messages qu'elles délivrent troublent les enquêteurs qui comprennent qu'une vengeance se prépare. Qui en est à l'origine ? Quelles sont ses motivations ? Pour le découvrir, Bourbon et Keller vont devoir retourner sur les bancs de l'école. Gérard Bertuzzi offre avec ce roman une nouvelle enquête palpitante de son duo de personnages fétiches, Bourbon et Keller !EXTRAITLe pire, ce qui crispe le plus les services de police, c'est que les avis concernant le sexe de cette personne sont partagés ! D'aucuns y voient un homme mince, élégant, certes un peu efféminé, mais mâle jusqu'au bout des ongles par sa démarche.
D'autres, sans l'ombre d'une hésitation, désignent une femme de grande taille, un peu masculine dans sa gestuelle, mais ô combien féminine dans sa tenue vestimentaire. Cerise sur le gâteau, les enquêteurs sont eux aussi confrontés au même dilemme : leurs avis, quant au genre de l'intrus, divergent ! Masculin ou féminin, ils ne lui trouvent même pas mauvais genre !- Ce con ne relève jamais la tête et sa casquette de voyou masque continuellement son visage, lance un policier.- Ce con, ce con, ou cette conne ! reprend le commissaire Van Renterghem.- Ah, putain ! Ouais, on n'est pas dans la mouise ! Enfin, si vous voulez mon avis commissaire, pour moi, c'est un mec !- Que ce chevalier d'Éon ne nous empêche pas d'avancer messieurs.
Avec un peu de chance le légiste pourra nous dire s'il fallait être du genre musclé pour enfoncer l'arme dans le thorax de la victime.- On ne l'a même pas l'arme du crime !À PROPOS DE L'AUTEUREn quatre romans, Gérard Bertuzzi a remisé une vingtaine de cadavres dans les placards de Polars en Nord, sans que ses personnages aient tiré un seul coup de feu. « Je suis un pacifiste, je n'aime pas les armes à feu, c'est beaucoup trop dangereux », aime-t-il déclarer tandis que ses personnages s'étripent à qui mieux-mieux dans les endroits les plus inattendus et de manière souvent peu orthodoxe.
Écriture, musique, balades, sport, voyages, cet épicurien vit pleinement ses passions, de peur, dit-il, qu'il n'y ait jamais avec Épicure de rappel ! Il aime les dialogues d'Audiard, l'humour de Desproges et de Sacha Guitry, ainsi que les romans de Frédéric Dard. Il ne rate jamais un bon mot. Sa devise : « Une journée où l'on rit est une journée où l'on ne vieillit pas. » Ses chanteurs préférés sont Brassens, Brassens et dans une moindre mesure, Brassens.
À chaque fois une carte postale de Compiègne est déposée près des corps. Les messages qu'elles délivrent troublent les enquêteurs qui comprennent qu'une vengeance se prépare. Qui en est à l'origine ? Quelles sont ses motivations ? Pour le découvrir, Bourbon et Keller vont devoir retourner sur les bancs de l'école. Gérard Bertuzzi offre avec ce roman une nouvelle enquête palpitante de son duo de personnages fétiches, Bourbon et Keller !EXTRAITLe pire, ce qui crispe le plus les services de police, c'est que les avis concernant le sexe de cette personne sont partagés ! D'aucuns y voient un homme mince, élégant, certes un peu efféminé, mais mâle jusqu'au bout des ongles par sa démarche.
D'autres, sans l'ombre d'une hésitation, désignent une femme de grande taille, un peu masculine dans sa gestuelle, mais ô combien féminine dans sa tenue vestimentaire. Cerise sur le gâteau, les enquêteurs sont eux aussi confrontés au même dilemme : leurs avis, quant au genre de l'intrus, divergent ! Masculin ou féminin, ils ne lui trouvent même pas mauvais genre !- Ce con ne relève jamais la tête et sa casquette de voyou masque continuellement son visage, lance un policier.- Ce con, ce con, ou cette conne ! reprend le commissaire Van Renterghem.- Ah, putain ! Ouais, on n'est pas dans la mouise ! Enfin, si vous voulez mon avis commissaire, pour moi, c'est un mec !- Que ce chevalier d'Éon ne nous empêche pas d'avancer messieurs.
Avec un peu de chance le légiste pourra nous dire s'il fallait être du genre musclé pour enfoncer l'arme dans le thorax de la victime.- On ne l'a même pas l'arme du crime !À PROPOS DE L'AUTEUREn quatre romans, Gérard Bertuzzi a remisé une vingtaine de cadavres dans les placards de Polars en Nord, sans que ses personnages aient tiré un seul coup de feu. « Je suis un pacifiste, je n'aime pas les armes à feu, c'est beaucoup trop dangereux », aime-t-il déclarer tandis que ses personnages s'étripent à qui mieux-mieux dans les endroits les plus inattendus et de manière souvent peu orthodoxe.
Écriture, musique, balades, sport, voyages, cet épicurien vit pleinement ses passions, de peur, dit-il, qu'il n'y ait jamais avec Épicure de rappel ! Il aime les dialogues d'Audiard, l'humour de Desproges et de Sacha Guitry, ainsi que les romans de Frédéric Dard. Il ne rate jamais un bon mot. Sa devise : « Une journée où l'on rit est une journée où l'on ne vieillit pas. » Ses chanteurs préférés sont Brassens, Brassens et dans une moindre mesure, Brassens.
Sur les traces d'un mystérieux tueur en sérieL'heure est grave. Le commandant Bourbon, secondé par son adjudant-chef Keller, est chargé de coordonner une opération interrégionale. La Normandie et la Picardie subissent les attaques d'une mystérieuse créature humaine. Femme ? Homme ? Les gendarmes sont incapables de trancher, et c'est bien là le problème. Cinq retraités sont déjà morts. Tous poignardés.
À chaque fois une carte postale de Compiègne est déposée près des corps. Les messages qu'elles délivrent troublent les enquêteurs qui comprennent qu'une vengeance se prépare. Qui en est à l'origine ? Quelles sont ses motivations ? Pour le découvrir, Bourbon et Keller vont devoir retourner sur les bancs de l'école. Gérard Bertuzzi offre avec ce roman une nouvelle enquête palpitante de son duo de personnages fétiches, Bourbon et Keller !EXTRAITLe pire, ce qui crispe le plus les services de police, c'est que les avis concernant le sexe de cette personne sont partagés ! D'aucuns y voient un homme mince, élégant, certes un peu efféminé, mais mâle jusqu'au bout des ongles par sa démarche.
D'autres, sans l'ombre d'une hésitation, désignent une femme de grande taille, un peu masculine dans sa gestuelle, mais ô combien féminine dans sa tenue vestimentaire. Cerise sur le gâteau, les enquêteurs sont eux aussi confrontés au même dilemme : leurs avis, quant au genre de l'intrus, divergent ! Masculin ou féminin, ils ne lui trouvent même pas mauvais genre !- Ce con ne relève jamais la tête et sa casquette de voyou masque continuellement son visage, lance un policier.- Ce con, ce con, ou cette conne ! reprend le commissaire Van Renterghem.- Ah, putain ! Ouais, on n'est pas dans la mouise ! Enfin, si vous voulez mon avis commissaire, pour moi, c'est un mec !- Que ce chevalier d'Éon ne nous empêche pas d'avancer messieurs.
Avec un peu de chance le légiste pourra nous dire s'il fallait être du genre musclé pour enfoncer l'arme dans le thorax de la victime.- On ne l'a même pas l'arme du crime !À PROPOS DE L'AUTEUREn quatre romans, Gérard Bertuzzi a remisé une vingtaine de cadavres dans les placards de Polars en Nord, sans que ses personnages aient tiré un seul coup de feu. « Je suis un pacifiste, je n'aime pas les armes à feu, c'est beaucoup trop dangereux », aime-t-il déclarer tandis que ses personnages s'étripent à qui mieux-mieux dans les endroits les plus inattendus et de manière souvent peu orthodoxe.
Écriture, musique, balades, sport, voyages, cet épicurien vit pleinement ses passions, de peur, dit-il, qu'il n'y ait jamais avec Épicure de rappel ! Il aime les dialogues d'Audiard, l'humour de Desproges et de Sacha Guitry, ainsi que les romans de Frédéric Dard. Il ne rate jamais un bon mot. Sa devise : « Une journée où l'on rit est une journée où l'on ne vieillit pas. » Ses chanteurs préférés sont Brassens, Brassens et dans une moindre mesure, Brassens.
À chaque fois une carte postale de Compiègne est déposée près des corps. Les messages qu'elles délivrent troublent les enquêteurs qui comprennent qu'une vengeance se prépare. Qui en est à l'origine ? Quelles sont ses motivations ? Pour le découvrir, Bourbon et Keller vont devoir retourner sur les bancs de l'école. Gérard Bertuzzi offre avec ce roman une nouvelle enquête palpitante de son duo de personnages fétiches, Bourbon et Keller !EXTRAITLe pire, ce qui crispe le plus les services de police, c'est que les avis concernant le sexe de cette personne sont partagés ! D'aucuns y voient un homme mince, élégant, certes un peu efféminé, mais mâle jusqu'au bout des ongles par sa démarche.
D'autres, sans l'ombre d'une hésitation, désignent une femme de grande taille, un peu masculine dans sa gestuelle, mais ô combien féminine dans sa tenue vestimentaire. Cerise sur le gâteau, les enquêteurs sont eux aussi confrontés au même dilemme : leurs avis, quant au genre de l'intrus, divergent ! Masculin ou féminin, ils ne lui trouvent même pas mauvais genre !- Ce con ne relève jamais la tête et sa casquette de voyou masque continuellement son visage, lance un policier.- Ce con, ce con, ou cette conne ! reprend le commissaire Van Renterghem.- Ah, putain ! Ouais, on n'est pas dans la mouise ! Enfin, si vous voulez mon avis commissaire, pour moi, c'est un mec !- Que ce chevalier d'Éon ne nous empêche pas d'avancer messieurs.
Avec un peu de chance le légiste pourra nous dire s'il fallait être du genre musclé pour enfoncer l'arme dans le thorax de la victime.- On ne l'a même pas l'arme du crime !À PROPOS DE L'AUTEUREn quatre romans, Gérard Bertuzzi a remisé une vingtaine de cadavres dans les placards de Polars en Nord, sans que ses personnages aient tiré un seul coup de feu. « Je suis un pacifiste, je n'aime pas les armes à feu, c'est beaucoup trop dangereux », aime-t-il déclarer tandis que ses personnages s'étripent à qui mieux-mieux dans les endroits les plus inattendus et de manière souvent peu orthodoxe.
Écriture, musique, balades, sport, voyages, cet épicurien vit pleinement ses passions, de peur, dit-il, qu'il n'y ait jamais avec Épicure de rappel ! Il aime les dialogues d'Audiard, l'humour de Desproges et de Sacha Guitry, ainsi que les romans de Frédéric Dard. Il ne rate jamais un bon mot. Sa devise : « Une journée où l'on rit est une journée où l'on ne vieillit pas. » Ses chanteurs préférés sont Brassens, Brassens et dans une moindre mesure, Brassens.