Agir dans l'espace
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- Nombre de pages394
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7351-1862-5
- EAN9782735118625
- Date de parution04/07/2017
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions de la Maison des scienc...
- CompilateurCatherine Thinus-Blanc
- CompilateurJean Bullier
Résumé
Le traitement cognitif de l'espace par un être vivant se décompose en différentes phases : il perçoit l'espace - ce qui implique certains mécanismes de catégorisation et d'abstraction -, se le représente, conserve en mémoire cette représentation qu'il peut rappeler et utiliser pour conduire des actions adaptées et interagir de façon optimale avec l'environnement. Ce traitement ainsi défini a déjà fait l'objet d'un grand nombre de travaux dans le domaine des sciences de la vie et de la psychologie expérimentale, de l'intelligence artificielle ou encore de la robotique.
Pourtant les réalisations des sciences dites « dures » ne laissent pas de poser des questions sur lesquelles les sciences humaines et sociales sont susceptibles d'apporter un éclairage pertinent. D'une part, leur apport est de nature à renouveler la problématique cognitive de l'espace, notamment en mettant en lumière l'incidence des facteurs culturels et sociétaux sur les représentations spatiales ainsi que la complexité des interactions entre la nature de ces représentations et l'utilisation effective de l'espace depuis la conception et la gestion des cartes géographiques, jusqu'à celle de l'habitat urbain.
D'autre part, ces mêmes sciences s'avèrent incontournables si l'on veut tenter de répondre aux multiples questions soulevées par la notion d'action en vue de l'étude de ses différents déterminants : le mécanisme et les représentations mis en ouvre dans la prise de décision, la programmation motrice et sa régulation dans la conscience d'agir et l'interprétation de l'action, dans son caractère multidimensionnel et évolutif, dans la dynamique des interactions et de l'action collective, etc.
Les contributions ici rassemblées illustrent toutes ces perspectives, démontrant que seule une interdisciplinarité bien conduite peut permettre de répondre aux défis posés par la problématique cognitive de l'agir dans l'espace.
Pourtant les réalisations des sciences dites « dures » ne laissent pas de poser des questions sur lesquelles les sciences humaines et sociales sont susceptibles d'apporter un éclairage pertinent. D'une part, leur apport est de nature à renouveler la problématique cognitive de l'espace, notamment en mettant en lumière l'incidence des facteurs culturels et sociétaux sur les représentations spatiales ainsi que la complexité des interactions entre la nature de ces représentations et l'utilisation effective de l'espace depuis la conception et la gestion des cartes géographiques, jusqu'à celle de l'habitat urbain.
D'autre part, ces mêmes sciences s'avèrent incontournables si l'on veut tenter de répondre aux multiples questions soulevées par la notion d'action en vue de l'étude de ses différents déterminants : le mécanisme et les représentations mis en ouvre dans la prise de décision, la programmation motrice et sa régulation dans la conscience d'agir et l'interprétation de l'action, dans son caractère multidimensionnel et évolutif, dans la dynamique des interactions et de l'action collective, etc.
Les contributions ici rassemblées illustrent toutes ces perspectives, démontrant que seule une interdisciplinarité bien conduite peut permettre de répondre aux défis posés par la problématique cognitive de l'agir dans l'espace.
Le traitement cognitif de l'espace par un être vivant se décompose en différentes phases : il perçoit l'espace - ce qui implique certains mécanismes de catégorisation et d'abstraction -, se le représente, conserve en mémoire cette représentation qu'il peut rappeler et utiliser pour conduire des actions adaptées et interagir de façon optimale avec l'environnement. Ce traitement ainsi défini a déjà fait l'objet d'un grand nombre de travaux dans le domaine des sciences de la vie et de la psychologie expérimentale, de l'intelligence artificielle ou encore de la robotique.
Pourtant les réalisations des sciences dites « dures » ne laissent pas de poser des questions sur lesquelles les sciences humaines et sociales sont susceptibles d'apporter un éclairage pertinent. D'une part, leur apport est de nature à renouveler la problématique cognitive de l'espace, notamment en mettant en lumière l'incidence des facteurs culturels et sociétaux sur les représentations spatiales ainsi que la complexité des interactions entre la nature de ces représentations et l'utilisation effective de l'espace depuis la conception et la gestion des cartes géographiques, jusqu'à celle de l'habitat urbain.
D'autre part, ces mêmes sciences s'avèrent incontournables si l'on veut tenter de répondre aux multiples questions soulevées par la notion d'action en vue de l'étude de ses différents déterminants : le mécanisme et les représentations mis en ouvre dans la prise de décision, la programmation motrice et sa régulation dans la conscience d'agir et l'interprétation de l'action, dans son caractère multidimensionnel et évolutif, dans la dynamique des interactions et de l'action collective, etc.
Les contributions ici rassemblées illustrent toutes ces perspectives, démontrant que seule une interdisciplinarité bien conduite peut permettre de répondre aux défis posés par la problématique cognitive de l'agir dans l'espace.
Pourtant les réalisations des sciences dites « dures » ne laissent pas de poser des questions sur lesquelles les sciences humaines et sociales sont susceptibles d'apporter un éclairage pertinent. D'une part, leur apport est de nature à renouveler la problématique cognitive de l'espace, notamment en mettant en lumière l'incidence des facteurs culturels et sociétaux sur les représentations spatiales ainsi que la complexité des interactions entre la nature de ces représentations et l'utilisation effective de l'espace depuis la conception et la gestion des cartes géographiques, jusqu'à celle de l'habitat urbain.
D'autre part, ces mêmes sciences s'avèrent incontournables si l'on veut tenter de répondre aux multiples questions soulevées par la notion d'action en vue de l'étude de ses différents déterminants : le mécanisme et les représentations mis en ouvre dans la prise de décision, la programmation motrice et sa régulation dans la conscience d'agir et l'interprétation de l'action, dans son caractère multidimensionnel et évolutif, dans la dynamique des interactions et de l'action collective, etc.
Les contributions ici rassemblées illustrent toutes ces perspectives, démontrant que seule une interdisciplinarité bien conduite peut permettre de répondre aux défis posés par la problématique cognitive de l'agir dans l'espace.