Algérie (El Djazaïr). Les carnets de guerre et de terrain d'un géographe
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- Nombre de pages256
- FormatePub
- ISBN2-348-01075-5
- EAN9782348010750
- Date de parution01/01/1982
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille77 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...
Résumé
Un jeune agrégé de géographie parcourt, sous l'uniforme français, l'Algérie en guerre des années 1959-1960. Que ce soit dans l'Oranais, à Alger, en Petite Kabylie ou dans un douar des hautes plaines du Constantinois, où il séjourne plus longuement, il tient scrupuleusement un journal qu'il nourrit de ses observations. Dix ans, puis vingt ans plus tard, il retourne comme professeur en Algérie. Le croisement des notes prises de part et d'autre d'un événement historique majeur, l'Indépendance, finit par constituer une trame riche et complexe.
Des mechtas qui brûlent dans les djebels dévastés, aux nouveaux villages de la révolution agraire, du discours du général De Gaulle sur l'autodétermination - entendu à Aïn Mlila en 1959 - au nouveau cours de Chadli Bendjedid perçu depuis Constantine en 1981, des intrigues, des jeux de clans, des échecs aux solidarités et aux volontés sans faille, des enfants en guenilles, aux écoliers attentifs et turbulents, des montagnes qui se dépeuplent inexorablement, aux villes qui éclatent, une évidence s'impose à terme, aussi vive que l'éblouissement du premier regard : la saisissante beauté d'un pays, alliée à la grandeur d'un peuple qui se révèle peu à peu à lui-même.
Des mechtas qui brûlent dans les djebels dévastés, aux nouveaux villages de la révolution agraire, du discours du général De Gaulle sur l'autodétermination - entendu à Aïn Mlila en 1959 - au nouveau cours de Chadli Bendjedid perçu depuis Constantine en 1981, des intrigues, des jeux de clans, des échecs aux solidarités et aux volontés sans faille, des enfants en guenilles, aux écoliers attentifs et turbulents, des montagnes qui se dépeuplent inexorablement, aux villes qui éclatent, une évidence s'impose à terme, aussi vive que l'éblouissement du premier regard : la saisissante beauté d'un pays, alliée à la grandeur d'un peuple qui se révèle peu à peu à lui-même.
Un jeune agrégé de géographie parcourt, sous l'uniforme français, l'Algérie en guerre des années 1959-1960. Que ce soit dans l'Oranais, à Alger, en Petite Kabylie ou dans un douar des hautes plaines du Constantinois, où il séjourne plus longuement, il tient scrupuleusement un journal qu'il nourrit de ses observations. Dix ans, puis vingt ans plus tard, il retourne comme professeur en Algérie. Le croisement des notes prises de part et d'autre d'un événement historique majeur, l'Indépendance, finit par constituer une trame riche et complexe.
Des mechtas qui brûlent dans les djebels dévastés, aux nouveaux villages de la révolution agraire, du discours du général De Gaulle sur l'autodétermination - entendu à Aïn Mlila en 1959 - au nouveau cours de Chadli Bendjedid perçu depuis Constantine en 1981, des intrigues, des jeux de clans, des échecs aux solidarités et aux volontés sans faille, des enfants en guenilles, aux écoliers attentifs et turbulents, des montagnes qui se dépeuplent inexorablement, aux villes qui éclatent, une évidence s'impose à terme, aussi vive que l'éblouissement du premier regard : la saisissante beauté d'un pays, alliée à la grandeur d'un peuple qui se révèle peu à peu à lui-même.
Des mechtas qui brûlent dans les djebels dévastés, aux nouveaux villages de la révolution agraire, du discours du général De Gaulle sur l'autodétermination - entendu à Aïn Mlila en 1959 - au nouveau cours de Chadli Bendjedid perçu depuis Constantine en 1981, des intrigues, des jeux de clans, des échecs aux solidarités et aux volontés sans faille, des enfants en guenilles, aux écoliers attentifs et turbulents, des montagnes qui se dépeuplent inexorablement, aux villes qui éclatent, une évidence s'impose à terme, aussi vive que l'éblouissement du premier regard : la saisissante beauté d'un pays, alliée à la grandeur d'un peuple qui se révèle peu à peu à lui-même.