Airelles et chanterelles. Mémoires de la vie bucolique. (Abajoneres i Ageroles)
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- Nombre de pages254
- FormatePub
- ISBN2-307-22565-X
- EAN9782307225652
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Améd...
Résumé
Amédée Escach est un de nos écrivains du terroir les plus sensibles. C'est aussi une mémoire respectueuse du passé, et sa mémoire est "infaillible", même lorsque la légende y fait un croche-pied aux faits têtus recherchés par les historiens. Notre auteur possède ce qui manque à beaucoup des fils de Clio, le goût du détail vivant et la saveur du récit. Ceux qui connaissent déjà de lui : "Les angéliques sauvages", "Carcanet" (écrits avec Marie-Rose Trilles), "Montagnes catalanes" (où l'auteur quitta la prose romantique pour le style de l'essai), "Terres pastorales", goûteront son cinquième et dernier livre, si modestement et si poétiquement intitulé : "Airelles et chanterelles".
Entre temps, Marie-Rose a écrit un très bel ouvrage sur les contes et légendes du terroir, intitulé : "L'étang étoilé". En un pays (la Cerdagne, le Capcir, le Confient principalement), "Airelles et chanterelles" est un merveilleux ouvrage, d'amour, de foi, de connaissance, composé selon une vertu pédagogique d'exposition, qui signale l'instituteur que fut Amédée Escach. Son livre est une mine de sésames, pour qui aime la machine à remonter le temps et retrouver - avec les hommes d'hier - leurs travaux, habitats, fêtes, paysages, idées et peines.
Est-ce à dire que notre auteur fait la part trop belle à tout ce qui s'est enfui ? Certes pas ! Amédée Escach a la nostalgie chevillée au corps, mais la tête lucide. Ce qu'il met en exergue, ce sont les valeurs de civilisation fondamentales : la relation à la nature, la solidarité communautaire, et le pas du temps ensorcelé par la technique et des nouveaux intérêts qui, irrévocablement, transforment, voire saccagent.
D'où, au fil de la plume - qui voudrait être avant tout celle d'un narrateur objectif - quelques sanglots rentrés. Le talent d'Amédée Escach est de nous instruire par l'émotion. Ces grappes de mémoire qu'il nous fait partager (et cette mémoire, de génération en génération, ne couvrant pas moins de deux cents ans) fleurent le bon vin clairet de l'évasion, ou le vin corsé des tourments, qui accompagnent toute existence humaine.
Amédée Escach est un homme qui a vécu et observé. Il nous est le témoin précieux de ce jadis, dont l'écho tinte encore derrière la porte. Au touriste élégant, qui part à la recherche de tous ces territoires exhumés et auscultés passionnément par l'auteur, "Airelles et chanterelles" sera le plus fidèle des guides, la plus sûre des boussoles, celle qui pointe, sans frémir, vers la chaleur de la tribu humaine.
Jacques Queralt
Entre temps, Marie-Rose a écrit un très bel ouvrage sur les contes et légendes du terroir, intitulé : "L'étang étoilé". En un pays (la Cerdagne, le Capcir, le Confient principalement), "Airelles et chanterelles" est un merveilleux ouvrage, d'amour, de foi, de connaissance, composé selon une vertu pédagogique d'exposition, qui signale l'instituteur que fut Amédée Escach. Son livre est une mine de sésames, pour qui aime la machine à remonter le temps et retrouver - avec les hommes d'hier - leurs travaux, habitats, fêtes, paysages, idées et peines.
Est-ce à dire que notre auteur fait la part trop belle à tout ce qui s'est enfui ? Certes pas ! Amédée Escach a la nostalgie chevillée au corps, mais la tête lucide. Ce qu'il met en exergue, ce sont les valeurs de civilisation fondamentales : la relation à la nature, la solidarité communautaire, et le pas du temps ensorcelé par la technique et des nouveaux intérêts qui, irrévocablement, transforment, voire saccagent.
D'où, au fil de la plume - qui voudrait être avant tout celle d'un narrateur objectif - quelques sanglots rentrés. Le talent d'Amédée Escach est de nous instruire par l'émotion. Ces grappes de mémoire qu'il nous fait partager (et cette mémoire, de génération en génération, ne couvrant pas moins de deux cents ans) fleurent le bon vin clairet de l'évasion, ou le vin corsé des tourments, qui accompagnent toute existence humaine.
Amédée Escach est un homme qui a vécu et observé. Il nous est le témoin précieux de ce jadis, dont l'écho tinte encore derrière la porte. Au touriste élégant, qui part à la recherche de tous ces territoires exhumés et auscultés passionnément par l'auteur, "Airelles et chanterelles" sera le plus fidèle des guides, la plus sûre des boussoles, celle qui pointe, sans frémir, vers la chaleur de la tribu humaine.
Jacques Queralt
Amédée Escach est un de nos écrivains du terroir les plus sensibles. C'est aussi une mémoire respectueuse du passé, et sa mémoire est "infaillible", même lorsque la légende y fait un croche-pied aux faits têtus recherchés par les historiens. Notre auteur possède ce qui manque à beaucoup des fils de Clio, le goût du détail vivant et la saveur du récit. Ceux qui connaissent déjà de lui : "Les angéliques sauvages", "Carcanet" (écrits avec Marie-Rose Trilles), "Montagnes catalanes" (où l'auteur quitta la prose romantique pour le style de l'essai), "Terres pastorales", goûteront son cinquième et dernier livre, si modestement et si poétiquement intitulé : "Airelles et chanterelles".
Entre temps, Marie-Rose a écrit un très bel ouvrage sur les contes et légendes du terroir, intitulé : "L'étang étoilé". En un pays (la Cerdagne, le Capcir, le Confient principalement), "Airelles et chanterelles" est un merveilleux ouvrage, d'amour, de foi, de connaissance, composé selon une vertu pédagogique d'exposition, qui signale l'instituteur que fut Amédée Escach. Son livre est une mine de sésames, pour qui aime la machine à remonter le temps et retrouver - avec les hommes d'hier - leurs travaux, habitats, fêtes, paysages, idées et peines.
Est-ce à dire que notre auteur fait la part trop belle à tout ce qui s'est enfui ? Certes pas ! Amédée Escach a la nostalgie chevillée au corps, mais la tête lucide. Ce qu'il met en exergue, ce sont les valeurs de civilisation fondamentales : la relation à la nature, la solidarité communautaire, et le pas du temps ensorcelé par la technique et des nouveaux intérêts qui, irrévocablement, transforment, voire saccagent.
D'où, au fil de la plume - qui voudrait être avant tout celle d'un narrateur objectif - quelques sanglots rentrés. Le talent d'Amédée Escach est de nous instruire par l'émotion. Ces grappes de mémoire qu'il nous fait partager (et cette mémoire, de génération en génération, ne couvrant pas moins de deux cents ans) fleurent le bon vin clairet de l'évasion, ou le vin corsé des tourments, qui accompagnent toute existence humaine.
Amédée Escach est un homme qui a vécu et observé. Il nous est le témoin précieux de ce jadis, dont l'écho tinte encore derrière la porte. Au touriste élégant, qui part à la recherche de tous ces territoires exhumés et auscultés passionnément par l'auteur, "Airelles et chanterelles" sera le plus fidèle des guides, la plus sûre des boussoles, celle qui pointe, sans frémir, vers la chaleur de la tribu humaine.
Jacques Queralt
Entre temps, Marie-Rose a écrit un très bel ouvrage sur les contes et légendes du terroir, intitulé : "L'étang étoilé". En un pays (la Cerdagne, le Capcir, le Confient principalement), "Airelles et chanterelles" est un merveilleux ouvrage, d'amour, de foi, de connaissance, composé selon une vertu pédagogique d'exposition, qui signale l'instituteur que fut Amédée Escach. Son livre est une mine de sésames, pour qui aime la machine à remonter le temps et retrouver - avec les hommes d'hier - leurs travaux, habitats, fêtes, paysages, idées et peines.
Est-ce à dire que notre auteur fait la part trop belle à tout ce qui s'est enfui ? Certes pas ! Amédée Escach a la nostalgie chevillée au corps, mais la tête lucide. Ce qu'il met en exergue, ce sont les valeurs de civilisation fondamentales : la relation à la nature, la solidarité communautaire, et le pas du temps ensorcelé par la technique et des nouveaux intérêts qui, irrévocablement, transforment, voire saccagent.
D'où, au fil de la plume - qui voudrait être avant tout celle d'un narrateur objectif - quelques sanglots rentrés. Le talent d'Amédée Escach est de nous instruire par l'émotion. Ces grappes de mémoire qu'il nous fait partager (et cette mémoire, de génération en génération, ne couvrant pas moins de deux cents ans) fleurent le bon vin clairet de l'évasion, ou le vin corsé des tourments, qui accompagnent toute existence humaine.
Amédée Escach est un homme qui a vécu et observé. Il nous est le témoin précieux de ce jadis, dont l'écho tinte encore derrière la porte. Au touriste élégant, qui part à la recherche de tous ces territoires exhumés et auscultés passionnément par l'auteur, "Airelles et chanterelles" sera le plus fidèle des guides, la plus sûre des boussoles, celle qui pointe, sans frémir, vers la chaleur de la tribu humaine.
Jacques Queralt






