Alors, camarade Vilar.... Ou La chronique échevelée de l'été 68 avignonnais

Par : Edmond Volponi, Maurice Costa, Yvon Provost

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  • Nombre de pages135
  • FormatePub
  • ISBN2-307-09966-2
  • EAN9782307099666
  • Date de parution01/01/1988
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (P.S....

Résumé

Le Festival d'Avignon 68 défraya la chronique. Paris venait de vivre les journées tumultueuses de mai. L'Odéon occupé, le Festival de Cannes vidé de sa substance, il eut été miraculeux que la grande manifestation culturelle, point de ralliement d'une jeunesse, parfois bouillonnante, ne connut pas de soubresauts. Dans ce climat, renforcé par les bouleversements politiques intervenus aux niveaux national et local, fallait-il maintenir le Festival d'Avignon ? D'autant plus que de nombreux spectacles annoncés durent être annulés et, parmi eux, ceux que devaient présenter le T.
N. P. Non seulement Jean Vilar ne pensa pas un instant que le Festival pouvait être annulé, mais il voulut lui donner une tonalité plus avant-gardiste. Dans cet esprit, il fit appel au "Living Theatre", troupe dont beaucoup de spécialistes, avant les événements de 68, estimaient qu'elle avait sa place à Avignon. Edmond Volponi, connut le Festival dès 1950, alors jeune journaliste et, surtout, photographe dans le cadre de l'agence locale du journal "Le Provençal".
En 1968, alors en charge du centre départemental du "Dauphiné Libéré", il a cotoyé - quotidiennement - les principaux protagonistes de ce Festival imprudemment appelé de la contestation. Il révèle dans ce récit-témoignage des éléments et des documents personnels, sans prétendre faire ouvre d'historien.
Le Festival d'Avignon 68 défraya la chronique. Paris venait de vivre les journées tumultueuses de mai. L'Odéon occupé, le Festival de Cannes vidé de sa substance, il eut été miraculeux que la grande manifestation culturelle, point de ralliement d'une jeunesse, parfois bouillonnante, ne connut pas de soubresauts. Dans ce climat, renforcé par les bouleversements politiques intervenus aux niveaux national et local, fallait-il maintenir le Festival d'Avignon ? D'autant plus que de nombreux spectacles annoncés durent être annulés et, parmi eux, ceux que devaient présenter le T.
N. P. Non seulement Jean Vilar ne pensa pas un instant que le Festival pouvait être annulé, mais il voulut lui donner une tonalité plus avant-gardiste. Dans cet esprit, il fit appel au "Living Theatre", troupe dont beaucoup de spécialistes, avant les événements de 68, estimaient qu'elle avait sa place à Avignon. Edmond Volponi, connut le Festival dès 1950, alors jeune journaliste et, surtout, photographe dans le cadre de l'agence locale du journal "Le Provençal".
En 1968, alors en charge du centre départemental du "Dauphiné Libéré", il a cotoyé - quotidiennement - les principaux protagonistes de ce Festival imprudemment appelé de la contestation. Il révèle dans ce récit-témoignage des éléments et des documents personnels, sans prétendre faire ouvre d'historien.