Afin d'éviter l'oubli. Souvenirs sur la Résistance et la Déportation
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- Nombre de pages184
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-24875-5
- EAN9782296248755
- Date de parution01/02/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierVirgile Barel
Résumé
Au début de l'hiver 1940-1941 (soit respectivement six mois et un an avant que les Soviétiques puis les Américains n'entrent dans la guerre), un garçon de 16 ans demi, Charly Salvadore, distribue, dans la banlieue marseillaise, les tracts que lui confie un métallo communiste et qui dénoncent la politique réactionnaire de Vichy et collaboration avec l'occupant nazi. Quelques mois plus tard, le garçon deviez responsable de la propagande des Jeunesses communistes, mais il est arrêté en 1942 incarcéré.
Relâché faute de preuves en 1943, il rejoint le maquis des Francs-Tireurs Partisans dans les Alpes-de-Haute-Provence où il commande un camp de formation la lutte armée. En mars 1944, il est capturé dans la montagne, près de Moriez, par un détachement allemand, puis battu et remis à la Gestapo qui l'interroge et le torture pendant près de quatre semaines, à Digne. Charly Salvadore ne parle pas : il est alors déporté en Allemagne dans le camp de concentration de Sachsenhausen-Oranienbur où, en mai 1945, après avoir accompli "la marche de la mort" vers la mer du Nord, est libéré par l'avance des troupes soviétiques.
Charly Salvadore rapporte ici son engagement d'adolescent, la vie quotidienne dans les prisons de Vichy, puis dans les maquis de la Résistance, les dix mois passés dans les camps de la mort, la libération et le retour à la vie ; il raconte enfin comment, en 2007, il a retrouvé les témoins de son arrestation qui, depuis 1944, le croyaient mort. Il a pris soin d'illustrer son témoignage par des photographies d'époque et surtout par des croquis qu'il avait pris lui-même sur le vif ou dessinés plus tard, léguant ainsi, aux générations à venir, un véritable document historique.
Relâché faute de preuves en 1943, il rejoint le maquis des Francs-Tireurs Partisans dans les Alpes-de-Haute-Provence où il commande un camp de formation la lutte armée. En mars 1944, il est capturé dans la montagne, près de Moriez, par un détachement allemand, puis battu et remis à la Gestapo qui l'interroge et le torture pendant près de quatre semaines, à Digne. Charly Salvadore ne parle pas : il est alors déporté en Allemagne dans le camp de concentration de Sachsenhausen-Oranienbur où, en mai 1945, après avoir accompli "la marche de la mort" vers la mer du Nord, est libéré par l'avance des troupes soviétiques.
Charly Salvadore rapporte ici son engagement d'adolescent, la vie quotidienne dans les prisons de Vichy, puis dans les maquis de la Résistance, les dix mois passés dans les camps de la mort, la libération et le retour à la vie ; il raconte enfin comment, en 2007, il a retrouvé les témoins de son arrestation qui, depuis 1944, le croyaient mort. Il a pris soin d'illustrer son témoignage par des photographies d'époque et surtout par des croquis qu'il avait pris lui-même sur le vif ou dessinés plus tard, léguant ainsi, aux générations à venir, un véritable document historique.
Au début de l'hiver 1940-1941 (soit respectivement six mois et un an avant que les Soviétiques puis les Américains n'entrent dans la guerre), un garçon de 16 ans demi, Charly Salvadore, distribue, dans la banlieue marseillaise, les tracts que lui confie un métallo communiste et qui dénoncent la politique réactionnaire de Vichy et collaboration avec l'occupant nazi. Quelques mois plus tard, le garçon deviez responsable de la propagande des Jeunesses communistes, mais il est arrêté en 1942 incarcéré.
Relâché faute de preuves en 1943, il rejoint le maquis des Francs-Tireurs Partisans dans les Alpes-de-Haute-Provence où il commande un camp de formation la lutte armée. En mars 1944, il est capturé dans la montagne, près de Moriez, par un détachement allemand, puis battu et remis à la Gestapo qui l'interroge et le torture pendant près de quatre semaines, à Digne. Charly Salvadore ne parle pas : il est alors déporté en Allemagne dans le camp de concentration de Sachsenhausen-Oranienbur où, en mai 1945, après avoir accompli "la marche de la mort" vers la mer du Nord, est libéré par l'avance des troupes soviétiques.
Charly Salvadore rapporte ici son engagement d'adolescent, la vie quotidienne dans les prisons de Vichy, puis dans les maquis de la Résistance, les dix mois passés dans les camps de la mort, la libération et le retour à la vie ; il raconte enfin comment, en 2007, il a retrouvé les témoins de son arrestation qui, depuis 1944, le croyaient mort. Il a pris soin d'illustrer son témoignage par des photographies d'époque et surtout par des croquis qu'il avait pris lui-même sur le vif ou dessinés plus tard, léguant ainsi, aux générations à venir, un véritable document historique.
Relâché faute de preuves en 1943, il rejoint le maquis des Francs-Tireurs Partisans dans les Alpes-de-Haute-Provence où il commande un camp de formation la lutte armée. En mars 1944, il est capturé dans la montagne, près de Moriez, par un détachement allemand, puis battu et remis à la Gestapo qui l'interroge et le torture pendant près de quatre semaines, à Digne. Charly Salvadore ne parle pas : il est alors déporté en Allemagne dans le camp de concentration de Sachsenhausen-Oranienbur où, en mai 1945, après avoir accompli "la marche de la mort" vers la mer du Nord, est libéré par l'avance des troupes soviétiques.
Charly Salvadore rapporte ici son engagement d'adolescent, la vie quotidienne dans les prisons de Vichy, puis dans les maquis de la Résistance, les dix mois passés dans les camps de la mort, la libération et le retour à la vie ; il raconte enfin comment, en 2007, il a retrouvé les témoins de son arrestation qui, depuis 1944, le croyaient mort. Il a pris soin d'illustrer son témoignage par des photographies d'époque et surtout par des croquis qu'il avait pris lui-même sur le vif ou dessinés plus tard, léguant ainsi, aux générations à venir, un véritable document historique.