Album d'images de la villa Harris

Par : Hocquard
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  • Nombre de pages104
  • FormatPDF
  • ISBN2-01-460643-9
  • EAN9782014606430
  • Date de parution01/01/1978
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurHachette (réédition numérique Fe...

Résumé

" Tu es belle. Tu italique. Vois ceci sans rapport avec le temps présent, ni les gens que nous connaissons. Tu es l'ombre. Lieu décrit en retrait du jour. Le travail élégiaque est figure de ce retrait. Figure de (ta) beauté distraite du jour et du lieu. Comme une ville dans les terres. Dans la terre. (L'éclat de Bruges décliner avec l'ensablement du port. Abandonnée des navires marchands, la ville se refermer sur ses murs, noyée au-dedans, loin de la mer et de l'histoire.
Même les oiseaux marins). Tu : le travail élégiaque est ce retrait en pure perte. Perte de langue, temps et sens commun. Mais tu. Mais cette vocation obscure sans profération. Disant ce mouvement de retrait, moi invoqué, me vois-ci en recherche de ce qui reste à avoir eu lieu. Pas de souvenirs, mais une rumeur autour des images, les circonstances d'une défaite. Le travail élégiaque, ce reflux de langue dans l'inaccompli.
Une description de l'absence. Ou tel silence à défaut. L'ébranlement de ce silence au corps de la langue, si la langue. Tu. Le lieu que fondent ces lignes découper un carré dans le ciel. Par cette ouverture mes pensées tendrement vers toi. " E. H.
" Tu es belle. Tu italique. Vois ceci sans rapport avec le temps présent, ni les gens que nous connaissons. Tu es l'ombre. Lieu décrit en retrait du jour. Le travail élégiaque est figure de ce retrait. Figure de (ta) beauté distraite du jour et du lieu. Comme une ville dans les terres. Dans la terre. (L'éclat de Bruges décliner avec l'ensablement du port. Abandonnée des navires marchands, la ville se refermer sur ses murs, noyée au-dedans, loin de la mer et de l'histoire.
Même les oiseaux marins). Tu : le travail élégiaque est ce retrait en pure perte. Perte de langue, temps et sens commun. Mais tu. Mais cette vocation obscure sans profération. Disant ce mouvement de retrait, moi invoqué, me vois-ci en recherche de ce qui reste à avoir eu lieu. Pas de souvenirs, mais une rumeur autour des images, les circonstances d'une défaite. Le travail élégiaque, ce reflux de langue dans l'inaccompli.
Une description de l'absence. Ou tel silence à défaut. L'ébranlement de ce silence au corps de la langue, si la langue. Tu. Le lieu que fondent ces lignes découper un carré dans le ciel. Par cette ouverture mes pensées tendrement vers toi. " E. H.