Analyse Freudienne Presse N° 28/2021
L'amour au temps du...
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- Nombre de pages184
- FormatePub
- ISBN978-2-7492-7292-4
- EAN9782749272924
- Date de parution20/10/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEres
Résumé
L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure. Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ?
Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour.
Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme. Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances.
Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure.
Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ? Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour. Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme.
Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances. Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. À rebours des prises de position de certains qui en font une valeur purement sociale et morale éminemment variable, simple fruit d'un apprentissage, d'une soumission, d'une intériorisation, d'une norme changeant selon l'histoire et la géographie, les auteurs considèrent la pudeur comme une constante présente dès le plus jeune âge.
Les effets des atteintes de la pudeur, qu'elles soient le fait des armes, des tortures, voire du harcèlement mis en actes par des pouvoirs bureaucratiques, en sont d'autant plus graves. Philosophes, psychanalystes, juristes et artistes ont été invités par le Centre Primo Levi à réfléchir, face aux personnes victimes de violences politiques, sur les moyens de reconstruire une pudeur, de protéger ce qu'il en reste, d'inventer des manières de dire et de faire avec la pudeur comme socle commun.
Penser, témoigner, écrire participent du travail de préservation de l'humain auquel la violence politique du monde en guerres nous convoque. Par son engagement auprès des personnes victimes de traumatismes et réfugiées en France, cet ouvrage a pour ambition de contribuer à la formation des professionnels, des bénévoles et des autres acteurs qui doivent faire face à une demande croissante d'accueil, d'aide et de soin.
Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme. Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances.
Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure.
Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ? Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour. Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme.
Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances. Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. À rebours des prises de position de certains qui en font une valeur purement sociale et morale éminemment variable, simple fruit d'un apprentissage, d'une soumission, d'une intériorisation, d'une norme changeant selon l'histoire et la géographie, les auteurs considèrent la pudeur comme une constante présente dès le plus jeune âge.
Les effets des atteintes de la pudeur, qu'elles soient le fait des armes, des tortures, voire du harcèlement mis en actes par des pouvoirs bureaucratiques, en sont d'autant plus graves. Philosophes, psychanalystes, juristes et artistes ont été invités par le Centre Primo Levi à réfléchir, face aux personnes victimes de violences politiques, sur les moyens de reconstruire une pudeur, de protéger ce qu'il en reste, d'inventer des manières de dire et de faire avec la pudeur comme socle commun.
Penser, témoigner, écrire participent du travail de préservation de l'humain auquel la violence politique du monde en guerres nous convoque. Par son engagement auprès des personnes victimes de traumatismes et réfugiées en France, cet ouvrage a pour ambition de contribuer à la formation des professionnels, des bénévoles et des autres acteurs qui doivent faire face à une demande croissante d'accueil, d'aide et de soin.
L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure. Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ?
Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour.
Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme. Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances.
Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure.
Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ? Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour. Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme.
Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances. Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. À rebours des prises de position de certains qui en font une valeur purement sociale et morale éminemment variable, simple fruit d'un apprentissage, d'une soumission, d'une intériorisation, d'une norme changeant selon l'histoire et la géographie, les auteurs considèrent la pudeur comme une constante présente dès le plus jeune âge.
Les effets des atteintes de la pudeur, qu'elles soient le fait des armes, des tortures, voire du harcèlement mis en actes par des pouvoirs bureaucratiques, en sont d'autant plus graves. Philosophes, psychanalystes, juristes et artistes ont été invités par le Centre Primo Levi à réfléchir, face aux personnes victimes de violences politiques, sur les moyens de reconstruire une pudeur, de protéger ce qu'il en reste, d'inventer des manières de dire et de faire avec la pudeur comme socle commun.
Penser, témoigner, écrire participent du travail de préservation de l'humain auquel la violence politique du monde en guerres nous convoque. Par son engagement auprès des personnes victimes de traumatismes et réfugiées en France, cet ouvrage a pour ambition de contribuer à la formation des professionnels, des bénévoles et des autres acteurs qui doivent faire face à une demande croissante d'accueil, d'aide et de soin.
Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme. Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances.
Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. L'amour est au commencement de l'histoire de la psychanalyse. C'est en cela que s'origine la question du transfert comme l'un des quatre concepts fondamentaux a` partir duquel Freud et Lacan vont aborder les éléments liés a` la technique, mais aussi au dispositif de la cure.
Le transfert est amour, mais tout transfert est-il amour, tout amour est-il transfert ? Dans la cure, qu'y et qui y rencontre-t-on ? Au cour de l'expérience analytique se trouve l'objet qui articule pulsion, désir et amour. Si l'amour est par essence narcissique, alors qui aime-t-ton ? L'amour implique deux positions subjectives : aimer et être aimé. Le sujet ne sait jamais quelle position il occupe pour l'autre dans le fantasme.
Avec Lacan nous savons qu'il n'y a pas de rapport sexuel qui puisse s'écrire, ce à quoi l'amour peut suppléer sur le plan imaginaire, en offrant l'illusion de faire Un. L'impossibilité de renoncer à occuper la place d'objet a pour l'autre peut conduire à des formes d'amour extrêmes. dans lesquelles le sujet se perd, jusqu'à se faire l'objet de maltraitances. Même si les analystes ont à entendre les récits des rencontres amoureuses dans ses effets heureux et désastreux, du côté du ratage ou du ravage, la psychanalyse n'a pas pour visée de donner une éthique de l'amour. À rebours des prises de position de certains qui en font une valeur purement sociale et morale éminemment variable, simple fruit d'un apprentissage, d'une soumission, d'une intériorisation, d'une norme changeant selon l'histoire et la géographie, les auteurs considèrent la pudeur comme une constante présente dès le plus jeune âge.
Les effets des atteintes de la pudeur, qu'elles soient le fait des armes, des tortures, voire du harcèlement mis en actes par des pouvoirs bureaucratiques, en sont d'autant plus graves. Philosophes, psychanalystes, juristes et artistes ont été invités par le Centre Primo Levi à réfléchir, face aux personnes victimes de violences politiques, sur les moyens de reconstruire une pudeur, de protéger ce qu'il en reste, d'inventer des manières de dire et de faire avec la pudeur comme socle commun.
Penser, témoigner, écrire participent du travail de préservation de l'humain auquel la violence politique du monde en guerres nous convoque. Par son engagement auprès des personnes victimes de traumatismes et réfugiées en France, cet ouvrage a pour ambition de contribuer à la formation des professionnels, des bénévoles et des autres acteurs qui doivent faire face à une demande croissante d'accueil, d'aide et de soin.