« Un pour toutes, toutes pour un » : une devise reflétant l’intimité d’un être exceptionnel, boulimique de bonne chère, de travail, d’honneurs, de succès, de voyages… et de femmes. Michel de Decker revisite d’une plume alerte le parcours d’un personnage hors du commun, une véritable force de la nature qui aura vécu, en soixante-huit ans et jusqu’à son dernier souffle, un nombre incalculable de vies.Le nom d’Alexandre Dumas fait automatiquement songer aux Trois Mousquetaires ou au Comte de Monte-Cristo, à d’Artagnan ou à Edmond Dantès.
Sa mère, la veuve d’un général d’Empire qui se lamentait de voir son rejeton préférer l’école buissonnière aux mathématiques et au latin, ne se doutait pas que ce fils « ingrat » serait l’inventeur du roman historique et du feuilleton, l’un des chefs de file du théâtre romantique, un mémorialiste et un grand reporter, et qu’il laisserait plus de six cents ouvrages à la postérité.Ce sont les femmes qui vont nourrir son imagination.
Des femmes dont il tombera amoureux systématiquement, ou presque. Boulimique de la vie, il ne saura jamais rompre et passera d’une aventure à l’autre sans trop de soucis. Certaines de ses conquêtes ? surtout des comédiennes ? auront plus d’importance que d’autres. Il y aura Marie d’Orval, Ida la joufflue, Ada la vorace, Emma la phtisique, Octavie l’ingénue ou Fanny la nymphomane. Sa définition du bonheur aurait pu être la suivante : une maîtresse ardente et libérale, des enfants ? il en reconnaîtra deux tout en avouant qu’il en avait sans doute plus de cinq cents dans la nature -, des amis, une table avec de la bonne chère, une autre pour écrire.Tout en rebondissements, souvent rocambolesques, ce récit brosse le portrait d’un personnage hors du commun, une véritable force de la nature qui, jusqu’à son dernier souffle, fut un amoureux d’une prodigieuse complexion.
« Un pour toutes, toutes pour un » : une devise reflétant l’intimité d’un être exceptionnel, boulimique de bonne chère, de travail, d’honneurs, de succès, de voyages… et de femmes. Michel de Decker revisite d’une plume alerte le parcours d’un personnage hors du commun, une véritable force de la nature qui aura vécu, en soixante-huit ans et jusqu’à son dernier souffle, un nombre incalculable de vies.Le nom d’Alexandre Dumas fait automatiquement songer aux Trois Mousquetaires ou au Comte de Monte-Cristo, à d’Artagnan ou à Edmond Dantès.
Sa mère, la veuve d’un général d’Empire qui se lamentait de voir son rejeton préférer l’école buissonnière aux mathématiques et au latin, ne se doutait pas que ce fils « ingrat » serait l’inventeur du roman historique et du feuilleton, l’un des chefs de file du théâtre romantique, un mémorialiste et un grand reporter, et qu’il laisserait plus de six cents ouvrages à la postérité.Ce sont les femmes qui vont nourrir son imagination.
Des femmes dont il tombera amoureux systématiquement, ou presque. Boulimique de la vie, il ne saura jamais rompre et passera d’une aventure à l’autre sans trop de soucis. Certaines de ses conquêtes ? surtout des comédiennes ? auront plus d’importance que d’autres. Il y aura Marie d’Orval, Ida la joufflue, Ada la vorace, Emma la phtisique, Octavie l’ingénue ou Fanny la nymphomane. Sa définition du bonheur aurait pu être la suivante : une maîtresse ardente et libérale, des enfants ? il en reconnaîtra deux tout en avouant qu’il en avait sans doute plus de cinq cents dans la nature -, des amis, une table avec de la bonne chère, une autre pour écrire.Tout en rebondissements, souvent rocambolesques, ce récit brosse le portrait d’un personnage hors du commun, une véritable force de la nature qui, jusqu’à son dernier souffle, fut un amoureux d’une prodigieuse complexion.